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Les commentaires de Philippe VERGNES



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 22:04

    C’est bien là tout le « mal » que l’on peut vous souhaitez. L’essentiel, résidant dans le fait que vous vous sentiez bien dans vos « baskets » il me semble, non ?

    Maintenant, ce dont il est question dans cet article n’est pas à prendre au sens commun tel que nous l’entendons tous. Mais c’est un autre débat. N’en parlons plus !



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 18:20

    Je vois !

    Il ne faut cependant pas mettre tout le monde dans le même sac. Certains œuvrent aussi avec plus de « conscience » que d’autres. « Bipolaires » dîtes-vous ?

    Lisez donc ceci (c’est très court) et si vous souhaitez approfondir, n’hésitez pas à vous procurer l’ouvrage conseillé (il n’y a pas beaucoup de référence sur le sujet, mais il existe d’autres approches tout aussi dignes d’intérêts). C’est aujourd’hui un véritable problème, car ces « spécificités » ne sont pas communément admises dans notre société. Pire, elles sont difficilement « tolérées ».



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 17:15

    Bonjour Fergus,

    J’ai lu votre article et j’ai beaucoup ri. smiley smiley smiley

    Je dois dire que vous exprimez vos opinions (je lis parfois vos articles) avec un talent vraiment particulier digne du plus grand respect. Je n’en suis pas encore à un tel niveau de « neutralité ». Mais j’apprends, j’apprends et puis... je suis encore un peu « jeune », j’ai encore besoin de calmer mon « impulsivité » !!! smiley smiley smiley

    Pour ma part, j’étais déjà convaincu de la « chose » avant même 2007 lorsque j’ai pu voir un reportage sur le personnage où les membres de sa famille était interrogés (son frère et sa mère). Si vous connaissez la théorie de la perversion narcissique et le concept « d’incestuel », vous ne pouvez plus douter de ce fait après avoir vu certaines expressions du visages des interviewés lorsqu’ils parlaient de l’intéressé. Tous ceux qui ont vécu des situations conflictuelles avec ce genre d’individu peuvent reconnaître ces expressions caractéristiques entre milles. D’où l’approche phénoménologique très pertinente pour aborder l’étude de cette problématique. Approche qui n’est cependant pas dans les mœurs françaises (bien que de plus en plus utilisée outre-atlantique où la parole des victimes n’est pas niée comme en FRANCE).

    Cordialement,



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 16:54

    Bah... ce n’est qu’une question de point de vue. En êtes-vous si sûr ???



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 16:41

    Bonjour soi même,

    Vous avez raison : « la cause profonde de cela n’est toujours pas mis en évidence ». Je me suis contenté jusqu’à présent de n’évoquer que les différents outils diagnostiques dont nous disposons à l’heure actuelle pour « évaluer » cette problématique. Il en existe d’autres encore qui apportent aussi leur pierre à l’édifice (je pense notamment à la théorie de l’attachement de John BOWLBY et à celle proposant une thérapie des schémas de Jeffrey E. YOUNG adaptée aux personnalités limites qui sont fondées sur des techniques dîtes « intégratives » (réunissant les apports de divers écoles ou courant de pensée).

    Mais, ce qui explique le mieux les causes profondes de ce problème, reste à mon sens celui de la psychotraumatologie et des études sur les traumatismes et le stress (le courant « biologisant » que j’ai mentionné avoir volontairement éludé dans cette présentation). C’est la partie la plus « ardue » du sujet et il n’existe que très peu d’école qui en FRANCE proposent des formations dans ce domaine. Un peu normal, il touche à la façon dont nous sommes et nous pouvons tous être facilement manipulé de nos jours par tous nos « merdias mainstreams ».

    A suivre donc !!!

    P. S. :
    J’ai pourtant « effleuré » le sujet en parlant à plusieurs reprises de l’un des précurseurs de cette discipline, à savoir en l’occurrence : Henri LABORIT, inventeur du terme de « pensée complexe » sur la base des travaux d’Alfred KORZYBSKI et dont Edgar MORIN a développé le concept dans tout au long de son oeuvre (et notamment celle en 6 volume de « La méthode »).



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 16:02

    @ Lionel,

    Je connais très bien le livre d’Andrzej LOBACZWESKY, « La ponérologie politique ». Le sujet s’accorde parfaitement avec l’étude des perversions narcissiques d’un point de vue social.

    Pour les « trolls » intervenants sur ce genre de sujet, même parfois sous des apparences « intelligentes », il faut savoir que « parler du pervers, invoque le pervers ». Ils sentent le danger qu’il y a dévoiler leurs tactiques. C’est quasi imparable. Ils en deviennent « hystériques » !!! smiley



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 15:52

    Mais peut-être sommes-nous tous sectaires alors ???



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 15:50

    @ emmanuel muller,

    Bonjour,

    Une nouvelle fois vous mettez dans le mille. Je répondrais plus en détail à votre commentaire, car j’y ai déjà consacré une réponse sur mon blog. Mais concernant le « mouvement pervers narcissique », ce que j’ai voulu exprimer dans mon premier article et mes commentaires : c’est bel et bien le fait que nous pouvons tous en être à l’origine. Le tout est d’en avoir conscience ou pas, comme le démontre les échanges qui ont suivi sur le fil de discussion de ce premier article. Après, ce (et ceux) qui continue à alimenter ce mouvement perversif qui n’a plus lieu d’être lorsque les personnes s’en expliquent, c’est une autre histoire.

    Dans cet article, vous pointez judicieusement l’historique que j’attribue à la « notion » de psychopathie. Historique que j’ai amputé (et malheureusement « bâclé ») volontairement pour ne pas rallonger cet article déjà très long afin de centrer le sujet sur le point le plus important de cette problématique qui est l’agressivité (à nuancer de l’impulsivité même si de nombreux auteurs utilisent l’un et l’autre de ces deux termes pour désigner la même chose), mais cela ne vous a pas échappé ce qui me permettra de préciser ce fait qui n’est pas mien. Certains auteurs présentent ainsi l’historique de ce concept, sans préciser les différents sens que lui ont attribué les psychiatres dans l’histoire de cette discipline. Ce qui a pu générer de nombreuses confusions dont vous vous doutez bien.

    J’utilise pour ma part le mot « psychopathe » dans ce texte au sens ou l’entend J. Reid MELOY et de nombreux auteurs s’inscrivant dans le courant psychodynamique de l’étude de ce champ d’investigation.

    Il est exact de dire qu’à l’origine, le terme (et non pas la notion comme indiquée dans ma courte présentation historique) de « psychopathe » avait un sens différent de celui qui est aujourd’hui admis par le courant « biologisant » (H. CLECKLEY et R. HARE) qui est encore différent de celui employé par le courant psychodynamique. Bref, tout cela complexifie encore plus le sujet que j’ai tout de même souhaité « simplifier » un peu pour le rendre plus abordable.

    Ce que vous évoquez très justement rejoint ma conclusion concernant le « signifiant » (le mot désignant la « chose ») et le « signifié » (la « chose » désignée). C’est un problème de sémantique et de ce côté-là, je n’ai jamais eu la prétention d’égaler un Paul-Claude RACAMIER. smiley



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 15:22

    @ COLRE,

    Bonjour COLRE,


    Effectivement, il en existe. J’y ai fait rapidement allusion dans un des commentaires suite à mon premier article.


    Il existe en effet quelques liens sur les conséquences génétiques qu’engendrent les violences psychologiques récemment découvert par Élisabeth BLACBURN, prix Nobel de médecine en 2009 pour ses travaux sur la méthylation de l’ADN (où plutôt la « déméthylation » de l’ADN) : cf. article Science et Vie « Nos états d’âme modifient notre cerveau ».


    Nous pouvons trouver d’autres articles dans de nombreuses revues tel que par exemple celui sur la « Biologie des émotions : la physiologie du STRESS » paru dans le magazine « Le monde de l’intelligence » d’avril/mai 2012.


    Sur le débat entre inné et acquis qui n’a plus lieu d’être de nos jours grâce suite aux découvertes en épigénétique : cf. revue « en tête » de l’université Mc GILL au CANADA, article « Nature et culture, inné et acquis » page 16 (l’article qui précède cette présentation n’en est pas moins intéressant sur le sujet des traumatismes et de leur possibilité de traitement).


    D’un point de vue neurologique (et non pas épigénétique), il y a de très nombreuses références et les études sur les différences neuroanatomiques du cerveau d’un psychopathe sont désormais connues (cf. la vidéo « Je suis un psychopathe » en lien dans l’article). Toutefois, l’histoire de ces recherches et la compréhension de cette problématique s’écrivent au jour le jour, mais il est important de souligner qu’en matière neurologique rien n’est définitivement irréversible (cf. les études sur la neuroplasticité du cerveau). Ce qui pose bien évidemment le problème de « l’inamendabilité » du psychopathe (ce n’est parce que nous n’avons pas de solution à l’heure actuelle qu’il n’en existe aucune et de plus en plus de thérapeutes entreprennent des traitements envers ce genre de « public », mais si ces méthodes se développent - malheureusement bien peu en FRANCE pour l’heure -, c’est encore au stade « embryonnaire »).


    Cordialement,



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 12:03

    @ Lionel,

    Bonjour et merci pour votre commentaire.

    J’ai effectivement deux autres articles sur le sujet en court de préparation ; l’un portant sur les techniques de manipulations modernes telles qu’actuellement employées dans tous nos médias « mainstreams » et qui sont des copiés/collés des manœuvres perverses que subissent les personnes en proie à ce type d’individu et l’autre portant sur les effets de ces techniques et la manières dont elles affectent nos processus perceptuels et nos décisions.

    Mais j’attendrais un peu avant de les présenter à la modération, le temps de faire un peu retomber la « pression ».

    Cordialement,

    P.S. :
    Vous avez été « moinsé », aussi je me permets de vous « plusser », mais les « opposants » sont « coriaces » smiley !!!



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 09:16

    Bonjour et merci,

    J’ai lu votre article : très intéressant. Il est vrai que le reportage de Ian WALKER est un modèle du genre en ce qui concerne « l’agressivité » des psychopathes (ou des pervers narcissiques). La difficulté consiste à comprendre que sous le terme « passage à l’acte », il est aussi inclus « l’acte de parole » et donc la violence verbale comme indicateur d’agressivité. Ce qu’illustre remarquablement bien ce reportage. En ce sens, Ian WALKER a réalisé une prouesse.



  • Philippe VERGNES 18 janvier 2013 21:01

    @ amipb,

    Merci à vous !

    Je vous ai « plussé » pour compenser le « moinsage » dont votre commentaire a fait l’objet. Il semblerait bien effectivement que pour certains toutes les vérités ne soient pas bonnes à dire (ou plutôt à entendre).



  • Philippe VERGNES 12 janvier 2013 21:53

    @ Gaspard Delanuit,

    Remarque très intéressante qui traduit bien le fait que, comme nombreux ici, nous sommes plus en clin à reporter la faute sur autrui plutôt que d’assumer ses propres responsabilités dans la compréhension d’un texte.

    Vous dîtes : "Par ailleurs je ne vous prête pas d’intentions et je n’ai aucun moyen de savoir ce que vous avez voulu exprimer : je m’en tiens exactement à ce que vous avez effectivement exprimé« . Erreur !!!

     »Entre
    Ce que je pense
    Ce que je veux dire
    Ce que je crois dire
    Ce que je dis
    Ce que vous avez envie d’entendre
    Ce que vous croyez entendre
    Ce que vous entendez
    Ce que vous avez envie de comprendre
    Ce que vous croyez comprendre
    Ce que vous comprenez
    Il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer.
    Mais essayons quand même...« 
    [Bernard WEBER,  »Encyclopédie du savoir relatif et absolue« , tentative de communication.]

    Je ne vois pas dans vos propos les cinq »tentatives« qui sont de votre propre fait.

    Je réitère ici, ce que j’ai déjà déclaré dans de nombreux messages : les interprétations que certains font de mes écrits sont contredites par mes articles eux-mêmes, il suffit d’être un peu attentif au texte qu’on lit.

    La position que vous m’allouez en citant ces 14 lignes ne me donne aucune chance d’être correctement compris puisque ce que vous en déduisez (votre part de responsabilité dans la communication) est exactement l’inverse de ce que je déclare de façon univoque dans les paragraphes qui suivent ces 14 lignes et le sens du fond de ce message.

    Autrement dit, vous cherchez des informations qui puissent satisfaire VOS INTERPRÉTATIONS et non pas à »adopter les positions d’autrui" comme une démarche empathique vous permettrez de le faire facilement.

    Vérifiez !!! Tout est écrit et si au lieu d’affirmer certaines choses comme vous avez pu le faire, vous vous étiez donné la peine de m’interroger sur le sens à donner à tel ou tel paragraphe, je vous aurais répondu comme j’ai pu le faire à tous ceux qui ont eu cette démarche avec moi tout en étant pas nécessairement d’accord avec ce que j’écrivais.

    Cela s’appelle le respect. Un respect dont certains se réclament tout en ne l’accordant pas à son contradicteur. C’est cela la démarche perverse !!!

    J’ai cependant bien noté que vous réfléchissiez un peu plus que d’autres qui tournent en boucle autour de leurs propres fausses interprétations. Que vous les imitiez, ou que vous preniez le temps de méditer sur ce que je vous écris n’est que de votre responsabilité, pas de la mienne.



  • Philippe VERGNES 12 janvier 2013 21:10

    @ Gaspard Delanuit,

    Je n’ai jamais prétendu la tâche facile ni même simple. Je le précise d’ailleurs en introduction de cet article.

    Vos questions et inquiétudes sont légitimes. Je vous ai cependant donné un exemple précis sur la question du bouc émissaire en réponse à votre message où vous y faisiez référence (que vous avez posté le 9 janvier 18:01). Telle est la réalité actuelle !!!

    Le risque est très, très grand effectivement et c’est pour cela que dans notre société le chaos dont la victime se plaint est perçu comme un désordre à l’équilibre social et suscite les réactions qu’il suscite à l’énoncé de cette problématique.

    Vous dîtes : "Et à qui donner l’autorité de distinguer celui est est effectivement monstrueux de celui qui est victime d’un groupe d’accusateurs constitué en meute ? A quel inquisiteur confier la tâche de démasquer le malin sous les sourires et les larmes ?« 

    Encore une fois, je vais vous répondre que vos questions sont pertinentes et que malheureusement, en l’état actuel de notre société rares, très rares même, sont les personnes capables de comprendre les interactions en jeu dans ce genre de relation. Mais les connaissances existent, il suffit seulement de les enseigner ce qui se fait petit à petit actuellement. Toutefois, il y a des solutions et refuser de les voir en invoquant le principe de précaution que vous soulevez, c’est se rendre complice du phénomène de bouc émissaire qui est en court de nos jours.

    Je comprends vos craintes, mais l’aveuglement auquel elles nous exposent est en train de faire dériver notre société vers ce à quoi vous cherchez à la protéger.

    Je proposerais demain un autre article exposant les outils précis de reconnaissance du »malin« . Il est loin de faire un état exhaustif de toutes les possibilités dont nous disposons de nos jours. S’il passe la modération, vous pourrez peut-être vous rendre compte qu’une certaine »science avec conscience« a bien fait son boulot. Pourquoi n’était-ce pas cette science-là qui est prodiguée de nos jours ???

    Par ailleurs, je précise également que des solutions existent aussi pour les »disciples du malin« et même si c’est très compliqué pour eux, ils s’en sentiraient beaucoup mieux (ceux qui ont été identifiée et pris en charge de façon rigoureuse, ce qui n’est pas encore possible en France à l’heure actuelle, et se sont délivrés de leur propres »démons« témoignent tous de leur immense soulagement à s’en être »sortis".

    Mais bon, je me répète : c’est tout un programme !



  • Philippe VERGNES 12 janvier 2013 20:36

    @ emmanuel muller,

     smiley smiley smiley

    Message reçu cinq sur cinq. Aucune interférence dans la communication.

    Parfaitement d’accord pour les coups de stabylo, mais alors ce n’est plus un article qu’il faut écrire... d’où je crois la grande difficulté de parler « hors » clinique de cette théorie qui, comble de malheur, n’est même pas accessible à la plupart des professionnels eux-mêmes puisque certains font même parfois pire que les pires des commentateurs ici. smiley

    C’est surtout ça que je trouve grave, après, même si je parais insister, ce n’est que pour « tester » à quel point comment ce genre de texte peut être lu et mésinterpréter, d’autant plus que ce que l’on me reproche est objecté dans mes articles. Il suffit « simplement » (je crois que je vais toutefois « bannir » ce terme ici) de pourvoir les lire en contexte (cf. votre déclaration à laquelle j’adhère à 2000 % : « J’entends par là une recherche parmi les sens multiples plausible pour ré-indexer au fur et a mesure »).

    RACAMIER a exactement été abordé comme vous le décrivez. Par contre, pour photographier distinctement les différents puzzles... sur un dictionnaire entier... vous imaginez le boulot : c’est un bouquin qu’il faut écrie pas des articles. smiley !

    Vous dîtes : "C’est déjà ce que vous faites en faisant plusieurs articles transversaux d’ailleurs, mais c’est pas son puzzle a lui que ça réorganise ... enfin je crois, dites moi si je doit relire mieux".

    Je suis franchement MDR lorsque j’entends de tel propos : pas besoin d’expliquer. Tout est net clair et précis : vous n’avez pas à relire mieux ce qui m’apporte beaucoup de plaisir à pouvoir causer de tout ça, j’imagine que vous devez parfaitement comprendre. smiley !

    En matière de transversalité, je proposerais demain à la modération d’Agoravox, un quatrième article qui aborde le sujet sous un tout autre angle (plus connu du grand public, mais que l’on différencie de la perversion narcissique, nous verrons qu’en fait, cette conception est totalement complémentaire à celle de RACAMIER).

    Autrement dit : ces deux théories s’enrichissent l’une, l’autre (Ha émergence, émergence !!!).

    En tout état de cause, ravi de ces quelques échanges, vous n’imaginez pas à quel point vos réflexions et vos interrogations me permettent de préciser (re-lier) les différents concepts entre eux (le problème lorsque une chose est évidente pour quelqu’un : c’est de comprendre pourquoi ça ne l’est pas pour les autres, mais ça aussi, je pense que vous connaissez très bien).

    Cordialement,



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 11:43

    @ bonjour easy,

    Vous dîtes : « Puis-je au moins savoir qui vous ordonne de m’électrocuter ? »

    Votre imagination easy, uniquement et seulement votre imagination.

    Vous trouverez que ma réponse est un raisonnement circulaire, mais vous me renvoyez toujours aux « intentions » que, selon vous, j’aurais eu à votre encontre pour vous manipulez. Et vous insistez plus que lourdement en argumentant autour de cette thèse avec beaucoup d’aisance, je le reconnais. J’ai déjà dis de mon côté que je RESPECTAIS votre position, mais que je ne la partageais pas pour des raisons, entre autres choses, que j’ai développées et précisées ce matin dans mes réponses à Gaspard Delanuit, mais que j’avais déjà exposées dès mes premiers commentaires lors de mon premier article. Raisons qui aurait dû faire l’objet du débat en lieu et place de sophismes « ad hominem » qu ne constituent qu’un moyen de détourner l’attention du fond du sujet vers les « qualités » de celui qui l’expose afin d’empoisonner le puits. Telles sont les finalités de tels procédés auxquels vous vous êtes prêtés.

    Ce RESPECT que vous n’avait pas su me rendre dans votre dernier message, malgré une profonde marque de sollicitude de ma part à votre encontre allant même jusqu’à m’excusez alors que vous m’accuser de vous caresser dans le sens du poil pour mieux vous poignarder dans le dos par la suite (tel est du moins ce que j’en déduis de votre prose).

    Mais cela, ce n’est que dans votre tête, dans votre « imagination ».

    A la vue de vos réactions, il est très facile de comprendre ce qui vous choque et dès lors d’activer chez vous cette « imagination » qui doit faire probablement « échos » à votre propre vécu. Personnellement, je ne veux pas savoir, je ne veux pas m’immiscer dans votre intimité, c’est votre histoire et dans ma vision des choses, c’est même impudique d’insister à le faire. Je ne vous imagine absolument pas « électrocuté », je ne fais que réactivé chez vous ce que vous percevez comme étant des tentatives de manipulation pour tenter de vous faire prendre conscience qu’en fin de compte vous vous comportez exactement de la même manière que celle que vous me reprochez : vous faîtes là de la lecture de pensée. C’est de la « pensée magique » digne du temps des sorciers que vous rejetez.

    Je dis bien « tenter ». Prenant acte de mon échec, j’en resterais là ! Et non, je n’ai jamais « tenter » de vous manipuler, c’est vraiment mal me connaître que d’affirmer une telle chose, et l’on est encore là dans les interprétations « fallacieuses » (? ??), perverses (? ??), (ce dont vous m’accusez également), paranoïaques (? ??). En tout état de cause de FAUSSES allégations. Je n’ai que simplement chercher à développer un dialogue avec quelqu’un qui me semblait suffisamment intelligent pour exprimer ses idées sans tomber dans l’agression verbale avec quelqu’un qui comprenait vos réserves, mais ne les partager pas toutes. Pour les raisons déjà citées plus haut, mais là je ne fait que me répéter. Encore et encore. Je prends également acte de cette impossibilité de dialogue c’est la raisons pour laquelle, je vous ai déjà dit que j’en resterais là. Ce que je ne fais pas en répondant à la question à laquelle vous m’invitez à répondre... Mais bon, de mon point de vue, c’est une marque de respect. Du votre je n’en sais rien et je n’ai aucune prétention à le savoir. Contrairement à certains, je ne suis pas dans le jugement et si vous lisez bien l’ensemble de ces trois articles, vous verrez bien qu’il y plus chez moi une recherche de vérité qu’une réelle volonté de stigmatisation de tel ou tel autre type d’individu. Là encore, au contraire de ce dont vous m’accusez encore.



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 10:09

    @ Bonjour JL,

    "Article 29
    • Créé par Loi 1881-07-29 Bulletin Lois n° 637 p. 125

    Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés.

    Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure.« 

    Vous allez pouvoir exposer vos »preuves" devant des gens aptes à en juger.

    A très bientôt !!!



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 09:22

    @ Gaspar Delanuit,

    Je suis également bien aise que vous y songiez : je cite l’œuvre complète (et non pas le seul livre sur les « boucs émissaires ») de René GIRARD en référence dans mon article.

    Pour l’heure, et cela convient très bien à notre société actuelle, les seuls « boucs émissaires » qu’il existe sont les victimes de ce fléau (qu’il soit « humain » ou « systémique »). Ce que vous dîtes en prévenant de l’inquisition, je l’entends très bien et même très, très bien. Je suis très lion d’être sourd à vos remarques, par contre certains sont plus ou moins sourd aux miennes et si vous avez des solutions pour rompre cette différence, n’hésitez pas à partager je suis preneur. Je cherche même la façon de pouvoir contourner le problème SANS AVOIR à le renverser. C’est-à-dire à faire du p.n. un bouc émissaire à la place de sa (ses) victimes.

    Maintenant, je vais vous poser un problème : si vous aviez connaissance d’un cas (qui est très loin d’être unique, mais que l’on préfère dénier totalement) d’une personne qui a conduit trois de ces conjoints au suicide (à la mort, on est bien d’accord la-dessus... hein ???) qui en a poussé une quatrième au suicide (heureusement « manqué ») et qui de part la relation qu’il a instauré avec ses enfants les a conduit tout trois en résidence asilaire permanente (pas en hôpital de jour comme j’ai pu l’indiquer en échangeant avec emmanuel muller) que feriez-vous ??? Laisseriez-vous les choses se dérouler comme elles se déroulent « normalement », c’est-à-dire en continuant à sacrifier des « bouc émissaires » comme cela se fait tout les jours sous nos yeux sans que nous bougions le petit doigt, ou agiriez-vous autrement en tentant d’épargner ces six victimes, quitte, malheureusement, à en sacrifier une ???

    Voyez bien que la question n’est pas si simple.

    Nos divergences d’opinion se situe dans le fait que vous cherchez à prévenir un phénomène qui risque d’apparaître et moi de mon côté je vous dis que ce phénomène est déjà en court dans notre société et que nous le dénions pour nous assurez le maigre confort que « cette violence victimaire inflige déjà à des boucs émissaires » qui eux ne sont pas virtuels ni imaginaires, ni futuristes. Ils sont ici et maintenant.

    « Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l’une, ni l’autre » [B. FRANKLIN] Plus précisément la citation exacte est : « Ceux qui abandonneraient la liberté essentielle pour acheter une peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité. » [« Those who would give up Essential Liberty to purchase a little Temporary Safety deserve neither Liberty nor Safety. »]

    C’est pourtant bien-là la finalité de notre aveuglement actuel.



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 08:47

    @ Gaspar Delanuit,

    J’admets que vous êtes plusieurs à en douter et je pense m’en expliquer dans ma réponse précédente concernant l’extrait que vous avez choisi de citer.

    Vous dîtes : "C’est pourquoi j’écrivais plus haut « Il est vain de chercher un « diable » humain extérieur qui en serait l’incarnation ultime dans notre entourage. Il est en revanche utile de trouver une philosophie et un comportement qui nous préservent de nos propres tendances narcissique perverses, aussi bien que de celles des autres« .

    Je partage et je suis d’accord. J’y mets cependant un bémol et un GROS. Il se trouve expliqué de façon très subsidiaire dans l’extrait que vous citez du message que j’adressais à Christian LABRUNE. Peut-être faudra-t-il un jour expliquer cela car peu de chose sont écrites sur le sujet. Je précise simplement la pensée de plusieurs grands spécialistes de la question (ce qui sont sur le terrain tous les jours confrontés à cette problématique) : »Il faudrait se poser la question de la prédation morale et du meurtre psychique pour chaque suicide qui se produit". C’est pas une simple paille ça tout de même non ???



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 08:37

    @ Gaspar Delanuit,

    Je suis bien aise de vos recherches et croyez bien que je salue tel qu’il se doit cet effort : RESPECT !

    J’avais répondu hier à ce message, mais je ne sais pour quelles raisons, je n’ai pas réussi à le poster. Je vais essayer de le refaire.

    Que parveniez à conclure ce que vous concluez de l’EXTRAIT de ce long message cité que j’adressais à Christian LABRUNE n’est guère surprenant.

    Ce qui l’est plus, c’est que vous sortiez cet extrait du contexte dans lequel il a été écrit.

    Je suis convaincu (à moins que vous m’affirmiez le contraire) que si votre « idole » politique (ou autre peu importe, cela peut-être une personne que vous respectez tout simplement) venez à être attaquée sur des propos tenus à telle ou telle autre occasion, mais dont le sens est déformé en raison d’un ou plusieurs facteurs X ou Y, vous hurleriez au loup en criant à la manipulation et à l’injustice. Et ce serait légitime ! NON ??? (Je fais ici allusion à l’homme politique, tout simplement car dans ce milieu-là, c’est le sport favori)

    Dès lors, pourquoi faire usage d’un tel procédé ???

    J’en appelle à votre bon sens (si tant est que nous puissions encore en avoir un de nos jours bien que, soit disant, ce soit la chose la mieux partagée au monde) : il y a dans cet article des paragraphes qui précédent cet extrait (et d’autres qui le suivent) qui situent TRÈS CLAIREMENT et de façon unilatérale et univoque (UNIVOQUE entendez-vous ?) ma position par rapport aux personnes que je désigne sous le terme des pervers narcissiques. Pourtant, et c’est en cela que je faisais de nombreuses références à ce message, vous (et d’autre avec vous) avez TOTALEMENT éludé ce détail-là. Depuis, vous cherchez (avec quelques autres intervenants) à développer des avis, des opinions, des jugements de valeur... et je ne sais quoi d’autres, à comprendre le pourquoi de la chose, à supposer, supputer je ne sais qu’elle hérésie, à affirmer même bien souvent, un peu tout et surtout n’importe quoi.

    Après, vous congratulant l’un l’autre, vous parvenez à une position qui, si elle devait encore se développer, deviendrait complètement délirante.

    Et c’est à moi que l’on reproche quoi que ce soit alors que la solution à vos interrogations et circonvolutions boiteuses (mais auxquelles vous accordez beaucoup d’importance et de sens) est devant vos yeux depuis le début et vous ne l’avez pas vu ???

    Savez-vous lire un texte ou un message EN CONTEXTE et en comprendre le sens sans en déformer les propos : c’est -à-dire, sans prêter d’intentions à son auteur, autres que celles qu’il a souhaité exprimées (même si l’expression de cette intention n’est pas claire pour vous et dans ce cas, mieux vaut commencer par-là ce qui fut fait par un seul contradicteurs pour le moment et c’est le message que je ne cesse de citer) ???

    Certains y parviennent, d’autres moins et d’autres encore ne le peuvent absolument pas. Ce n’est pas à moi de vous situez sur ce continuum. Ce n’est que de votre ressort et de votre propre responsabilité.