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Je suis ce que je suis et ce que vous penserez que je suis :) Tout autre description ne serait qu'arbitraire...

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Derniers commentaires



  • ledoigt ledoigt 25 mars 2014 12:49

    C’est vrai, il faudrait plutôt dire la connaissance pervertie de la Vie, de la Vérité, du Logos qui est en toutes choses.

    Dans la Genèse, il est question d’un arbre de Vie au milieu du jardin (notre âme) qui est potentiellement l’arbre de la connaissance du bien et du mal, selon ce que l’homme en fait.

    Il nous est dit que l’être humain s’empare de la Vie pour son « bien », il crée l’espace-temps, la mémoire et la cassure de la Réalité et entre dans cette représentation du monde où les choses n’ont de relation entre elles que par ce qui est déterminé par l’homme par sa vision restreinte à lui-même et à sa vision des choses.
    L’orgueil c’est résumer le Réel à son propre monde. Et c’est ce qu’on apprend tous, par transmission éducative.

    Il y a le Bien, le Beau que Dieu a créé, la transcendance, la présence de Dieu qui est en toutes choses, et dans laquelle nous sommes. C’est en cela que nous sommes des dieux, ou fils de Dieu.

    Et il y a le « bien » relatif, déterminé par l’homme et cette relativité entraine automatiquement son contraire, le mal, ou le malheur.
    La morale, l’éthique, la loi, sont un mal nécessaire pour vivre dans ce monde duel que nous avons créé.
    Alors, les dieux déchus que nous sommes, se croient séparés du Père, et séparés les uns des autres, alors que dans le Réel, nous sommes UN, dans le Christ qui est dans le Père. « Toutes choses subsistent en lui ».

    Le « deux » peut-il concevoir ce qu’est le UN ?
    Jésus nous apprend comment nous libérer de la dualité, retrouver notre nature originelle, sans nous faire la morale.
    « Car vous êtes morts et votre vie est cachée en Dieu avec le Christ ». (Col. 3,3)



  • ledoigt ledoigt 23 mars 2014 22:16
    Les vérités éternelles (non-temporelles) peuvent fort bien inspirer les cinéastes et les écrivains de notre temps comme elles inspiraient jadis les sages et les prophètes dans un langage imagé. C’est vrai qu’avec le cinéma américain qui est assez proche de la mythologie grecque, on est loin de la brise ténue que Dieu faisait goûter à Elie, sur le mont Horeb.

     L’Élu doit retrouver l’union avec le Père, et c’est notre chemin à tous.
    Ce chemin est difficile, parsemé d’obstacles, la porte est étroite, et l’ennemi rôde.
    Le Fils, c’est la manifestation du Père, ou la projection de la Lumière dans le monde sensible. Le Père c’est l’Information créatrice.
     L’Élu est celui qui comprend qu’il est la manifestation visible du Père invisible. « Le Fils est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la Création », et aussi Jean 5,19

    Tant que l’Élu n’a pas réalisé qu’il est la manifestation du Père, il erre dans le labyrinthe de ses illusions, des ombres, des costumes et des décors qu’il prend pour la réalité, c’est là le mensonge dont le rôle est tenu par les « peuples ennemis » qui cernent l’Elu.

    « Beaucoup pensent en effet que l’antéchrist sera un extraterrestre voire un hybride. »
    Forcément, si à la fin du temps imparti, l’homme n’a pas réalisé son union, s’il n’est pas devenu un nouvel homme, à la suite du premier-né de la création, il reste un hybride, un homme divisé en lui-même, un anti-christ (et non pas « anté »christ)

    "Un autre message que décela un de mes amis c’est que le « sauveur » ne peut être soumis aux faiblesses humaines pour qu’il soit efficace".
    Tout enseignement spirituel appelle au détachement. Ce détachement s’opère de lui-même, en fonction de la compréhension qu’on a de la réalité du monde qui nous entoure, de ce qui nous a été inculqué en matière de connaissance, de morale, de goût ou de dégoût, etc...La vérité libère de la soumission.

    Quant à la sexualité des messies, ils ne sont pas des hommes mâles, mais un Anthropos, un homme ayant réuni en lui, le pôle mâle et le pôle femelle, âme et esprit, et qui sont donc des hommes entiers et accomplis, comme dit dans le logion 22 de l’évangile de Thomas

    Satan, c’est étymologiquement l’Obstacle, l’adversaire.
    Dans le livre de Job, le Satan est considéré comme un fils de Dieu, celui qui est envoyé pour tester les élus.
    Lucifer n’est pas Satan, c’est bien le porteur de lumière, mais il s’agit du feu de Prométhée dérobée aux dieux, ou encore le fruit séduisant et précieux pour ouvrir l’intelligence des hommes, dans le fameux jardin.
    Lucifer, c’est ce que devient l’homme au service de la science : le roi de son royaume de pacotille.

    Il ne faut pas stationner trop longtemps dans le dualisme chrétien évangélique, ou autre, parce que dans le « deux », le diable réside ;)



  • ledoigt ledoigt 23 mars 2014 13:26

    666 symbolise la science des hommes qui veut atteindre le 7, symbole de l’Information Créatrice, des 7 esprits de Dieu qui parcourent la Création.

    La science des hommes, vise le bien-être absolu, voire l’immortalité sur cette terre, via la médecine, le progrès technologique, le confort, connaissance trompeuse du bien et du mal, car fondée sur une base arbitraire, individuelle et illusoire. Les prophètes appellent cela « prostitution ».

    Le bien pour soi n’est pas nécessairement un bien pour autrui, l’actualité nous le rappelle tous les jours et pire encore quand on essaie d’imposer son propre « bien » par les forces du « bien »...

    C’est cette connaissance pervertie du « bien et du mal » qui constitue la nature de la faute originelle, et la transmission de ces connaissances visant à perpétuer un système qui tôt ou tard tue l’homme, ou du moins son âme, car du fait qu’elle cherche son propre confort éphémère et temporel se détache de la nature divine et éternelle. Le fait que vous et moi sommes dans ce monde indique que, dans l’intemporel et l’absolu, nous avons été pervertis par cette science qui se transmet de génération en génération.
    Ce qu’on lit dans l’Apocalypse, ce sont les conséquences de cette Bête qui porte l’empreinte de cette pseudo-connaissance, tout au long des siècles et proclame la ruine de l’homme toutes les fois qu’il invoque la paix et de sécurité.

    Si l’Apocalypse révèle la finalité de la pseudo-connaissance de l’homme mise à son seul profit, la Genèse révèle que dès son commencement l’homme a transformé l’Arbre de Vie en « arbre de la connaissance du bien-ET-du-mal »et que ce fruit était séduisant et précieux « pour ouvrir l’intelligence »
    Ce qui veut dire que nous qui sommes ici, ne sommes pas satisfait de cette information créatrice, que nous ne la comprenons pas à sa juste valeur et que nous préférons la mettre à profit pour faire fructifier notre « je suis » limité dans le temps et dans l’espace.

    Comme une cellule qui prolifère toute seule jusqu’à contaminer les cellules et organes voisins....

    La Bête, le dragon, le serpent et ses circonvolutions, c’est tout simplement la raison raisonnante ou le mental menteur, comme disent les orientaux. Voir l’étymologie de « mental » http://projetbabel.org/mots/index.php?p=mental


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