D’autant plus que cette magnifique demoiselle ne doit sa notoriété qu’à un rôle insipide dans un film de Sofia Coppola, "Lost in translation". Autant Bill Murray y est grandiose dans son rôle de star vieillissante et dépassé par les évènements, autant sa prestation se limite à une scène en petite culotte dans une chambre d’hôtel.
Une fois la notoriété (justifiée ou non) est là, il faut l’entretenir, quitte à sombrer dans le ridicule...
Je me trouve dans la situation de Zalka : j’ai 15 km à faire pour me rednre à mon travail. J’ai le choix entre les transports en commun, et comme sur Paris tout est centralisé sur cette ville-qui-se-prend-pour-le-centre-du-monde, je suis obligé de prendre la voiture. Parce que ça représente 15minutes en voiture, et plus d’une heure si je prends une correspondance à la capitale pour revenir.
Et oui, les transports en commun inter-banlieues, c’est pourri !
Sans oublier que là où je vivais avant, les transports en commun entre deux petites villes du Loiret, en horaires décalés, c’était moyen aussi.
Ah que j’aime les gens des villes. Ils vivent vraiment sur un autre monde...
Je n’aurais pas mieux dit, That Jazz. Je me permets de joindre une citation de Jules Romain (dans "Les hommes de bonne volonté") :
"Une démocratie, c’est d’abord ça : une façon de vivre où les gens osent se communiquer les choses importantes, toutes les choses importantes, où ils se sentent le droit de parler comme des adultes, et non comme des enfants dissimulés."