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Affaire Coupat : la défense réplique

Tarnac, bientôt un an. Déjà. Un an que Julien Coupat a été arrêté. Pourquoi ? On l’ignore toujours. Dans la nuit du 7 au 8 novembre 2008, des lignes SNCF sont sabotées. Quelques jours plus tard on arrête à Tarnac, en Corrèze, Julien Coupat et Ildune Lévy ainsi que leurs compagnons. Un an près l’enquête piétine toujours. Mais les avocats de Coupat et de Ydlune Lévy viennent de verser au dossier une contre-enquête relevant les incohérences contenus dans les procès-verbaux de la police. 

Près d’un an après on en est au même point. Du côté de la police, au moins. Car la défense s’active. Les avocats n’ont eu aucun mal à souligner l’évidence : les traces de pneus des véhicules et celles des pas relevés près de la voie du TGV-Est à Dhuisy (Seine-et-Marne), où a lieu le sabotage, ne correspondent pas à celles de la voiture de Julien Coupat, ni à celui de ses chaussures et de celle de sa compagne, Ildune Lévy.
 
« Selon le procès-verbal, il s’est écoulé dix minutes entre les deux points de stationnement. L’itinéraire emprunté entre les deux arrêts est également indiqué. Or la distance parcourue étant de 26,6 kilomètres, la vitesse moyenne de la voiture aurait dû être de 159,6 km/h. », estiment Irène Terrel et William Bourdon, les avocats de Julien Coupat, dans Libération.

« Qu’a-t-on voulu cacher ? », demande Me Bourdon ?

 

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