Par ailleurs, votre message semble indiquer que j’ai pu manifester une quelconque hostilité envers les commentateurs. Ce n’est pas le cas, du moins et même parfois mis à mal, je n’ai jamais cherché à braquer les gens, bien au contraire. Ne pas parler de Gaza m’a permis et pas qu’à moi, de renouer contact avec des individus ouverts et curieux pour échanger.
Echangerais tu un met délicieux avec ton pire ennemi s’il te le proposait ? Un cadeau ? Pas moi. Je refuse tout de mes ennemis. Pourtant, je sais ce que je manque. Je sais que le dialogue n’est pas possible. On ne dialogue pas avec son ennemi.
Alors voila, pour que chacun puisse voir la raison de l’autre, il faut que nous devenions amis. Ou tout au moins, que nous cessions d’être ennemis. Essayer de comprendre l’autre et de l’accepter.
Il n y a que deux personnes que j’ai pris le parti de contredire, sans hostilité toutefois : Leon et Frederic Lyon, lorsqu’il a souhaité interprété mon texte. Cette réticence était claire et sans équivoque. Vous pouvez la trouver en cherchant ses interventions et en cherchant ma réponse.
Pour le reste, je me suis abstenu de répondre aux "soutiens embarrassants" ainsi qu’aux commentaires les plus belliqueux (sauf les ptites plaisanteries pour Dalamix parce que c etait vraiment trop ridicule).
Non Emile, toutefois je crois qu’un mensonge déclaré vaut bien moins qu’une vérité cachée. Dans le doute (le vrai doute, celui qui n’emporte pas la conviction de son auteur) s’abstenir ou le présenter comme tel. Les mensonges, chacun le reconnaît, blessent et détruisent à cette époque, aussi certainement que les bombes.
Nulle torture dans vos propos. L’intérêt d’un tel sujet n’est pas de faire passer un message, de m’engoncer moi même dans mes certitudes, mais de provoquer une réflexion, à mon profit et éventuellement à celui de ceux qui jouent le jeu du débat serein.
Je vous remercie et vous fait part de toute ma considération.