Bonjour à tous, en lisant l’article ainsi que les commentaires, il se dégage une idée, tenant presque en un mot : liberté. Au fond, le débat contradictoire oppose ceux qui pensent être libres et ne supportent pas de dépendre, même un peu, d’influences astrales dont nous ne savons pas (plus ?) grand chose, et ceux qui revendiquent la liberté de pousser une investigation sur des chemins de traverse. Liberté face à la pensée unique, moderne, qui rime trop souvent avec terne. Pour rappel, n’oublions pas que les arts divinatoires sont présents dans l’histoire depuis la plus haute antiquité, chez tous les peuples, sur tous les continents. Il doit bien y avoir une raison. L’avoir oublié dans nos occidentalismes sclérosés ne signifie pas que ces disciplines soient, a priori, suspectes. Sinon, qu’en serait-il de la paléolinguistique ou de la paléontologie ? On travaille sur des vestiges, des bribes, et on tente d’en extraire des règles. Ca s’appelle la science je crois.
"Aujourd’hui, on fait des films, et on les envoit par ondes. Par ondes... par radio-waves". JC VanDamme
On a beau retourner le problème dans tous les sens, c’est mort. Comme si les citoyens du monde se réveillaient d’une longue léthargie, savamment entretenue par des héritiers en carosse. On doit bien se marrer dans les milieux autorisés. Bon, qu’on en finisse, mais vite. Epargnez nous la lente agonie pathétique du taureau blessé auquel le matador éburné feint d’imposer sa volonté de mâle impuissant. Laissez nous courrir dans les champs d’éoliennes, ceuillir des abricots Monsanto juteux et mutants, laisser nous faire l’amour une dernière fois avant d’envoyer des missiles payés par nous-même sur des pays dont personne ne sait rien. Laissez nous respirer une dernière fois cette atmosphère moribonde qui promettait pourtant un avenir à toutes les éspèces dignes de ce nom, laissez nous plonger encore une fois sur un tombant des Maldives, pour jouer avec les tortues et les bébés requin avant de regarder le soleil se coucher dans son écrin de feu. Faites nous la grâce de ne pas commencer le bombardement par la pointe de Pen’march en novembre, parce que c’est vraiment trop beau. Prenez tout ce que vous voulez, nous n’avons déjà plus grand chose. Il nous restait un vague espoir, rebut d’énergie adolescente et sans doute boutonneuse, mais elle aussi, vous en êtes venu à bout. Laissez nous jeter un dernier regard sur ce monde que nous allons quitter prématurément, mais avec le sourire résigné de ceux qui ont, un moment au moins, imaginé que tout aurait pu se passer... autrement. Une prochaine fois peut-être. Les balles sont dans votre camp.
Comme nous tous, cet article m’avait fait réagir. Merci d’y opposer un éclairage pertinent et infiniment plus objectif. Il me vient une phrase du fondateur de l’agence HAVAS, fin du 19e siècle si ma mémoire est bonne, un excellent livre sur les origines de l’information moderne : "L’information, C’EST du pouvoir. En maitriser la diffusion, c’est s’approprier ce pouvoir".
Après la mobilette du Molah Omar, peut-être les oreilles de Chavez comme prétexte pour envahir le Venezuela ? Mickey est une arme de destruction massive.