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Accueil du site > Actualités > Politique > Bétharram : François Bayrou contre-attaque !

Bétharram : François Bayrou contre-attaque !

« [Les victimes] ont également déclaré qu'elles détestaient la récupération en cours et qu'elles la trouvaient haïssable, parce qu'elle les privait de leur histoire. » (François Bayrou, le 18 février 2025 dans l'hémicycle).

Mon titre est certainement débile, surtout quand on pense à la centaine de victimes d'actes de pédocriminalité qu'elles ont subis entre 1957 et 2014 dans le collège et lycée Notre-Dame de Bétharram, pas très loin de Pau, mais il est à la mesure de la débilité des attaques aussi infondées que stupides des députés gauchistes contre le Premier Ministre François Bayrou (après une première semaine dans les question au gouvernement).

À la séance des questions au gouvernement de ce mardi 18 février 2025, la situation a changé, car c'est une députée socialiste qui a ouvert le feu contre François Bayrou. C'est vrai que c'était la semaine des socialistes qui exprimaient leur opposition au gouvernement avec une motion de censure examinée le lendemain. Mais quelle erreur les socialistes ont-ils faite en polémiquant sur un tel sujet ! Car ceux qui étaient au pouvoir, localement comme nationalement, c'étaient justement les socialistes ! Qu'ont-ils fait pour prévenir un tel drame ?

Le grand potentat local du département à Pau, c'était un socialiste, André Labarrère (1928-2006), maire historique de Pau de 1971 à 2006, ministre de 1981 à 1986, député à partir de 1967, sénateur à partir de 2001, président du conseil régional d'Aquitaine, conseiller général à partir de 1967, a dominé politiquement le département des Pyrénées-Atlantiques de son influence de 1967 à 2006, soit à peu près la période des agressions et viols commis à Notre-Dame de Bétharram. Mais François Bayrou s'est bien gardé de tirer sur un disparu qui fut à la fois un redoutable adversaire politique mais aussi une personnalité qu'il estimait et appréciait beaucoup.

Alors, on peut se demander pourquoi Colette Capdevielle, députée socialiste des Pyrénées-Atlantiques, a voulu se prêter à ce mauvais jeu de rôle imposé par les insoumis. Toujours est-il que François Bayrou, qui s'est révélé à cette occasion comme un habile et, lui aussi, redoutable homme politique, n'a pas hésité à répondre énergiquement afin de clore le débat sur sa supposée implication dans ce scandale (le fait même de l'imaginer est un scandale à l'entendement), d'autant plus que cette attaque stérile contre lui pollue totalement la réalité de l'horreur de ce qui s'est passé et du besoin des victimes à se reconstruire.

La réponse du Premier Ministre a été très construite.

Dans un premier temps, il a évoqué sa rencontre le 15 février 2025 avec les victimes de ce scandale, les seules à écouter dans cette histoire : « Comme vous le savez sans doute, j’ai passé la journée de samedi en compagnie du collectif des victimes ; ce furent quatre heures d’une émotion intense. C’était la première fois que quelqu’un recevait les victimes et c’était la première fois qu’elles étaient réunies. Les victimes ont exprimé plusieurs choses, terriblement bouleversantes, qui ne peuvent laisser indifférents face à ce qu’elles ont vécu il y a parfois plusieurs décennies. Mais elles ont également déclaré qu’elles détestaient la récupération politique en cours et qu’elles la trouvaient haïssable, parce qu’elle les privait de leur histoire. ».

Ensuite, il a répondu précisément aux questions posées.

La première concernait son éventuelle intervention auprès d'un magistrat : « Suis-je jamais intervenu dans cette affaire comme dans d’autres affaires judiciaires ? La réponse est non, jamais, ni de près, ni de loin, et je vais vous en apporter la preuve. Vous avez cité le nom du juge d’instruction Christian Mirande : c’est mon voisin depuis cinquante ans, dans mon village, dont vous ignorez sans doute où il se situe. Il s’agit d’une amitié de longue date, avant même qu’il ne soit magistrat. Est-ce que nous avons pu parler de cette affaire ? Sans doute, oui. Mais en respectant une limite absolue : un magistrat n’a pas le droit, comme en dispose un article central du code de procédure pénale, sous peine des sanctions disciplinaires les plus sévères et d’une peine pouvant aller jusqu’à trois ans de prison, de communiquer le moindre élément du dossier dont il a la charge, à quelque personne extérieure au dossier que ce soit. Christian Mirande est un juge d’une absolue intégrité et il ne m’a jamais communiqué le moindre élément du dossier : nous avons pu parler de l’ambiance, de l’établissement, jamais du dossier. S’agissant du procureur général, M. Rousseau, que je ne connais pas et qui est mort il y a vingt-trois ans, ce qui rend facile de lui imputer certains propos, la certitude est pour moi la même : ce haut magistrat respectait de la même façon les règles de sa profession, qui est d’ailleurs une vocation, et il n’a eu aucune communication avec qui que ce soit à propos de ce dossier. ».

L'ancien Ministre de l'Éducation nationale entre mars 1993 et juin 1997 a aussi voulu rappeler quelques éléments : « Mais si je ne savais rien de cette affaire, si je n’y ai été associé en quoi que ce soit, d’autres savaient. J’affirme devant vous, vous le vérifierez, que le procureur général a tenu la Chancellerie informée de cette affaire à quatre reprises dans l’année 1998. Il l’a fait téléphoniquement le jour de l’incarcération du père Carricart, puis il l’a fait à trois reprises par écrit, en signalant la gravité des faits. Qui était alors Ministre de la Justice ? Quel était le gouvernement ? De 1997 à 2002, le gouvernement était socialiste. La Ministre de la Justice était Élisabeth Guigou, et je ne peux imaginer qu’elle n’ait pas tenu compte d’un signalement aussi grave émis par le procureur général. Dans tous les cas, j’affirme que lorsque j’étais au gouvernement, un signalement aussi important ne pouvait être donné sans que le Ministre de l’Éducation nationale en soit averti. Qui était alors le Ministre de l’Éducation nationale ? Claude Allègre. Qui était la Ministre déléguée à l’Enseignement scolaire ? Ségolène Royal. Je ne crois pas qu’on puisse imputer à ces personnalités des manquements aussi graves. Je pose à mon tour la question : qu’est-ce qui a été fait, à la suite des signalements du procureur général, pour que soient entreprises les démarches que vous recommandez ? Lorsque j’ai été saisi de cette affaire en 1996, c’est-à-dire deux ans avant, j’ai demandé une inspection, dont je n’ai aucune trace, mais qui a été publiée dans les journaux et que je vous invite à lire pour vous assurer de la parfaite transparence de ce dossier. ».

Mettre en cause à la fois Lionel Jospin, Élisabeth Guigou, Claude Allègre (récemment décédé) et Ségolène Royal, c'était assez fort de la part de François Bayrou et il a eu raison. J'ajoute par ailleurs que quelques mois plus tard, de mars 2000 à mai 2002, il y a eu un Ministre délégué à l'Enseignement professionnel qui s'appelait Jean-Luc Mélenchon, ministère spécialement créé pour lui et supprimé après lui.

L'actuel maire de Pau a aussi répondu à propos du "gendarme" qui le mettrait en cause : « Je ne connais pas ce gendarme, mais il suffit de poser la question au juge Mirande qui répondra sur les propos qu’il a tenus ou qu’on lui prête. Le gendarme dit qu’il a entendu quelqu’un dire que le déferrement de l’accusé avait été retardé de deux heures. Je répète que le procureur général en a rendu compte le jour même à la Chancellerie. ».

Enfin, car un démocrate chrétien est toujours dans la capacité de voir l'essentiel, François Bayrou a posé la seule question qui vaille pour ce drame humain : « Une question importante demeure : que peut-on faire pour améliorer la prise en charge des victimes ? Nous devons améliorer le repérage précoce et la prévention, comme cela vient d’être annoncé dans le programme que Mme la Ministre d’État, Ministre de l'Éducation nationale a présenté. Enfin, nous devons rassurer les victimes : si les actes qui les ont traumatisées sont prescrits, elles ne sont pas sans droits. Nous allons ainsi approfondir la question de la procédure civile, qui peut permettre de répondre aux traumatismes des victimes. ».

Cette réponse avait aussi pour but d'avertir que si on cherchait le Premier Ministre, on pourrait le trouver, qu'il rendrait la monnaie de toute attaque contre lui. Les socialistes en ont eu, ce mardi, la très amère expérience.
 

Un peu plus tard, une seconde question sur le même sujet a été posée par le député insoumis Paul Vannier, le spécialiste de la désinformation sur cette affaire. Il aurait mieux fait de se taire car sa collègue socialiste avait déjà posé les mêmes questions.

François Bayrou a laissé e Ministre de la Justice Gérald Darmanin lui répondre : « Le Premier Ministre, il me semble, a répondu à toutes vos questions lorsqu’il a répondu à votre collègue Capdevielle. Je voudrais, comme vous, avoir une pensée pour toutes les victimes qui attendent que justice soit faite. À la demande de monsieur le Premier Ministre, nous avons sollicité le parquet général et le procureur de la République de Pau afin qu’ils nous adressent les demandes de renfort qu’ils jugent nécessaires pour traiter les très nombreuses plaintes, plus d’une centaine, qui ont déjà été déposées. Quatre-vingt-dix auditions ont déjà eu lieu. Comme l’a rappelé monsieur le Premier Ministre, c’est en 2013 que le gouvernement, par le législateur, a modifié les modalités d’intervention de la chancellerie dans ces affaires particulières. Avant cette date, à chaque moment important de cette affaire, entre 1998 et 2000, des échanges ont eu lieu entre le procureur de la République et le procureur général, entre le procureur général et la Chancellerie. Si vous cherchez à établir des responsabilités, ne cherchez pas du côté de ceux qui n’étaient pas au pouvoir à l’époque. Posez plutôt vos questions à ceux qui y étaient, dans le cadre de la législation et des règles de la République. Monsieur le Premier Ministre vous a répondu et ses explications étaient très claires. Ce n’est pas à nous de répondre à propos des relations entre le pouvoir politique et le procureur général de ce temps-là. ».

Réponse inutile puisque Paul Vannier, qui lui restait encore un peu de temps de parole, a fini par une logorrhée pas très réjouissante, tellement excessive et insignifiante qu'il s'est auto-discrédité en direct : « Vos mensonges, relayés par une partie du gouvernement, ont transformé l’une des plus graves affaires pédocriminelles qu’a connue notre pays en un mensonge d’État, en une affaire d’État. Monsieur le Premier Ministre, en mentant à la représentation nationale, aux victimes et aux Français, vous vous êtes disqualifié. Un menteur ne peut pas gouverner la France : démissionnez ! ». Cela aurait plus judicieux pour lui de penser un peu aux victimes, tout de même ! Heureusement que le Premier Ministre a pris le temps de les rencontrer et de les écouter, ce qui n'est pas le cas de tous ces révolutionnaires en peau de lapin.

On peut espérer que l'attaque est close et que le gouvernement pourra concentrer ses efforts sur les sujets qui préoccupent les Français au lieu de répondre à des attaques manipulatoires de politique politicienne. Il y en a qui pensent à l'intérêt du pays, et d'autres qui ne voient que le nombre de clics sur leur vidéo du jour. Le futur sera très sévère avec cette période.


Aussi sur le blog.

Sylvain Rakotoarison (18 février 2025)
http://www.rakotoarison.eu


Pour aller plus loin :
Bétharram : François Bayrou contre-attaque !
Bétharram : François Bayrou coupable... de quoi, au fait ?
Le scandale bouleversant de l'abbé Pierre.
La vérité nous rendra libres.
Abus sexuels : l’Église reconnaît sa responsabilité institutionnelle.
Legs et indécence.
Secret de la confession et lois de la République.
Abus sexuels dans l’Église : honte, effroi et pardon !
Rapport de Jean-Marc Sauvé remis le 5 octobre 2021 sur la pédocriminalité dans l’Église (à télécharger).
Présentation du rapport Sauvé le 5 octobre 2021 (vidéo).
Discours du pape François le 24 février 2019 au Vatican (texte intégral).
La protection des mineurs dans l’Église.
Protection des mineurs (2) : pas d’imprescriptibilité pour la pédocriminalité.
Protection des mineurs (1) : 15 ans, âge minimal du consentement sexuel ?
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Pédophilie dans l’Église : le pape François pour la tolérance zéro.
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21 réactions à cet article    


  • ETTORE ETTORE 20 février 12:00

    Donc en fait, si je saisis bien votre mot « contre attaque »...

    BebegueRoux, il a la corde au cou.

    Il a les deux pieds sur le tabouret...

    Et autour de lui, plein, plein, plein de « contre attaquants » qui dansent une gigue effrénée autour du gibet, en se disputant, l’action de foutre un coup de savate, dans le tabouret, sans entendre les cris, du pendu sauciflard « je ne suis pas l’Abbé Pierre, je ne suis pas l’Abbé Pierre »

    J’ai bon, rakoto ?


    • Octave Lebel Octave Lebel 20 février 12:17

      Cela suffit et devient insupportable.Il semblerait maonteanat que faire son travail de députés dans cette chienlit qu’est devenue la vie politique du pays serait déplacé ?

      Je rappelle que Paul Vannier se sent concerné au premier chef parce qu’il a fait consciencieusement et courageusement son boulot de parlementaire et qu’il avait fait en 2024 avec un autre député Christopher Weissberg (Renaissance) un rapport sur le contrôle par l’Etat des établissements privés dans le cadre de sa mission de contrôle de l’administration.

      « Paul Vannier, le spécialiste de la désinformation »


      • Octave Lebel Octave Lebel 20 février 12:18

        → Enseignement privé : le rapport du député LFI Paul Vannier (13/04/24)

        « Les dérives des établissements d’enseignement privé sont bien connus de tous, abondamment documentés par l’Insoumission et autres médias. Le rapport de Paul Vannier n’a pas vocation à lister tous les abus et dérives de ces établissements, mais d’expliquer comment ceux-ci peuvent surgir aussi nombreux, et persister malgré la loi. »

        https://linsoumission.fr/2024/04/13/enseignement-prive-rapport-vannier

        → Scandale de Bétharram : les propositions de LFI pour contrôler les établissements privés et améliorer la protection de l’enfance (14 février 2025)

        https://linsoumission.fr/2025/02/14/betharram-bayrou-lfi-programme

        → Le séparatisme scolaire – La stratégie macroniste pour saccager l’École publique (13 février 2024)

         « Public : une école privée… de moyens. Privé : une école gavée de moyens publics » « Des établissements privés hors de contrôle financiers, 5 contrôles par an pour 7000 établissements » 

        https://linsoumission.fr/2024/02/13/ecole-privee-publique-segregation 

         

         


        • Seth 20 février 12:22

          Pas facile de contre-attaquer quand on est enfoncé jusqu’à la taille dans la merde.  smiley


          • Phil 20 février 13:30

            @Seth
            A ce propos on pourrait dire de Bayrou, que le « Bêta rame ». 

             smiley

          • Seth 20 février 13:59

            @Phil

            On le peut sans aucun doute.


          • ETTORE ETTORE 20 février 19:47

            @Phil
            OUHAAAAAA !
            Celle là, elle est G E N I A L E !


          • olivier cabanel olivier cabanel 22 février 10:29

            @Phil
            belle trouvaille, je vous la pique, avec votre autorisation !
            LE BETA  ...RAME


          • Octave Lebel Octave Lebel 20 février 12:33

            La débandade se prolonge dans le pays comme elle peut et notamment en transformant maintenant l’Assemblée Nationale en laboratoire des combines et bal permanent des tartuffes. Triste spectacle.Répétition après répétition, avec l’espoir une fois de plus nous contourner, nous diviser et nous encoconner en s’imaginant pouvoir échapper encore à la sanction citoyenne qui attend pour remettre sur pied la démocratie en marche.

            https://linsoumission.fr/2025/02/10/bayrou-silence-pedocriminalite

            «  Alors que l’actuel Premier Ministre dément avoir eu connaissance des faits, Mediapart fait émerger un paradoxe dans sa version : en 1996, il « s’était même rendu directement à Notre-Dame-de-Bétharram pour apporter son soutien à l’établissement à l’occasion de la réception de travaux de toiture ».Il avait même, à cette occasion, formulé son soutien envers l’établissement et son personnel, en affirmant que « les Béarnais ont ressenti ces attaques avec un sentiment douloureux et un sentiment d’injustice ». Mais quand la condamnation est tombée un mois plus tard, silence radio de la part du Ministre de l’Éducation Nationale, qui n’a même pas publié le moindre communiqué de soutien à la victime ou de condamnation des violences. »

            En 1998, l’établissement est épinglé pour la deuxième fois publiquement pour des crimes d’une gravité majeure. Le père Carricart, prêtre et ancien directeur de l’école, est mis en examen pour avoir violé un enfant pensionnaire au sein de l’internat. Le juge, Christian Mirande, place le père Carricart en détention. Mais il est rapidement libéré et exfiltré au Vatican. Il se suicide lorsque le juge le convoque à nouveau, peu de temps après, suite à une seconde plainte l’accusant à nouveau de viol sur mineur.

            Récemment, trois nouveaux témoignages accusent le même prêtre. Le silence de Bayrou sur cette période interroge. Mediapart a enquêté et révèle que « plusieurs témoins de l’époque le contredisent » alors qu’il jure n’avoir été au courant de rien. Le journal révèle que la femme du Premier Ministre, d’ailleurs enseignante au sein de l’établissement, était aux obsèques du pédocriminel père Carricart.

            Cela semble détonner avec la version soutenue par son mari qui affirme « je ne connaissais pas le père Carricart, si ce n’est peut-être de vue ». Preuve encore que le maire de Pau était au courant des faits, puisque d’après la journaliste Dominique Conil, « des parents avaient écrit à François Bayrou  ».

             


            • Seth 20 février 12:47

              Et puis il n’y a aucun raison de trouver tout cela mauvais, pensez donc : dans une famille catho dont je tairais le nom, il paraît qu’on se violait entre frères.  smiley

              Alors Betharram, c’est très ordinaire.  smiley


              • Alain Malcolm Alain Malcolm 20 février 13:12

                La gauche c’est la mission au sens œcuménique du terme du capital. Bayrou est trop national, pour ses élites internationales qui nous détruisent.


                • xana 20 février 13:24

                  ca va Rakoto ?

                  Comment ca se passe pour toi avec l’arrêt de l’USAID ?


                  • Seth 20 février 15:35

                    @xana

                    Parce que tu penses que ce genre de pq vaudrait la peine de recevoir une aide yanki ?  smiley

                    On ne raque pas pour rien or plus personne ou quasiment ne lit avox devenu un repaire de réacs qui y épanchent leur bile. Sinon il n’y a que des masos pour y venir. C’est tout au moins ce que me disent des amis ex-lecteurs.  smiley


                  • Seth 20 février 16:04

                    Après recherches : Bayrou, 1,75m. Il rentre dans le schéma « petit avec des grandes oreilles ».  smiley


                    • Panoramix Panoramix 20 février 17:29

                      Mauvaise défense que de tenter de refiler à d’autres le bâton merdeux


                      • xana 20 février 18:39

                        Honnêtement (parce que je ne suis pas un politicien), ce qui peut arriver à Bayrou ne m’intéresse absolument pas.

                        Franchement, il devrait se laisser embastiller, parce qu’ainsi il aura peut-être une chance d’éviter de monter sur l’échafaud avec la clique de Macron quand la colère du peuple s’abattra sur eux.


                        • jakem jakem 21 février 14:28

                          Question simple : cette prof qui fait des « révélations », pourquoi n’en a-t-elle pas fait auparavant ?

                          Elle a sciemment laissé les « tortionnaires catholiques » poursuivre leur œuvre pendant des années ...

                          Quelle est la réponse des Pourris Socialeux ?

                          Quant aux racailles de la fange islamo-gauchiste, ils veulent uniquement déstabiliser Bayrou puisque leur censure a échoué.

                          D’ailleurs ils ne s’offusquent absolument pas des actes criminels avec armes, du harcèlement, des menaces et des saccages provoqués par les disciples du Momo.


                          • rough and tough 21 février 15:33

                            Rakoto, lémurien nécrophile, tu es un menteur. Le fils de Bayrou, Calixte était élève dans cet établissement et Mme Bayrou a assistée aux obsèques du père Carricart qui s’était suicidé juste après avoir été convoqué (pour la deuxième fois) par vle juge d’instruction.

                            Evidemment que Bayrou était au courant et n’a rien fait, tout comme ses successeurs...


                            • pemile pemile 21 février 15:37

                              @rough and tough « Evidemment que Bayrou était au courant et n’a rien fait »

                              Et évidemment qu’il savait que ses propres enfants ne seraient, eux, jamais torturés à Batharram.


                            • olivier cabanel olivier cabanel 22 février 10:26

                              @ l’auteur

                              vous écrivez «  il a eu raison »

                              vous devriez avoir honte !!! smiley

                              bayrou aurait eu raison de contrattaquer en mettant en cause d’autres, alors que lui en porte TOUTE la responsabilité, vu qu’il était ministre de l’éducation nationale au moment des faits, et que tous les journalistes sérieux ont prouvé qu’il était PARFAITEMENT AU COURANT DE CE QUI CE PASSAIT !

                              j’essaye de comprendre votre motivation ?!!!


                              • olivier cabanel olivier cabanel 22 février 16:22

                                @ l’auteur

                                de quoi remettre les pendules à l’heure...place

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