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Ségolène Royale est derrière tout cela ?
Je plaisante hein ? mais avec un bon VPN on peut être partout à la fois.. non ?
La surmortalité est un
indicateur facile à lire. Les subtiles corrections qui aboutissent au z-score
ne changent pas l’impression générale ; c’est dit dans l’article : le
démographe ne juge pas indispensable de s’en référer à cet indicateur. En comparant les courbes de mortalité des
dernières années, on voit des pointes de mortalité du même ordre que celle de
cette année.
Le démographe ne juge pas indispensable de se référer à cet
indicateur… Indicateur au temps présent. Mais ces morts indirects du COVID,
donc liés à l’action du confinement, seront comptabilisés avec le temps de latence
nécessaire. La surmortalité constatée dès à présent ne concerne que les morts
du moment présent. La personne qui mourra dans un mois parce qu’elle n’a pas
été soignée ou dépistée pendant le confinement n’est pas encore prise en
compte.
De même ne sont pas encore pris en compte les morts qui
seront liés non plus au confinement, mais aux conditions économiques/précarités
dans laquelle sera plongée une partie de la population. Les
conséquences économiques se font à peine sentir, nous y verrons plus clair vers
la fin de cette année. Et ses conséquences sur les entreprises, sociétés,
commerces, artisanats, etc., se feront sentir plus tard. Et c’est à ce moment-là
que cet indicateur commencera à donner des prévisions ou projections sur ce que
le confinement et la mauvaise gestion de cette crise ont entrainé dans ses
conséquences.
Mais si le démographe n’estime pas pour l’instant opportun
de s’en référer à lui, car justement il n’est pour l’instant pas révélateur, il
n’en reste pas moins que sa tendance est plus en accord avec le calcul de la létalité du virus et non pas sa mortalité.
En fin d’année 2020, la Suède ne devrait pas avoir les problèmes que nous
allons nous connaitre.
Problèmes que l’on voudrait bien entendu diluer dans la
masse en demandant fut un temps les eurobonds, histoire de partager non notre
richesse, mais nos emmerdes. Et vous ne serez pas étonné de trouver parmi les
opposants à ce partage la SUÈDE !
S’il est permis de chercher d’autres explications sur les
particularités de ce virus, je crois que c’est dans sa gestion.
La Chine l’a pris en pleine figure, sans s’y attendre, sans
le connaitre, et elle a confiné. Elle a confiné une région pas la chine
complète. Elle a confiné 50 millions de personnes et non pas 1,5 milliard.
Elle a confiné son économie locale et non pas nationale.
Pour ce qui est VILLANI, je pense qu’il est plus occupé à
autre chose que des maths. Peut être que s’il avait fait une projection aurait-elle
été plus raisonnable que son collègue FERGUSON, mais c’est le poste de ce
dernier qui a été déterminant. Conseiller scientifique de l’Angleterre ! Mais voilà,
VILLANI n’est pas conseiller scientifique de la France. De toute façon, en France,
on en aurait peu tenu cas, puisque RAOULT en faisait partie et a quitté cette
fonction devant la sclérose de ce comité.
Peut-être même que VILLANI ne serait pas resté non plus, il
a montré qu’il avait aussi une force de caractère, il me semble.
Les simulations restent des simulations. C’est une
projection du temps présent dans un futur aléatoire. Rien d’autre. Elles sont
donc toujours susceptibles d’évoluer dans un sens comme dans un autre, et méritent
amplement le terme de science certes, mais inexactes. Ce qui est un comble
quand on parle de science et d’inexactitude. Ce sont juste des probabilités. Si
ce n’était pas le cas, alors on connait déjà le résultat des prochaines élections
présidentielles, puisque des sondages réalisés sur ce même principe sont déjà
sortis. Voulez-vous savoir combien de fois des sondages réalisés avec autant de
calculs se sont révélés faux ?
On ne peut donc tirer des conclusions que le factuel, et les
chiffres donnés. Donc soit la mortalité soit la létalité.
L’inconnu étant juste la conséquence du confinement sur la
population à long terme.
Pour votre dernier point, vous avez quand même les
explications de RAOULT. Une sommité dans ce domaine, mais que certains ********
préfèrent insulter à défaut de l’égaliser.
Le SRAS COV 2 n’a guère de différence d’avec le SRAS
COV 1 ou le MERS. Il suit le même procédé, et probablement aura le même
sort que les précédents.
Si RAOULT demande de bien surveiller l’hémisphère sud qui
entre en hiver, ce n’est pas pour rien, mais là encore, nos grands spécialistes
de plateaux TV sont muets.
Et concernant certaines de ces gens, je dirai juste une
chose : il n’y a pas de conflit d’intérêts dans ce domaine. Il y a
corruption.
La gestion de la crise par les dirigeants français l’a été
d’une façon si brouillonne, si cacophonique, qu’elle en est criminelle.
Interdire les médecins de soigner, classer un médicament
vieux comme le monde en substance vénéneuse, retirer l’azitromycine parce qu’un
médecin soignait avec ??? Mais est-ce aux hommes politiques de décider qui doit
être soigné ou pas ???
Si on ajoute à cela le refus d’hospitaliser des personnes
âgées et de les traiter au RIVOTRIL… !
Alors quand je lis l’autosatisfaction de certains à prouver
avec des méthodes foireuses, disons inadaptées pour être politiquement correct,
que le pays s’est montré à la hauteur… excusez du peu..
La quête de
l’indicateur optimal mène au z-score, ou cote Z. Cet indice permet de
représenter les variations de la mortalité, semaine après semaine, sur une
échelle graduée. Lorsque le z-score(en anglais) est inférieur à
2, il n’y a pas de surmortalité. Compris entre 2 et 4, la surmortalité est
légère. De 4 à 7, elle est modérée. Entre 7 et 10, elle est en fort excès. De
10 à 15, la surmortalité est très forte. Enfin, si elle dépasse 15, elle est
extrêmement forte.
Ce z-score
est notamment calculé par le Statens Serum Institut, un organisme de recherche
Regardez les graphiques et vous comprendrez comment les
dirigeants français ont été des manches dans la gestion de la COVID, une
gestion criminelle, oui.