• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

velosolex

velosolex

alias "bakerstreet" ! .( abandonné car ayant perdu le mot de passe de mon imail qui conditionnait l'accés) Doctorat en échappée belle. Grande pratique de l'art de la fugue pour guidon et selle de vélo, avec cheveux au vent, pour ce qu'il m'en reste. Dieu me garde des crevaisons quand j'ai la tête dans les nuages, et que je monte à l'assaut des belles collines ! 

Tableau de bord

  • Premier article le 03/02/2011
  • Modérateur depuis le 13/02/2013
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 49 10068 1946
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 183 123 60
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • velosolex velosolex 14 mars 2011 21:30

    J’veux bien prendre le risque d’être renversé par une bagnole
    Mais pas par un char d’assaut !.......



  • velosolex velosolex 12 mars 2011 16:04

    Depuis le tremblement de terre de Lisbonne en 1755, et ses répercutions, autant que par les commentaires qu’il entraina que par ses conséquences ( remise en question du rôle et de la présence de dieu par voltaire) chaque événement de ce type nous ramène à notre pauvre impuissance, et à des choses plus obscures, indéfinissables, quasi animales. Cela nous fait relativiser un temps nos petits problèmes, nos querelles ridicules. Toutes ces maisons et ces trains emportés comme fétus de paille nous laissent abasourdis, tétanisés par la réalité brute et sauvage de la vie, par l’absurdité du destin. 
    Survient la satisfaction d’avoir été épargnés, d’avoir été du bon coté de barrière.
    Que nous refoulons bien vite, comme ces miasmes qui nous agitent parfois l’intestin.
     Nous compensons notre culpabilité par une compassion de bon aloi.
    Puis, au delà des mots, nous rêvons tout à coup à cette véritable communauté humaine qu’il faudrait réaliser, et qui se révèle tout à coup..
     L’aide massive des uns et des autres.
    Le partage des richesses.
    De vrais économies solidaires, et non prédatrices.
     Il semble bien qu’on ne s’en sortira pas sans ça. Car c’est sous nos pieds demain que la terre tremblera. Les failles sismiques se moquent bien de nos pauvres frontières, de nos querelles de religion et de clocher, et nous font réaliser que la terre n’est qu’un organisme global, et que l’on ferait bien de s’en apercevoir au plus vite.
    Indécence total : Les chroniqueurs radio parlant d’emblée de la chute de bourse à Tokyo !
    Comme si la chute de ces pauvres milliards plus ou moins factice pouvaient tuer des gens !



  • velosolex velosolex 12 mars 2011 09:24

    Juste un rectificatif. Quand je parle de Hess et de sa rubrique à France inter, il s’agit évidemment des années 90



  • velosolex velosolex 12 mars 2011 09:19

    Bon article. Pas d’accord vraiment avec l’impertinence supposé des nouveaux humoristes, qui évitent sagement les sujets qui fâchent, tout en se donnant un mal de chien pour tacher de paraitre irrévérencieux. L’exercice est difficile, mais encouragé par les journalistes du plateau, qui font semblant eux aussi de se lâcher, et rient aux blagues laborieuses ( alors que la consigne était de ne pas rire, quand les anciens humoristes sévissaient). Il y en dans cette radio qu’on écoute plus que par habitude un raidissement, un oubli de ses valeurs passées. Même s’il n’y pas l’image, le malaise s’insinue au delà des ondes. Les matinales, c’est comme ces soirées dont on ne sait pas vraiment pourquoi elles sont ratées, sans même avoir envie de pousser une fois de plus l’analyse. Et l’on se dit que voilà une relation qui s’étiole.
    Jean Luc Hess a sans doute au mieux géré sa carrière. Je me souviens que je l’appréciais beaucoup dans les années 70. Ce petit coté cabotin, et cette légère manie de la brosse à reluire, je ne lui en tenais pas rigueur, tant il était tempéré par la bonne tenue de son émission. Et cette voix qui vous charmait.
    Force est de constater combien il s’est fourvoyé. Mégalomanie, arrivisme ? Je me souviens cette façon de s’approprier le siège du speaker le 11 Septembre 2001, sous prétexte qu’il était le « spécialiste » des états-Unis. Il avait un ton tranchant, une analyse radicale. Il remettait vertement à leur place les auditeurs qui osaient donner un avis nuancé, oubliant par là sa mission, qui était de distribuer la parole sans prendre position. Ce jour là j’avais découvert un nouveau Hess, pendant Jykell du gentil mister Hide. Et le reste ne m’a pas vraiment surpris !



  • velosolex velosolex 10 mars 2011 16:43

    Il arrive que le nombre de réactions soit inversement proportionnel à l’intérêt d’un article, dont on se demande s’il n’a pas été écrit par pure provocation, et s’il ne devrait pas se trouver dans la rubrique « parodie ». Leur quantité inflationniste, parfois, c’est comme le PIB d’un pays, qui fait rentrer tout l’activité économique liée à une catastrophe. D’où les rapports finalement entre littérature, journalisme et économie. Et l’intéret, en écrivant, d’être provocateur, à défaut d’être pertinent, afin d’enclencher la réaction.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv