150 médicaments supplémentaires déremboursés.
La décision a été prise par le directeur de l’union nationale des caisses d’assurance maladie : 150 médicaments qui sont désormais déremboursés, la quote part des caisses d’assurance maladie n’étant plus que 15%. Cette liste, publiée aujourd’hui au Journal Officiel rend effective une décision dont toute la presse s’est fait l’écho depuis plusieurs semaines.
Ces médicaments ont été évalués par la Haute Autorité Sanitaire qui a jugé que le service médical rendu était trop faible par rapports aux nouveaux médicaments mis sur le marché par les laboratoires pharmaceutiques. La liste comprend des noms familiers à bon nombre de français : Zorivax, Rhinadvil, Debridat, Percutalgine ou encore Hexomédine, autant de boites qui trainent dans nos pharmacies personnelles depuis très longtemps. Ces médicaments, encore remboursés à 35% passent dès aujourd’hui à un nouveau taux de 15%, ce que signalera une vignette orange.
Cependant, les pharmaciens ont 3 mois pour écouler leur stock, il sera donc possible de trouver ces médicaments familiers, que nombre de français utilisent depuis des années, pendant quelque temps au taux ancien de remboursement.
La Mutualité Française qui regroupe la quasi totalité des mutuelles, s’insurge contre ce remboursement à 15%, jugeant que si ces médicaments n’ont plus leur utilité dans la pharmacopée des français, ils devraient ne plus du tout être pris en charge.
Ces médicaments ont été évalués par la Haute Autorité Sanitaire qui a jugé que le service médical rendu était trop faible par rapports aux nouveaux médicaments mis sur le marché par les laboratoires pharmaceutiques. La liste comprend des noms familiers à bon nombre de français : Zorivax, Rhinadvil, Debridat, Percutalgine ou encore Hexomédine, autant de boites qui trainent dans nos pharmacies personnelles depuis très longtemps. Ces médicaments, encore remboursés à 35% passent dès aujourd’hui à un nouveau taux de 15%, ce que signalera une vignette orange.
Cependant, les pharmaciens ont 3 mois pour écouler leur stock, il sera donc possible de trouver ces médicaments familiers, que nombre de français utilisent depuis des années, pendant quelque temps au taux ancien de remboursement.
La Mutualité Française qui regroupe la quasi totalité des mutuelles, s’insurge contre ce remboursement à 15%, jugeant que si ces médicaments n’ont plus leur utilité dans la pharmacopée des français, ils devraient ne plus du tout être pris en charge.
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