C’est Aljazeera qui a livré en exclusivité toutes les videos bidons (made un Intel Center) de Ben Laden (presque toutes les video de Ben Laden d’ailleurs)
Vous savez, les videos où l’on voit
- Un Ben Laden écrire de la main droite
- Un Ben Laden avec une alliance au doigt (un musulman très pieu avec une alliance, là, ils on fait fort !
- Un Ben Laden qui rajeunit au fil des années
- un Ben Laden que même sa mère n’aurait pas reconnu...
Des video que tous les journalistes (français et les autres) prennent pour argent comptant.
Bref, plutôt que de s’extasier sur les qaulités de ALjazeera, il conviendrait de se demander qui est derrière et pourquoi faire...
Amusant de lire tous ces articles sur les révolutions spontanées dans le monde arabe.
Les peuples qui se prennent enfin en main pour lutter contre le tyran.
Comme s’il n’y avait personne derrière pour tirer les ficelles.
Comme si les foules avaient leur libre arbitre et que tout ça n’était pas plus ou poins planifié...
La question plus intéressante c’est de savoir qui, pourquoi et comment.
Quand on voit les facebook, twitters se mettre en branle, les petits drapeaux qui vont bien qui sont là au bon moment,
Encore une fois il seraient intéressant de savoir qui tire les ficelles de tout ça comment et pourquoi au lieu de s’extasier sur la volonté des peuples à se libérer des tyrans et du joug de l’oppresseur...
A propos de Flavius Josèphe Né en 37 à Jérusalem, Ben Mathithiau dit Flavius Josèphe est un historien juif du coté des romains. Il est l’auteur de « Guerre Juive » dans lequel il ne mentionne pas JC et de « Les Antiquités juives » vers +95 en vingt livres. Au chapitre XVIII apparaît un bref passage relatif à Jésus connu sous le nom de Testimonium Flavianum. Cependant, il ne fait aucun doute aujourd’hui que ce passage constitue, sinon dans sa totalité, au moins partiellement , une interpolation due à une main pieuse (L’Église elle-même le reconnaît), effectuée au IVe siècle par Ambroise de Milan sous le nom d’Egesippo ou d’Eusèbe de Césarée « le faussaire » (L’âme damnée de l’empereur Constantin). On voit d’ailleurs mal comment un juif pourrait parler d’un « messie »