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herbe

herbe

mon pseudo est herbe il s’agit pour moi d’un jeu de mot qui conjugue mes initiales, mon désir de protection de la nature, et une certaine forme d’humilité que peut évoquer le mot : en herbe.

Pour l'instant, après des années passées à commenter sur agoravox, je n'ai plus le souhait d'écrire un article. les graines utiles à la disparition de l'injustice et des inégalités ont en principe été semées, il faut laisser faire la nature et arroser de temps en temps. Mais pour une analyse plus fine la parabole du semeur fournit une grille de lecture intéressante.
 

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  • herbe herbe 23 septembre 2013 23:09

    Oui comme ton article il veut faire la part des choses, c’est pour ça que je trouve enrichissant. (pour approfondir il faudrait lire l’ouvrage de Duval)


    J’aime bien aussi (en plus de ton extrait si juste) la conclusion de l’article de rue89 très utile pour ceux qui voudraient importer quelques petites choses de l’Allemagne ce n’est pas la sélection qu’ils nous proposent généralement qui tient de la fable comme tu dis, ce serait plutôt cela, je l’extrais :

    « Si l’on avait à importer quelques éléments du système allemand, quels devraient-ils être ?

    J’en vois trois :

    • le premier, c’est la décentralisation du pays. L’Allemagne est un pays plus équilibré : on trouve des entreprises qui exportent dans la moindre vallée perdue, ce qui n’est pas le cas chez nous. Mais c’est l’élément le plus difficile à importer. Un changement institutionnel, qui passerait par l’augmentation des budgets des régions, ne suffirait pas ;
    • deuxième chose dont on pourrait s’inspirer, c’est leur intérêt pour l’écologie. C’est l’avenir qu’ils préparent ! Ils ont fait plus d’efforts sur l’efficacité énergétique et sont plus avancés sur les technologie. Nous ne devons pas louper les différents coches qui se présentent ;
    • la dernière chose à importer, la plus importante à mon avis, c’est la gouvernance des entreprises, et notamment la codétermination. On avait une occasion unique d’avancer sur ce terrain avec la loi sur l’emploi et l’accord national interprofessionnel, mais on est en train de la rater.

    Par ailleurs, il y a un élément important de la gouvernance des entreprises dont on pourrait s’inspirer. En Allemagne, il n’y a pas de PDG : il y a un président du directoire et un président du conseil de surveillance. Ces deux chefs doivent s’entendre pour les grands tournants stratégiques. Ainsi, si un jour un président du directoire qui dirige une compagnie vendant de l’eau et des services publics locaux s’ennuie, qu’il ne trouve pas cela rigolo et qu’il veut acheter une major d’Hollywood et avoir un appartement à New York, eh bien il ne pourra rien faire de tout cela [allusion à Jean-Marie Messier, ex-patron de Vivendi, ndlr].

    A travers ce système et à travers le pouvoir donné aux salariés, il y a dans les entreprises allemandes des systèmes de contre-pouvoirs que nous ne connaissons pas dans notre pays. »

    Je trouve que là aussi ça a le mérite d’être clair.

    cordialement.



  • herbe herbe 23 septembre 2013 22:21

    Je redonne (voir article d’Olivier Cabanel) pour apporter de l’eau au moulin le lien suivant :



  • herbe herbe 23 septembre 2013 22:15

    l’article de rue89 comme introduction facile au sujet :



  • herbe herbe 23 septembre 2013 22:11

    Merci pour cet article.

    Je pense que le livre écrit par cet auteur « Made in Germany » pourrait être d’un éclairage précieux :

    Guillaume Duval
    Journaliste

    Guillaume Duval est journaliste. Ingénieur de formation, il a travaillé de nombreuses années dans l’industrie allemande. Il est aujourd’hui rédacteur en chef du mensuel Alternatives économiques et est l’auteur de « Sommes-nous des paresseux ?... et 30 autres questions sur la France et les Français »(2008) , de « La France d’après ». « Rebondir après la crise » (Les Petits Matins, 2011). Dans son dernier livre «  Made in Germany  », publié il y a quelques semaines, il explique que les véritables raisons des succès actuels de l’économie allemande sont d’avantages le fait d’une tradition industrielle et sociale que des récentes réformes. Selon lui, il faudrait copier les caractéristiques traditionnelles du modèle allemand même s’il est difficile de transposer les éléments d’un modèle national lié à une histoire particulière.


    Il était dans l’excellente émission de Taddeï en mai dernier :

    http://www.france2.fr/emissions/ce-soir-ou-jamais/diffusions/10-05-2013_57053



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