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CoViD-19 / 2 Science et politique

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« Si la « guerre » sanitaire contre la pandémie de coronavirus met en première ligne le personnel soignant auquel il faut rendre hommage, elle confère également beaucoup de visibilité aux scientifiques, qui occupent soudainement le rôle de conseiller du prince. Depuis le 10 mars, un conseil scientifique installé par le ministre de la santé est présidé par l’immunologue Jean-François Delfraissy éclaire le président de la République pour l’aider à prendre les décisions qui s’imposent au pays afin de lutter contre la propagation du virus.

Le 24 mars le pouvoir exécutif a décidé de renforcer le dispositif en l’assortissant d’un Comité analyse recherche et expertise dirigée par le virologiste Françoise Barré-Sinoussi. Une batterie d’experts issus du monde médical intervient désormais au sein des plus hautes sphères de l’État. Est-ce à dire que la science a pris le pouvoir au risque d’infléchir nos institutions démocratiques et de les faire évoluer à la faveur de cette crise, vers une forme de despotisme éclairé que les Anglo-Saxons appellent l’épistocratie (étymologiquement : « pouvoir des savants ») ? » Ainsi commence la tribune qu’Alexandre Viala, professeur de droit public, a publiée dans £e Monde du 30 mars 2020.

 

L’auteur développe son argumentaire autour du danger que représenterait pour la démocratie le remplacement du pouvoir politique par un pouvoir qui ne trouverait plus sa source dans la lecture de la société mais dont l’inspiration ne reposerait que sur « la vérité scientifique ». Je ne développerai pas la question de la vérité scientifique pourtant essentielle dans la relation entre la science et le politique, je me limiterai à rappeler que la vérité scientifique n’est toujours que provisoire. Cela donne un relief éclairant à la citation de Thomas Hobbes (Leviathan, 1651) : « C’est l’autorité et non la vérité qui fait foi » montre que cette question est sans doute aussi ancienne que l’organisation de l’humanité en société. Il ne manque pas dans l’histoire de princes qui ont assis leurs décisions sur les conseils d’un savant ou pseudo‑savant, tels Alcuin conseiller de Charlemagne, Raspoutine guide spirituel de l’épouse du Tsar Nicolas II. Robert Damien[1] rend compte dans son livre de ce que furent les conseillers, de la nature de leur relation avec le prince et de la puissance de leur intervention ; l’éditeur présente ainsi ce livre : « Du clerc à l’idéologue, du philosophe à la figure contemporaine de l’expert, conseiller le pouvoir en place ne va pas sans conséquences. Au moment où éclatent les scandales des cabinets d’audit et de conseils et scandales politiques variés, cet ouvrage analyse les fondements d’une matrice démocratique des conseils dans une société moderne de services. Il tente de penser le pluralisme cohérent de la démocratie et de proposer une société démocratique des conseils. Autrement dit, il cherche à construire une philosophie politique du conseil moderne et de l’autorité démocratique. »

 

Si Alexandre Viala pose la question de la place institutionnelle du « savant », Robert Damien ouvre un pont vers d’autres questions comme, par exemple, le passage du savant à l’expert, et conséquemment la question du choix de l’expert. Les questions à propos de l’expertise deviennent fondamentales dans toute réflexion politique en tant que celle‑ci est la gestion de la société ; dans un remarquable mémoire de management public soutenu à l’ENA en 2008, Zdeňka Dobiášvoá[2] montre bien combien une réflexion à propos de l’expertise est devenue essentielle pour la gestion d’une société, d’un pays : « De plus en plus de nos jours, l’État et donc le décideur public se trouvent confrontés à des questions complexes faisant appel à des expertises scientifiques et non scientifiques individuelles très spécialisées ou à plusieurs types d’expertise croisés. C’est le cas notamment des questions de santé et de la protection de l’environnement, où des décisions de grande importance pour les populations ne peuvent être prises que suite à une consultation d’experts, à des recherches et des débats scientifiques importants et/ou au croisement d’expertises variées. »

 

Le président Macron n’échappe pas au recours à l’expertise de spécialistes, aussi n’y a-t-il rien de surprenant ni d’anormal à ce qu’il ait pu écrire ce message sur son compte Twitter :

 

Emmanuel Macron @EmmanuelMacron

C’est grâce à la science et à la médecine que nous vaincrons le virus. Je réunis aujourd’hui nos meilleurs chercheurs pour progresser sur les diagnostics et les traitements. Notre effort de recherche est totalement mobilisé dans la lutte contre le COVID- 19. 26.5K 10:09 AM - Mar 24, 2020

 

Il faut toutefois poser un certain nombre de questions : qu’est-ce qu’un expert, ceux choisis sont-ils ceux qui répondront le mieux aux besoins, le recours à l’expertise permet-il voire autorise-t-il le politique à laisser l’expert décider, l’expertise ne permettrait-elle pas de masquer les insuffisances de la gouvernance, le recours à l’expertise ne pourrait-il pas être un masque à une opération de propagande ?

 

Qu’est-ce qu’un expert ?

Le mot n’est pas nouveau puisqu’on le rencontre dès le 14° siècle : « Conoisans et espers en fait de monoyes » et qu’au 16° siècle Montaigne[3] en fait usage : « Chasque expert doibt estre creu en son art. » Plus qu’à un corpus de connaissances « théoriques » l’expertise fait référence à « l’art » c’est-à-dire à la pratique. Ainsi, est expert celui qui a acquis une connaissance par l’expérience, une grande habileté dans un métier, dans quelque chose, dit le dictionnaire Littré. De là, dit le CNRTL[4], un expert est « personne choisie pour ses connaissances précises sur un sujet pour juger de quelque chose ».

Aucun doute que les personnes membres du conseil scientifique et celles qui forment le CARE soient des experts, mais sont-ce les experts adéquats ? Le CARE compte douze personnes médecins et chercheurs parmi lesquels on remarquera la présence d’une anthropologue qui appartient aussi au conseil scientifique. Outre cette anthropologue spécialiste en anthropologie critique de l’aide humanitaire et de l’impact sociétal des crises sanitaires et humanitaires, dont les épidémies, le conseil compte parmi ses membres un sociologue qui travaille sur des questions de sociologie politique, de sociologie de la connaissance et de sociologie économique, notamment à propos de questions relatives à la santé, ses deux principaux livres sont « Économie et Sociologie » et « La santé au miroir de l’économie », et enfin un « modélisateur » spécialisé dans la modélisation mathématique et l’analyse de données épidémiques complexes.

On comprend bien que les travaux du CARE requièrent des médecins et des chercheurs impliqués dans l’infectiologie, la virologie et l’épistémologie fusse-t-elle vue sous son aspect biomathématique puisque « il assurera notamment le suivi des études thérapeutiques autorisées en France et des essais engagés sur des traitements à l’étranger » et « il accompagnera la réflexion des autorités sur la doctrine et la capacité à réaliser des tests ainsi que sur l’opportunité de la mise en place d’une stratégie numérique d’identification des personnes ayant été au contact de personnes infectées ». On comprend moins que le conseil scientifique ne compte pas de sociologues, de psychologues, de psychiatres ; pourquoi tient‑on à l’écart les sciences de l’homme ?

Si le politique doit fonder sa décision sur des expertises comment pourrait-il être vraiment éclairé s’il écarte de l’expertise les aspects sociétaux et humains vus dans leur globalité et leur complexité ? La question est d’autant plus prégnante par rapport au choix fait par le Président, sans doute, sur les conseils du ministre de la santé et du directeur général de la santé, tous les deux médecins, que la science étant un monde avec des règles particulières, des motivations et un mode de pensée spécifique, l’expertise scientifique a elle aussi des spécificités qui la distinguent d’un autre type d’expertise. L’expertise liée à la santé et plus encore pour celle médicale est éloignée de l’expertise relative au fonctionnement de la société et trop souvent encore de celle qui concerne le fonctionnement psychique et émotionnel de l’Homme. Que faut-il voir dans cette décision ? L’ignorance du dirigeant aurait-elle dirigé le choix, ou s’agit‑il de la conséquence de la division des sciences telle que conçue pour L’Encyclopédie transformée depuis au siècle en une hyperspécialisation des sciences qui se perdent de vue les unes les autres ?

Pourtant la place de l’Homme comme composant la société et en tant qu’il l’anime, autant que sa place par rapport aux sciences et aux techniques a fait l’objet de maintes études comme celle de Condorcet[5] déjà : « Les individus, comme hommes, comme membres d’une société politique, ont entre eux des rapports. Il existe d’autres rapports entre les individus et la société dont ils font partie. Enfin, les besoins des hommes et leur industrie ont fait naître de nouveaux rapports entre eux et les choses qu’ils peuvent produire, perfectionner, consommer ou employer. De là naissent trois branches d’une même science, qui a pour objet général la connaissance des droits, des devoirs et des intérêts de l’homme dans l’état de société. Nous adopterons pour les distinguer, les dénominations de Droit naturel, de Droit politique et d’Économie politique. Toutes les sciences ont une partie pratique. De chacune découle un art… Ainsi, la morale ou l’art de se bien conduire dérive du droit naturel, l’art social, du droit politique, et l’art d’administrer a pour base la science économique. » Une épidémie est certes un problème médical et de santé, y compris de gestion du système de santé, mais c’est aussi un problème social plus vaste qu’il faut gérer en confrontant l’ensemble des avis issus de toutes les sciences. Par exemple, s’il est intéressant d’observer post-décision les conséquences du confinement, il eût été intelligent d’en prévoir les effets possibles au regard de ce que la psychologie et la sociologie savent de comportements des individus et de leurs conditions de vie cela aurait permis de mieux le calibrer et d’éviter de mettre les policiers chargés du contrôle dans des positions souvent difficiles à tenir. Le conseil scientifique tel qu’il existe n’a pas les compétences pour résoudre ces questions même pas pour donner des avis pertinents, ni même pour seulement les envisager. Une fois encore la chose n’est pas neuve puisque, par exemple, dans le Prospectus du Journal de la Société[6] de 1789 on peut lire : « Il doit exister aussi pour les nations un art d’assurer et d’augmenter leur bonheur : c’est ce qu’on a appelé l’art social. Cette science, pour laquelle travaillent toutes les autres sciences, ne paraît pas encore avoir été étudiée dans son ensemble. L’art de cultiver, l’art de commercer, l’art de gouverner, l’art de raisonner même, ne sont que des parties de cette science… Réunir tant de matériaux épars et inconsistants, rechercher dans les sciences économiques leurs rapports mutuels… tel est l’objet de l’art social. », c’est cet art que, selon Dominique Damamme[7], Condorcet et Sieyès présentent comme la science de l’action sociale et à la construction de laquelle ils convoquent toutes les connaissances.

Dans la situation qui nous occupe la question de la place des sciences humaines et sociales que, pour reprendre une phraséologie moderne autant que médiatique, le temps de la science n’est ni celui des médias ni celui de l’opinion publique. Les scientifiques éclairent le prince à la lumière de leurs connaissances du moment, celles-ci évoluent et il s’ensuit des discours, vrais scientifiquement, mais de nature à « embrouiller » l’opinion publique qui y voit des contradictions, d’autant que comme le signale Nico Stehr de l’université de Colombie Britannique : « Malgré sa réputation, le savoir est pratiquement toujours contesté. Dans la science, le fait qu’il soit contestable est perçu comme l’une de ses principales vertus. Dans la pratique, le caractère contesté du savoir est souvent réprimé ou en conflit avec les exigences de l’action sociale. » Si la question de la composition du conseil d’experts se pose, celle de la formation et plus largement de la culture des gouvernants et des fonctionnaires vient au‑devant de la scène.

Les dirigeants ont-ils reçu une formation et disposent-ils d’une culture qui leur permettraient de penser le bien-être général comme un bien commun ; ont-ils seulement une ouverture d’esprit suffisante. Il ne s’agit pas tant qu’ils soient des scientifiques qu’ils disposent d’un minimum de capacité à entrevoir la complexité d’une situation pour pouvoir entreprendre un dialogue avec les scientifiques sans lequel les scientifiques prendront la place d’un politique devenu désemparé voire vide de sens, d’autant que comme l’écrit Thibaud Boncourt[8] : « L’argument d’autorité que constitue la référence aux avis du conseil scientifique ne suffit pas, d’abord, à construire l’acceptabilité sociale des mesures de confinement. Les entorses à la lettre ou à l’esprit de ces mesures, largement médiatisées depuis la mi-mars, témoignent de ce que ces mesures ne sont qu’imparfaitement comprises et acceptées par une partie de la population. » Hadelin de Beer de Laer[9] montre assez bien l’écart entre la démarche scientifique, donc l’expertise qui peut en découler et la réalité sociale : « Les scientifiques ne prennent pas en compte les idéologies, les évolutions historiques et les croyances, lorsqu’ils proposent une solution ils ne se posent pas la question de savoir si celle-ci s’inscrit dans une idéologie, ni même dans une histoire, dans des croyances ; pas plus qu’ils ne se rendent compte de l’influence de leurs propres croyances et vision du monde. Lorsque les scientifiques proposent une solution ou un mixte de solutions, ils ne se posent pas la question de savoir dans quelles croyances et vision du monde leur cadre conceptuel de définition et de résolution du problème s’inscrit. » Or le politique doit apprendre à accepter et à gérer l’incertitude scientifique et ne pas en faire une certitude politique, sachant que l’incertitude ne justifie pas l’inaction. Il doit savoir qu’il ne faut pas prendre les modèles pour la réalité et qu’il faut toujours chercher à évaluer le coût de l’inaction par rapport à l’action, car « tous les modèles sont faux, mais certains sont utiles  » écrivait Box[10].

Si donc il faut agir, il faut le faire en pleine connaissance de la situation matérielle et humaine, présente et à venir au regard des expériences du passé. La composition de l’actuel conseil scientifique chargé d’épauler le gouvernement illustre bien l’idéologie politique d’Emmanuel Macron pour laquelle la société se réduit à quelques principes simplistes du style « il suffit de vouloir pour pouvoir » et tout se réduit aux fondamentaux de l’économie notamment où l’homme n’est qu’un « homo économicus ». Or comme l’écrivait Hannah Arendt : « Une crise ne devient catastrophique que si nous y répondons par des idées toutes faites, c’est‑à‑dire par des préjugés. » Il est à craindre, aujourd’hui, que l’épidémie de CoViD-19 devienne une catastrophe faute d’avoir pris en compte la vraie et profonde condition humaine. La catastrophe ne sera peut‑être pas là demain, au jour de l’extinction de l’épidémie, mais après-demain quand la société retrouvera son expression habituelle. Pour l’éviter, face à la complexité de la situation, il aurait fallu étendre l’expertise aux sciences sociales et humaines mais aussi à l’expertise privée ou associative qui dispose d’une excellente connaissance des terrains notamment de celui des milieux dit défavorisés.

Comme le relate Zdeňka Dobiášvoá[11] : « Plusieurs questions se posent alors et tout d’abord celle du nombre de scientifiques à consulter sur un sujet donné. Éric Vindimian, chef du service de la recherche et de la prospective au Ministère de l’écologie et du développement durable qui a lui‑même travaillé sur ces questions affirme que « il faut a priori se garder de choisir un expert mais plutôt plusieurs dans un processus collectif ou contradictoire, […]. » En réalité, cela varie en fonction de l’importance du dossier en cause. Le nombre d’experts, leurs conditions de travail, ainsi que les moyens financiers engagés dans l’expertise devraient correspondre à l’importance de l’enjeu et également au temps dont le décideur dispose pour prendre ses décisions. « Plus le problème est nouveau et complexe, plus les enjeux sont importants en termes politiques, économiques, sociaux, environnementaux, plus il est important que l’expertise soit plurielle. » » On perçoit qu’outre une convocation ample des sciences sociales et humaines il eût été pertinent d’adjoindre au groupe d’experts scientifiques des représentants d’associations caritatives qui possèdent une parfaite expertise des terrains de la « misère humaine » si on me permet cette expression pour illustrer toutes les situations difficiles que fait naître le confinement : les gens qui ne sont pas encore correctement relogés après l’effondrement de leur immeuble à Marseille, ceux qui vivent à quatre dans 30m², ceux qui sont isolés, ceux qui n’ont pas internet, ceux qui ont besoin de rééducation et de soins quotidiens…

Outre la prise en compte de toutes les situations l’élargissement du conseil scientifique permettrait de mieux organiser la communication et de sortir de la liste mortifère égrainée par le directeur général de la santé chaque soir et des opérations marketing du président de la République et de ses ministres sans compter les stupidités de la porte-parole du gouvernement. C’est un point important car le droit à l’information, à une information de qualité et sincère, « est à la base d’une participation plus active des citoyens dans la vie de leur collectivité[12] » ; n’oublions pas que la France est signataire de la convention d’Aarhus (1998) où est affirmé le droit à l’information pour les citoyens des pays signataires. La communication est une autre question mais elle est fondamentale dans la gestion d’une épidémie.

 

[1] Robert Damien, « Le conseiller du Prince, de Machiavel à nos jours », PUF, 2003.

[2] Zdeňka Dobiášvoá, l’expertise scientifique et la décision publique, Mémoire de MASTER de management public présenté à l’ENA en 2008

[3] Montaigne, Essais, livre 2, chapitre 12.

[4] Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales du CNRS.

[5] Condorcet (A.), Œuvres de Condorcet.

[6] Club politiquement modéré fondé par Condorcet et Sieyès.

[7] Damamme Dominique. Entre science et politique. La première science sociale. In : Politix, vol. 8, n°29, Premier trimestre 1995. Frontières disciplinaires. pp. 5-30

[8] Thibaud Boncourt, Le Covid-19 révèle une crise de l’institution scientifique, The Conversation, https://theconversation.com/le-covid-19-revele-une-crise-de-linstitution-scientifique-135074

[9] Hadelin de Beer de Laer Quels liens entre la science et la politique ?

https://etopia.be/quels-liens-entre-la-science-et-la-politique/

[10] Cité par Serge Morand et coll, Émergence et maladies infectieuses, QUAE, / Box GEP, Science and statistics, Journal of the Américan Statistical Association, 71, 356, 1976 https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/01621459.1976.10480949

[11] Zdeňka Dobiášvoá, l’expertise scientifique et la décision publique, Mémoire de MASTER de management public présenté à l’ENA en 2008.

[12] Expertise, décision, opinion publiques colloque Jeudi 19 novembre 2015, Organisé par le conseil scientifique de l’association française pour le prévention des catastrophes naturelles, le conseil général de l’environnement et du développement durable et la commission nationale du débat public.


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2 réactions à cet article    


  • Esprit Critique 3 avril 2020 18:35

    Les socialos, les écolos sont totalement ignares incultes dans le domaine scientifique. Dans les ministères autour du gouvernement il n’y a plus que des énarques, pas un seul centralien ou polytechnicien. Dans les merdias il n’y a que des « litterreux », même inculture. Il faut nettoyer tout ça, le plus brutal et rapide serait le mieux.


    • ETTORE ETTORE 3 avril 2020 22:11

      Nous avons un gouvernement de MASQUEaRADE.

      Des bras cassés indignes de leur fonctions.

      La France, puissance nucléaire....atomisée par un virus....

      Elle est belle, la guerre contre le peuple, du général fou.

      Combien de ses mercenaires vont tomber par l’égo démesuré de l’Habitant des Dorures ?

      Comme si la souffrance ne se suffit à elle même, nous avons , Prefet Lallemand, .sibête,Buzyn, castafiotte... Comme autant de clous dans le corps déjà malade du peuple mis en croix (et pas que rouge ou bleue).

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