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Accueil du site > Actualités > Société > Glissement progressif de l’intolérable

Glissement progressif de l’intolérable

Non, il ne s’agit pas d’un énième redondant pamphlet sur la violence dans les cités HLM de banlieues et sur le contrôle des minorités dites visibles. Cet article, veut démontrer le glissement progressif des interdits absolus dans les sociétés au cours des millénaires. . Ce que les anthropologues appellent les tabous absolus sont loin d’être figés, immuables et universels. Si certains sont encore d’actualité comme l’inceste, le parricide ou l’infanticide, à des degrés plus ou moins accentués de rejet, d’autres comme les interdits alimentaires ou l’atteinte à la religion et le blasphème sont plus ou moins intenses selon les cultures. Ils ont même quasiment disparu dans certaines sociétés, alors qu’ils se radicalisent dans d’autres.

Avec l’installation des pouvoirs absolus de type monarchique, le parricide suprême était devenu le régicide et par extension l’élimination physique du chef. Ceux qui ont encore des notions d’histoire se souviendront du supplice de Ravaillac et de celui de Damien. Mais l’Angleterre, puis la France ayant décapité leur roi, ce genre de pratique n’est plus un interdit presque divin, mais la revendication légitime de se débarrasser d’un tyran ou supposé tel. Et de nos jours, si l’on prend des risques en caricaturant le Prophète, on peut aisément parodier Sarkozy (quoique, mais on ne risque pas la potence !).

L’Occident a basculé d’un coup, en 1945, avec la chute du nazisme. Hitler, qui avait été soutenu, supporté, aidé financièrement et politiquement lors de sa « résistible ascension » et pas uniquement en Allemagne, est devenu après le 8 mai 1945, le symbole extrême du mal. Plus jamais l’horreur, l’holocauste et une telle négation de l’humain. Celui à qui les grands leaders démocrates serraient la main sans retenue, est devenu en un jour un misérable, pour ne pas dire un monstre. Longtemps dans les journaux, au cinéma, à la télévision et dans les manuels scolaires, Hitler fut l’incarnation du mal intégral. Un mal qui n’avait jamais, disait-on atteint un tel sommet d’horreur et que personne ne pourrait par la suite égaler (on a vu). D’autres génocides avaient été perpétrés (Arméniens, Amérindiens, Aborigènes, …), il y en eu d’autres après, mais on trouvait toujours quelqu’un pour le nier ou le minimiser. Afin d’empêcher que pareille chose puisse concerner le nazisme, les législateurs décidèrent de créer des lois contre le négationnisme. Il fallait coûte-que-coûte, maintenir le tabou. 

Si depuis quelques années, Hitler n’est pas absous, la haine à son encontre n’est plus aussi prégnante. Le temps a fait son travail d’oubli et la société est plus préoccupée et émue par des phénomènes non historiques la concernant. Certains ont cru pouvoir remplacer la lutte contre le nazisme par la condamnation de l’esclavage comme centre de cristallisation du rejet, mais jusqu’à présent leur succès est mitigé. L’esclavage, c’est encore plus lointain, et le « devoir de mémoire » s’émousse face aux petits et grands inconvénients du quotidien.

Le parricide a aussi perdu de son intensité dans la réprobation. Désormais, il est tombé dans le domaine du compréhensible, si ce n’est de l’excusable. Celui qui tuait son père était passible des pires supplices, il y a encore deux siècles, puis du bagne ou de la perpétuité il y a encore quelques décennies. Les vieux ont encore en mémoire la très médiatisée affaire Violette Nozière, présentée alors comme un monstre par les parents à leur progéniture. A la moindre désobéissance, la moindre faute vénielle, pour employer une terminologie chrétienne, les parents disaient d’un ton sentencieux et pontifiant : « Tu finiras comme Violette Nozière ! ».

Aujourd’hui, avec un bon avocat particulièrement vicieux et retors, celui ou celle qui tue son paternel a de fortes chances de s’en tirer avec une peine peu lourde, voir un acquittement. L’avocat plaidera avec des trémolos dans la voix, que la victime était une brute incestueuse ou un sadique qui n’arrêtait pas de frapper. Et s’il est trop difficile de prouver l’inceste ou les coups, il insistera sur la « cruauté mentale » subie par le meurtrier pour obtenir l’acquittement ou une peine de principe. Il faut désormais avoir liquidé son père au marteau, l’avoir découpé à la scie sauteuse et dissous les morceaux à l’acide chlorhydrique pour risquer une incarcération prolongée.

L’infanticide, quand il est le fait de la mère, qu’elle ait ou non congelé sa marmaille, reçoit lui aussi la même mansuétude et compassion. Une armada de psychiatres et de psychologues est fin prête pour assister les mères infanticides, qui obligatoirement présentent des troubles de la personnalité, de l’affectivité, hormonaux, sexuels ou des conflits insurmontables à l’intérieur du couple. Par contre l’homme qui tue l’un de ses gosses en prendra un maximum, même si c’est plus ou moins accidentel. Le concubin violent, n’en parlons même pas, il sera tout de suite soupçonné de pédophile.

Voilà, le mot est lâché. Le mal absolu de nos jours ce n’est ni Hitler, ni le massacre d’une vieille pour lui tirer son sac à l’arraché (Stefan Guillon a fait un sketch très percutant sur le thème), non le mal impardonnable, inexpiable est devenu désormais la pédophilie. Et là, plus aucune nuance. Autant, on comprend l’indignation devant un criminel ayant violé un enfant de trois ans, un pervers ayant égorgé une adolescente après l’avoir séquestrée et abusée, mais ça ne s’arrête pas là. L’exhibitionniste en imperméable, très souvent inoffensif, est l’égal de Landru ! L’hystérie anti pédophile ne s’est pas calmée après le fiasco d’Outreau qui a jeté au cachot et à la vindicte populaire des innocents qui ont croupi pour rien des mois et des années en prison. Le juge Burgeaud était loin d’être un génie de la magistrature, mais il avait derrière lui la quasi-totalité de l’opinion publique, une armée d’experts qui croyaient en la sacro-sainte parole de l’enfant. Celui qui a fait maintenir en détention un présumé coupable parce qu’un gamin perturbé avait dessiné « une musaraigne avec une grosse queue » comme unique preuve accablante contre l’un des prévenus a aussi une large part de responsabilité dans ce fiasco. Et cela n’a pas suffit à calmer le jeu. Ca continue jour après jour, comme si chaque curé s’enfilait systématiquement un môme entre deux messes. Polanski n’a pas à être fier de ce qu’il a fait, mais il ne joue pas dans la même catégorie que Marc Dutroux. Quant à Ribéry, il est à des années-lumière des exploits de Fourniret.

Mais, pensez-vous, il ne s’agit là que de crimes exceptionnels ou de faits divers mettant en scène des personnalités. Détrompez-vous, la traque au pédophile a gagné toute la société. Que d’enseignants vont la peur au ventre au collège avec l’angoisse permanente d’être accusé à tors d’un geste déplacé. Quel professeur oserait parler seul à seul avec un ou une adolescente dans une pièce dont la porte est fermée ? Qui oserait monter seul dans un ascenseur avec un élève ? Qui pourrait décoincer le prépuce d’un élève du primaire ou de maternelle coincé dans une fermeture éclair, sans demander la présence d’une infirmière scolaire, si ce n’est du SAMU ?

Les parents qui, il n’y a pas si longtemps, prenaient des photos de leurs gamins tout nus à la plage ou à la piscine sont des inconscients. Si jamais ils envoient un de ces clichés à des amis, ils risquent d’être accusés de diffusion de fichiers pédophiles. Donc, si vous avez le temps, brulez dès que possible les photos sépia de votre grand-oncle ou de votre grand-père nus sur une peau de bête quand ils étaient bébés, sinon, gare à la perquisition. Et dans la foulée, déchirez les photos et posters de David Hamilton avec des adolescentes à peine pubères et foutez au feu la cassette du film de Louis Malle, « la Petite », celle des « Valseuses », ou « Nea » de Nelly Kaplan, ainsi que vos livres de Matzneff, Gide ou Roger Peyrefitte, avant d’avoir des ennuis.

Mais la crainte et la condamnation de la pédophilie n’auront qu’un temps. Dans peut-être une dizaine d’année, la panique aura probablement disparue. Pour être remplacée par une autre, bien évidement, avec ses oukases et ses mots d’ordre vengeurs ; le tabou cimente un peuple. Depuis quelques années, nous voyons insidieusement poindre une nouvelle forme d’anathème qui fait son chemin, le crime contre la nature ! Et dans ce cas non plus, on ne fera pas dans le détail. On mettra dans la même charrette le pétrolier qui pollue deux cents kilomètres de côtes et l’incivique qui n’aura pas fait correctement son tri sélectif ou qui aura tiré une palombe dans le Sud-ouest. La société a besoin de catalyser ses peurs sur des archétypes de monstres pour garder sa cohésion. Quand il n’y plus de sorcières à bruler dans une société, il faut s’en créer au plus vite.

PS  : Pour ceux que le titre interroge, il s’agit bien évidement d’une allusion à Alain Robbe-Grillet. Certains remarqueront aussi celle faite à Brecht !


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30 réactions à cet article    


  • clostra 29 juillet 2010 12:12

    La pédophilie est inexcusable. Ce que vous pourriez stigmatiser est qu’on parle beaucoup de pédophilie sans élaborer la pensée sur ce que sont des relations normales avec les enfants, avec ses enfants.

    Pour cela, Françoise Dolto nous indique un chemin, parfois austère, certainement « convivial ».

    Une psychiatre psychanalyste interrogée à ce sujet répondait que toute « bonne » mère est « un peu » pédophile. Une exagération qui tient au fait qu’un très jeune enfant ne peut converser et que les soins au corps sont vitaux et que la nature faisant bien les choses, elle rend « appétant » le corps de son enfant mais bien sûr pas le corps de tous les enfants. Ensuite, il est vrai que la crise de la « petite adolescence », celle des deux ans, provoque un rejet salutaire qui va se poursuivre jusqu’au « salut ! » des adolescents ayant parachevé cette oeuvre en refusant de se laver quelques années auparavant...

    Alors oui, mais on en parle depuis une trentaine d’années et ce fut un choc. Avec Internet, il est possible en effet d’identifier des réseaux et peut-être d’initier des personnes qui n’y seraient jamais venues...

    Les dégradations contre la nature n’auront je pense jamais une telle force. On peut dans l’avancée des tabous parler du tabac. Désormais les fumeurs sont même stigmatisés lorsqu’ils fument en plein air...ça vire « un peu » à l’intolérance car ces mêmes personnes sont peut-être propriétaires de 4x4, polluent les eaux de baignades avec leurs huiles insolubles qui détruisent les coraux...et, malheureusement « attraperont » peut-être un cancer du poumon du aux pollutions urbaines.

    La conclusion sera toujours la même : informer, s’informer, se former plus que d’asséner des faits divers (les rubriques de chiens écrasés comme on disait) dont l’analyse ne concerne que les intéressés et ceux qui veulent les aider. C’est à une certaine façon de faire qu’on reconnaît si une société (ses dirigeants ?) est de bonne ou de mauvaise foi.


    • antonio 29 juillet 2010 13:27

      C’est vrai que les enseignants-hommes doivent faire très attention...
      Il y a environ 18 ans, j’ai un de mes collègues qui a été accusé de « gestes déplacés » par deux élèves-filles.
      Ce fut presque tout de suite « haro sur le baudet » : seuls quelques collègues le soutenaient. Assistantes sociales et psychologues partaient du principe qu’un enfant ne peut pas mentir ; l’administration n’a absolument pas soutenu le collègue comme elle avait le devoir de le faire jusqu’à son innocence ou sa culpabilité soit prouvée.
      Ce fut un enfer pour lui.
      Finalement, il a été avéré que ces deux gamines perturbées avaient fabulé.
      Reconnu innocent, il a porté plainte contre l’administration et « en réparation du préjudice subi » a reçu quelques millions d’anciens francs en dédommagement.
      Il a continué à enseigner mais c’était un homme brisé obligé à de fréquents arrêts maladie pour « soigner » sa détresse morale.
      Maintenant, après la terrible affaire d’Outreau, entre autres, c’est encore pire comme vous le soulignez bien dans l’article.
      Impossible pour un enseignant de laisser transparaître dans un geste compassion ou affection.Il est tout de suite soupçonné du pire.
      Une chose à retenir cependant : la parole de l’enfant n’est pas toujours absolument vraie, n’est pas forcément « sacrée ». Un enfant n’est pas toujours un petit ange nimbé d’innocence ; ( Je dis cela tout en reconnaissant volontiers que lorsque l’enfant « parle » malheureusement c’est
      le plus souvent vrai.)

      Il y a une dizaine d’années, sévissait une « mode  » ( quel mot affreux !) dans les cas de divorces difficiles. Certaines femmes accusaient leur mari ou compagnon de gestes incestueux sur leur (s) enfant(s) commun(s) pour obtenir la garde exclusive de ou des enfants.
      Des pères ainsi accusés à tort ont vécu des moments de souffrance intense.

      Quant à « l’intégrisme » vert, d’accord avec vous, il n’a pas fini de sévir contre tout et n’importe quoi.


      • antonio 30 juillet 2010 07:26

        A propos de ce que vous dites de l’infanticide, la découverte tout récente de huit cadavres de nouveaux-nés tués à la naissance vient conforter vos dires : hier, aux « infos » de France2 à 13h,dès l’évocation de ce terrible fait divers, on a eu droit à la prestation d’un spécialiste expliquant de long en large ce qu’est un déni de grossesse. ...manque de « pot » pourrait-on dire puisqu’il s’avère que la mère incriminée a reconnu les faits et a surtout avoir à chaque fois su qu’elle était enceinte...Et donc, depuis, les psys cherchent de nouvelles explications qui permettraient de « comprendre » la malheureuse mère...
        Déni de grossesse, infanticides sont des conduites bien trop complexes pour être accessibles à la compréhension d’un grand nombre de gens. Mais les « journalistes » n’ont que faire d’une telle complexité. Ils livrent une « explication clé en main » forcément « simpliste » donnant l’illusion au grand public qu’il peut condamner certes mais aussi « comprendre ». C’est une « étrange » mansuétude qui est ainsi « suggérée ».
        Personnellement, je suis assez choquée que Mme Courjault, la femme « au congélateur » soit déjà en liberté avec un emploi.
        Il est certain qu’un hommes commettant de tels crimes serait voué aux gémonies et ne bénéficierait pas d’une telle « clémence ».....
        A noter bien sûr que cette « information » a occupé une large place, permettant une évocation très brève et discrète de « l’affaire Woerth.
        Depuis quelques années, un groupe fait l’unanimité contre lui : celui des fumeurs. Celui qui ose sortir d’un restaurant ou d’une réunion pour » en griller une « est l’objet de multiples regards désapprobateurs, avec souvent, en plus, des réflexions. Mais là, c’est bizarre, on condamne, sans expliquer, sans chercher à faire » comprendre « les raisons d’une telle » addiction.« 
        En revanche, on ne dit pas un mot sur le hach qui circule dans pratiquement tous les collèges et lycées de France. Il n’y a pas de campagne d’informations, de mises en garde. à grande échelle. Ce sujet n’est pas un tabou.

        Pour l’alcool ; c’est pareil : certes, la publicité est interdite mais quand on évoque le sujet dans les médias, c’est en général des grands vins ( Bourgogne, Bordeaux, etc...) qu’il s’agit pour parler des vignobles, de leurs spécificité, de la qualité des cépages, des vins en question.Evidemment, à chaque fois, le commentateur répète comme un perroquet » à boire avec modération « ...comme si les alcooliques ne buvaient que de grands vins ! De plus, dans les pays de vignobles, il y a toute une culture autour de ce breuvage : ses caractéristiques, comment le goûter, le déguster, l’associer à tel ou tel plat, etc...Je connais bien des oenophiles qui font des »dégustations « régulières,  » à l’aveugle « ou pas et qui ne sont surtout pas alcooliques (on » recrache le vin goûté « à chaque fois.)
        En revanche, on ne parle jamais de la bière qui est consommée en grande quantité par les jeunes : combien se réunissent autour d’un ou plusieurs packs ? C’est qu’il y a beaucoup d’argent en jeu.

        Parler de la consommation de hach, de bière ça ne se fait pas , sans doute pour ne pas » stigmatiser « ( mot très à la mode !) les jeunes !

        Régulièrement, à juste titre, on parle de la prévention contre le sida. Mais qu’en est-il des campagnes d’information sur les moyens de contraception ? On me dira qu’on évoque le sujet dans l’Education Nationale mais si peu parfois et si » mal « parfois aussi ( j’ai vu faire !). Une campagne à grande échelle serait sans doute très efficace.Beaucoup de personnes sont très sensibles à la télévision, croient encore que tout ce qui y est dit est vrai.

        Un mot encore sur la sécurité routière : c’est bien certes qu’une telle campagne soit faite mais on met tout le monde dans le même panier : le » brave pépé « pris à 52 kilomètres à l’heure, s’il proteste un peu vivement, peut être mis en garde à vue, traité comme un criminel en puissance, même si le » délit «  a eu lieu dans une rue totalement déserte à minuit ! Et pendant que l’Etat amasse de l’argent, on ne parle presque jamais de la nécessaire réfection d’une grande partie du réseau routier.

        Je finirai avec l’alimentation : pour l’instant, on ne nous » casse « plus les oreilles avec les » cinq fruits et légumes par jour « ( trop chers sans doute en temps de crise ). Mais on ne fait jamais de » campagne « contre la malbouffe pour dissuader le grand public d’acheter sodas, viennoiseries, gâteaux industriels et j’en passe, aux enfants. Là, il y a bien trop d’intérêts financiers en jeu.

        Finalement, une société choisit les tabous qui » l’ arrangent «  soudant, comme vous dites, une population contre les mêmes comportements : pédophiles ( on croirait qu’il y en a un nombre énorme ! ), fumeurs-pollueurs, automobilistes délinquants, vin à proscrire.
        Fumer du hach, se saouler à la bière, ignorer les moyens de contraception ’ grossesses d’adolescentes), manger » des cochonneries " , on ne fait pas de campagne nationale sur ces sujets.

        Dis-moi quels sont tes tabous et je te dirai qui tu es...

        .


      • Georges Yang 30 juillet 2010 11:45

        Antonio
        Bravo, vos commentaires sont quaasiment des articles
        Quelle lucidite, lancez vous et ecrivez sur le theme de la societe francaise et de l’education, on aura a aprrendre plus de vous que de Morice et Allain Jules


      • antonio 30 juillet 2010 11:58

        Merci beaucoup M Yang. Je suis touchée.
        Mais j’ai encore du mal à oser...


      • La sentinelle La sentinelle 29 juillet 2010 13:34

        Bonjour

        Rassurez vous, c’est fait.

        Dans le reportage « Eva Braun dans l’intimité d’Hitler » , on y apprend qu’Hitler était pédophile car on le voit sur des images toucher les poignets et les bras des enfants.

        Hitler étant le symbole du mal absolu, il fallait OBLIGATOIREMENT qu’il soit pédophile en plus.

        Si ça continue, lorsque l’on va croiser un enfant dans la rue, on va changer de trottoir de peur qu’il nous adresse la parole et de se retrouver au commissariat .

        A+


        • Massaliote 30 juillet 2010 09:41

          Une mère se trompe rarement sur les pédophiles. Lorsque ma fille était plus jeune, j’ai toujours reconnu les individus dangereux. Dans ma ville, ils sont nombreux, de tous âges, parfois très jeunes, toutes les origines sociales, les ethnies et les races (oh, j’ai écrit un mot tabou !) sont concernées. J’ai toujours discerné le regard attendri d’un homme normal devant un enfant de celui, trouble et malsain, d’un pédophile. Par ailleurs, j’ai eu l’occasion de voir un pédophile avéré (déjà condamné à 5 ans de prison dans sa Serbie natale). Ce jeune homme, très beau, se défendait comme un beau diable devant son accusateur. « Ce qu’on t’as raconté n’est pas vrai, j’ai jamais violé de petites filles, on m’a accusé à tort, elle avait 16 ans et était consentante ». Je doutais lorsque 2 fillettes sont passées sur le trottoir d’en face. Malgré lui, comme aimanté, son regard revenait vers elles, il faisait des efforts visibles pour tenter de les ignorer mais n’y parvenait pas. Son visage se déformait, devenait bestial, une grosse veine battait sur sa tempe. Je crois que c’est le spectacle le plus répugnant que j’ai jamais vu. Indescriptible. J’ai pensé aux enfants qui avaient vu cette face immonde avant d’être agressés. Alors une envie incroyable m’a pris de le détruire. Oh, c’est méchant. J’assume.


        • Annie 29 juillet 2010 14:46

          C’est tout à fait vrai. Aucune circonstance atténuante n’est accordée au pédophile, parce qu’il est le dernier des criminels avec lequel on peut s’identifier, à l’exception des autres pédophiles. Tandis que les autres crimes ont été banalisés, en voilà un qui tombe à pique et qui permet à chacun de se sentir plus normal.
          Ce que je trouve intéressant, c’est que ce rejet des pédophiles se retrouve en prison, où dans l’échelle des crimes, la pédophilie atteint le sommet même chez les criminels les plus endurcis qui s’en démarquent en faisant subir aux pédophiles les pires supplices. Comme si chacun avait besoin en creux d’un pédophile pour prouver son appartenance au reste du clan.


          • King Al Batar King Al Batar 29 juillet 2010 15:29

            Vous savez à quoi on reconnait les petites filles violées en Belgique ?


            • King Al Batar King Al Batar 29 juillet 2010 15:30

              A la marque du trou !


              Ok je sors, et je reviens plus.....


            • King Al Batar King Al Batar 29 juillet 2010 17:39

              Elle est pour toi Sheitan.

               smiley


            • King Al Batar King Al Batar 29 juillet 2010 15:31

              Non mais plus serieusement.

              Je suis pour la vengeance personnelle.

              Le pedophile, on devrait l’enfermer dans un pièce avec les parents des gosses... Pour qu’il assume pleinement son acte. S’il crève, tant pis pour lui. On moins on aura soulager la conscience d’honnetes citoyens qui ont perdu leur chiar....


              • Annie 29 juillet 2010 16:00

                Vengeance personnelle en relation avec les pédophiles ou tous les criminels ?


              • King Al Batar King Al Batar 29 juillet 2010 16:16

                Juste les pedophile.....

                Mais en fait je ne suis pas serieux, je raconte de la merde pour faire mon petit troll.

                Comme je dis toujours, en théorie je suis contre la peine de mort. Maintenant je sais que mon avis changerait si on retrouvait ma petite fille violée et tuée.

                Et la je serai certainemnt pour la vengeance personnelle, seule chose qui pourra assouvir la colère qui consumerait mon ame....


              • Massaliote 29 juillet 2010 17:17

                D’accord. Mais surtout il ne pourra pas recommencer.


              • King Al Batar King Al Batar 29 juillet 2010 17:39

                Teins massaliote pour te prouver mon honneteté intelectuelle,

                Je suis en train de me prendre la tête avec des mecs qui tenait hier des propos proches des miens sur l’armée et tout ca et qui aujourd’hui tiennent des propos franchement antisémites.

                C’est dans l’article sur le racisme que subissent les gens du voyage.

                Moi je combat tous les racisme, ceux contre les jeunes de cités, ceux contre les juifs, ceux contre les gitans, meme ceux contre les femmes ( hihi).


              • Georges Yang 30 juillet 2010 11:52

                Salut King
                Je vous ai lu plus percutant et plus positif


              • Airbus Airbus 29 juillet 2010 16:12

                bonsoir,

                D’ici le mois d’octobre, histoire de bien chauffer au rouge la populasse, nous allons encore assister à une opération spectacle sur le pédophile. Après les opérations arc en ciel, Nemésis bientôt sur vos écrans les opérations Terminator, Apocalypse,...Bref le pervers à travers les âges, dans toutes les déclinaisons.

                 Je crois que Louis XVI ou Louis XIV déjà couchait avec des jeunes de 12 ans. Bref au état unis il y les terroristes, nous nous avons les pédophiles.

                Je suis d’accord avec de nombreux post, maintenant pére ou mère au premier baiser, à la première carrsse, ce sera la taule. Faut plus rien leur dire, ne pas les regarder, et le summum de la paranoia est sans aucun doute outreau. Il y en a eu et il y en aura encore...

                Je pose un sujet sensible, les gendarmes qui sont du matin au soir avec ce genre d’histoire et qui regarde pour par dire autre chose des images pedopornographique jour et nuit, ne peut-il y avoir addiction ? Voire même n’est-ce pas la meilleur planque ?

                 Des magistrats pédophilies ont leur dossiers bloqués en chancellerie, nous avons un ministre de la culture qui va voir les boxeur en Thailande...

                Méfiance lecteurs ce gouvernement sera prêt à tous pour sauver ses abatis, tout : politique raciale, bouc émissaire, vindict, pression, oppression, linchage, terreur, guerre...

                N’oubliez pas un certain NS qui disait ’on nait pédophile, on naît délinquant’ et d’autres de rajouter ’ficher les enfants dès 3 ans, créer des bases de données dès la naissance...’, moi cela ne me rassure pas vraiment...


                • Massaliote 29 juillet 2010 17:13
                  Article sournoisement tendancieux. COMMENT pouvez-vous dénoncer un climat de traque aux pédophiles alors qu’il y en a dans le gouvernement et dans toute la racaille au pouvoir qu’il soit politique ou merdiatique ? jamais LES DROITS de l’enfant n’auront été autant bafoués. Article courageux paru dans Libération, "Affaire Polanski : les filles de rien et les hommes entre eux Par LOLA LAFON Ecrivaine, PEGGY SASTRE Ecrivaine —>

                  Certains refrains ne s’usent jamais et s’entonnent à plusieurs d’une voix forte et assurée, bras dessus, bras dessous, comme un seul homme. Et depuis des mois, une chanson inaltérable répète encore et encore l’histoire d’un Tout (puissant), « au-dessus de ça », « grand artiste », un « bienfaiteur de l’humanité », assigné à résidence dans cette « prison » qu’est son chalet suisse de 1 800 m². Face à rien, quelques tristes gueuses à la recherche de leurs « trente deniers ». Evidemment, tout ça n’a rien d’un conte, ce brouhaha incessant, ce bruit de fond, ce grésillement permanent renouvelé sans arrêt au gré des relais médiatiques. C’est une histoire « idiote », « sans importance », une accusation qui « n’a pas de sens », « absurde » et « infâme », à peine un « délit », cette affaire vieille de « trente-trois ans », « ridicule » !

                  Avec d’un côté, ceux qui, comme un seul homme s’insurgent, font signer des pétitions et se soulèvent, prennent la plume et l’audience à témoin : c’est intolérable, ça leur « soulève le cœur » qu’on puisse ainsi s’attaquer à un des leurs, déjà traqué, diminué, diffamé. De cocktail en interview, à la une de partout, comme un seul homme, la mine offusquée et le verbe vibrant, les voilà qui se font juges, parce que c’est ainsi, ils savent : cette « pure et simple opération de chantage » est « vraisemblablement » un mensonge…

                  Alors nous l’écoutons attentivement, cette caste des hommes entre eux, bien serrés, bien rangés, avec l’aplomb de leur rang, cette autoproclamée élite intellectuelle au verbe haut, abasourdie d’être mise en cause contre des pas grand-choses, bien dispensables. Une élite mâle qui s’arroge le droit du corps de quelques interchangeables et désobéissantes victimes qui ouvrent enfin la bouche.

                  Ceux pour qui elle était toujours habillée trop court, trop moulant, trop transparent, elle le voulait bien, elle faisait déjà femme, elle était une pute, ce n’était pas le premier, et ça l’arrangeait bien qu’il prenne les devants. Trop provocatrice, trop inconsciente, trop lolita, trop menteuse, trop folle - et si ce n’est pas elle, c’est donc sa mère qui l’a laissée aller au rendez-vous. Et qui dit non consent, bien entendu…

                  Et qui sont- elles, celles dont on parle, extirpées du silence où elles étaient rangées soigneusement après utilisation ? A cette question, comme un seul homme, il nous est répondu qu’il n’y a rien à voir, allez, les plaignantes ne sont : rien.

                  Rien, à peine quelques tas de culs et de vagins anonymes et utilitaires devenus viande avariée de « mère de famille » pour l’une et « prostituée peut-être » « en mal de publicité » pour l’autre, petite chose oubliée, fille de rien, une petite voix sortie du passé et une photo trimballée sur le Net, l’histoire d’une nuit dégueulasse commentée à l’infini.

                  Nous, nous passons des nuits blanches à nous retourner dans les échos de leurs précisions sordides « ce n’était pas un viol, c’était une relation illégale avec une mineure ». A nous demander, nous aussi, ce qui se passe là, ce qui se déroule sous nos yeux pour qu’ils puissent affirmer, sans rougir, sans transpirer, que le viol d’une adolescente de 13 ans, droguée, sodomisée, ayant dit non à dix-sept reprises, ayant porté plainte le soir même puisse être défini en ces termes légers. Cette histoire nous la connaissons depuis longtemps, et tous ces propos, ces adjectifs, nous les avons déjà entendus ou nous les entendrons. Propos banals, courants et vulgaires. Consternants. Les mêmes mots pour les mêmes histoires, encore, toujours, encore.

                  Nous sommes toutes des filles de rien. Ou nous l’avons été. Nous, filles de rien, ne savons plus avec combien d’hommes nous avons couché. Nous avons dit non, mais pas assez fort sans doute pour être entendues. Nous n’avons jamais oublié ce que ça fait d’être un paillasson, un trou retournable. Nous n’avons réussi à mettre des mots sur cette nuit-là qu’un an, dix ans, vingt ans plus tard, mais nous n’avons jamais oublié ce que nous n’avons pas encore dit.

                  Nous, filles de rien, avons été ou serons un jour traitées de « menteuse », « mythomane », « prostituée », par des tribunaux d’hommes. Nous avons été ou serons accusées de « détruire des vies de famille » quand nous mettrons en cause un homme insoupçonnable.

                  Nous, filles de rien, avons été fouillées de mains médicales, de mots et de questions, expertisées interrogées, tout ça pour en conclure que nous n’étions peut-être pas des « innocentes victimes ». (Il existe donc des victimes coupables…).

                  Nous ne sommes rien. Mais nous sommes beaucoup à n’être rien ou à l’avoir été. Certaines encore emmurées vivantes dans des silences polis.

                  Et nous les détectons, ces droits de cuissage revenus à la mode, ces amalgames défendant la révolution sexuelle, hurlant au retour du puritanisme, inventant commodément un « moralisme » « sectaire » et « haineux », faisant les gros yeux parce qu’une de ces innombrables anonymes utilitaires sort de son « rang », oublie de se taire et parle de justice. Relents de féodalité drapée dans « l’honneur » des « citoyens » « de gauche », éclaireurs de la nation, artistes, intellectuels, tous d’accord, riant à gorge déployée à la bonne blague des « moi aussi Polanski m’a violé quand j’avais 16 ans » - en être, entre soi, cette connivence des puissants. A la suivante.

                  Nous la voyons, cette frousse qu’on vienne, à eux aussi, leur demander des comptes, y regarder de plus près dans leur vie et au lit, y voir comment des viols, ces stratégies de pouvoir criminels, se font passer, sans l’ombre d’un doute, pour de la sexualité normale, joyeuse et libre, une sexualité avec sa « complexité » et ses « contradictions ». Nous l’avons vue, cette peur de l’effet « boule de neige » : et si toutes les autres, toutes ces filles de rien et de passage, toutes celles à qui il arrive, aujourd’hui, tous les jours, de se retrouver dans la situation de Samantha Geimer en 1977, si toutes ces quantités négligeables se mettaient à avoir un visage, une voix, une identité, une valeur ? Et si elle se mettaient à parler, à l’ouvrir bien grand cette bouche traditionnellement en cœur, faisant valdinguer tous leurs accords tacites, leurs secrets d’alcôve ? Que feraient-ils, ces hommes de gloire, d’exception, ces au-dessus de la mêlée, du peuple, de la masse, ces gardiens de tours d’ivoire, ces êtres si sensationnels et précieux ?

                  Ils se rendraient compte que tout cela n’a rien à voir avec cette « affaire politique » ou encore ce « choc des cultures » qu’ils essayent de nous vendre. Que tout cela ressemble à tous les viols de toujours où la victime n’est jamais assez victime : où on n’est jamais assez sûr qu’elle ait bien dit non.

                  Car ce qui se joue là, c’est bien ceux-là contre rien, comme ils disent, tant il est entendu qu’il faut être Quelqu’un(e) pour être entendue d’eux.

                  PS : les mots et les phrases entre guillemets sont tous extraits de propos tenus au sujet de l’affaire Polanski."
                  En ce qui me concerne, tous les pédophiles sont égaux et doivent être empêchés de nuire.


                  • Massaliote 29 juillet 2010 17:14

                    Une bonne claque aux faux culs qui se planquent derrière les innocents d’Outreau pour se dédouaner. smiley


                  • LADY75 LADY75 29 juillet 2010 17:23

                    Lady Paname dit :

                    Les deux posts ci-dessus seraient-ils des gags ?

                    M’sieur Massaliote lisant Libération et utilisant ses pages « Rebonds » pour argumentation ?

                    On peut donc lire sans crainte l’organe centrale de l’Union des Bobos angélistes droits-de-l’hommistes bien-pensant ?

                    Ah ben.. ça c’est une nouvelle qui décoiffe !


                  • LADY75 LADY75 29 juillet 2010 17:29

                    Lady Paname dit :

                    D’accord avec l’auteur.. l’acte intolérable varie avec les années..

                    Lady Panam’ est plus sérieuse..

                    Sur la pédophilie.. Je me souviens, fin des années quatre-vingt, de l’explosion dans les media (Radio et TV) des dénonciations d’incestes par leurs victimes. Cela donnait des moments de TV comme les aime le public : bouleversants..

                    Lorsque l’on sait que les atteintes sexuelles contre les enfants ont lieu majoritairement AU SEIN DES FAMILLES.. on comprend que le méchant absolu, du Père Indigne, soit devenu un prédateur extérieur, comme l’exotique Dutroux.

                    Ouf ! La famille traditionnelle était sauvée.. Au cours des années 90, l’intérêt pour les affaires d’inceste, trop gênante, était remplacé par celui des réseaux pédophiles, au mépris des statistiques...


                    • Annie 29 juillet 2010 17:46

                      Ce que vous dites est très juste. L’inceste est certainement plus répandu que la pédophilie, mais il s’agit à mon avis de l’ultime tabou, à tel point qu’on n’en parle pas ou rarement.


                    • Clojea CLOJEA 29 juillet 2010 17:45

                      La pédophilie, c’est de la perversion et c’est criminel. Un enfant est sans défense, donc une proie facile. Réclusion à vie pour ce genre d’oiseau. Et pourtant, je sais que la prison n’est pas une solution, mais face à ce genre d’individus, pas de quartier.
                      Pas de quartier non plus pour les meurtriers, violeurs et autres. Mais, les « bons psychiatres » lors des procès aiment bien déclarer « irresponsable au moment des faits ». Mensonge honteux, car une personne est toujours responsable de ses actes. Toujours.


                      • Georges Yang 29 juillet 2010 18:28

                        Cet article est loin d’etre une apologie de la pedophilie, juste une mise en garde vis a vis des modes
                        Mais certains ne savent pas lire, je n’y peut rien


                        • clostra 29 juillet 2010 20:22

                          C’est également ce que j’avais compris. Cependant on pouvait s’y arrêter sous ce vocable de « mode » qui est en fait une sélection dans les faits divers. Et le fait divers, aussi odieux soit-il est un fait divers à rapporter au nombre total de ces faits triés par catégorie.

                          Chaque fait divers comporte une « leçon singulière » qui ne devrait envahir les consciences excepté de ceux qui pourraient s’y référer. Or, effet de « mode » ceci envahit la conscience des plus consciencieux, sans prévenir la criminalité liée, elle, a un besoin de justice voire de soins. De là à une contagion, je ne sais...

                          Voyez soudain apparaître les « dénis de grossesse » en très grand nombre. Est-ce un effet de mode de les afficher ou y a-t-il une recrudescence ?

                          Une question à poser aux journalistes sans doute. Quand j’étais jeune, la page des faits divers nous était interdite, sans doute pour préserver notre sensibilité ? Or nos chérubins à qui on inflige les JT prennent « ça » en pleine figure. Eux sont en danger face à ces « modes » qu’ils assimilent à quelque chose de fréquent (normal ?) qui leur est servie à domicile dans leur salon.

                          A voir si le nombre d’enfants qui prennent consciences de ce qu’ils vivent en regardant les JT comparé à ceux qui se mettent à gamberger.


                        • Christoff_M Christoff_M 30 juillet 2010 01:00

                          Trouver des pédophiles chez les religieux quoi de plus normal, des nids de refoulés dangereux !!!

                          Mais trouver des pédophiles chez les enseignants, attention au glissement...

                          En parlant de mode vous auriez pu parler de cette mode des laicards gaucho revanchards, qui n’en sont pas à un raccourci, et qui à une autre époque auraient fait de bons inquisiteurs, oubliant que dans le corps enseignant en France, il y a dix fois plus de cas de pédophilie, que l’image du catéchisme et de l’enfant de choeur est diffusée par les inquisiteurs...

                          Par ailleurs très « tolérants » avec certaines hiérarchie ou certains ministères qui ont le don d’amnésie collective, il a fallu de nombreuses récidives dans un cas pour un début d’entame de procédure de justice, la ou un curé en ayant fait le dixième est jeté aux orties sous régime sarko sioniste...

                          Comme vous dites méfions nous des modes et des oublis collectifs orchestrés, avec un pouvoir noyauté par les francs macs et les lobbying corporatistes...


                          • Georges Yang 30 juillet 2010 11:49

                            Je pense que j’aurais pu obtenir plus de lecture et de commentaires avec un titre accrocheur sur les pedophiles
                            Mais j’aurais eu les borborygmes et les eructations de nombreux abrutis a peine capables de dechiffer
                            Il faut savoir si l’on veut etretres lu ou, si on recherche a communiquer avec des gens serieux
                            Que quelques rares fausses notes



                              • Christoff_M Christoff_M 31 juillet 2010 22:45

                                « Mais j’aurais eu les borborygmes et les éructations de nombreux abrutis a peine capables de déchiffrer... »

                                Avec des propos pareils vous vous classez vous même au ras des pâquerettes.

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