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G !

G !

Né le 25 juillet 1950 a Oran en Algérie, d’une mère artiste de variété, Alicia G ! et d’un père gendarme, Maurice G !, le petit G ! est fils unique. Heureusement que maman G ! est là pour partager ses jeux d’enfants, car papa G ! est souvent absent. En 1962 les G ! quittent l’Algérie et arrivent a Nice. puis ce Nice ils prennent le bus et s’installent a Cannes. G ! a 12 ans. Voulant faire plaisir à la fois a sa mère et a son père, il hésite entre une profession artistique et policière. Mais le destin décidera pour lui puisqu’ en 1968, pendant les évenements, son père meurt, étouffé la tete coincée dans une grille d’arbre. Il embrasse alors la carriere policière et abandonne ses études de trapèze (aaaah poum). 1971, il sort 10eme de l’école de police de Nice, avec une moyenne de 11/20 ce qui est bien mais pas top. c’est après avoir élucidé le mystère du téléphone jaune, et celui du labyrinthe maudit, qu’il est promu inspecteur. "Mr G !? euh... 9 lettres : POLICIERS". Puis il gagne, à la finale régionale des chiffres et des lettres, et devient commissaire principal de la ville de Cannes, fonction qu’il occupe aujourd’hui encore...

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Derniers commentaires



  • G ! G ! 3 janvier 2009 22:47

    Je vois que beaucoup de gens ici parlent de ce qu’ils ne connaissent pas :

    Je suis allé faire parler le cuir usé d’une valise
    Sous un drap de couleur fade contrastant ses souvenirs.
    Dar Baïda, un embarcadère ensoleillé au départ,
    Une arrivée sur un ponton terne et un visage hilare,
    Celui d’un contremaître, de l’encre, un tampon à la main,
    Frappant le flanc de cette valise retenant la douleur.
    Ces visages s’engouffrant dans un train,
    Direction l’usine de camions pour un bien dur labeur.
    Les sirènes n’ont pas de voix mélodieuse,
    Leurs appels stridents aux forçats cinglent leurs espoirs telles des moqueuses.
    Ces vestiges de période dure qu’elle garde en elle,
    Ses séquelles marquent son cuir et le morcellent.
    Je suis allé faire parler le cuir usé d’une valise entreposée
    Sous la poussière terre d’une vieille remise.
    Des gerçures l’ont balafré de part en part,
    Une étiquette fanée rappelle son premier départ et,
    Janvier 53 l’a tatoué d’un plein cap sur le froid.
    Au fond de ce bagage pas d’invitation au voyage
    Mais la plaine de Ghilizane qui pleure un fils
    Parti gagner le droit de ne plus errer affamé.
    Au fond de ce bagage, la coupure tâchée d’un journal,
    Où s’étale le résumé du procès des agitateurs d’une usine embrasée.
    C’est une valise dans un coin qui hurle au destin
    Qu’elle n’est pas venue en vain...

    Je suis allé faire parler le cuir usé d’une valise,
    Autrefois pleine d’espoir, maintenant pleine de poussière.
    Si tu savais son histoire, partie de la Soufrière,
    Emportant quelques vêtements chauds pour cette terre de convoitise.
    La haine et la neige comme découverte et,
    Les visages se glacent face au spécimen d’Outre- Mer.
    En cette pleine période d’exode, qui accompagne l’exil,
    Commence un triste épisode lorsqu’il débarque des îles,
    Pour finir empilée sur l’armoire du foyer, témoin du gain dur à envoyer.
    Souvenirs ternes d’une employée fidèle
    Toujours à la traîne derrière cette employée modèle.
    Je suis allé faire parlé le cuir usé
    D’une valise de près d’un quart de siècle mon aîné,
    Dire qu’en 62, les ruines encore traumatisées
    De Lomé jusqu’au port de Goré,
    Elles témoignent de ces rêves en rupture de sève.
    A la levée des passerelles, sous une averse de grêle,
    Le mistral du Grand Nord traverse, sans jamais trahir,
    Le vieil héritage colonial dominé par des siècles,
    Reliant le Havre et ses environs
    Depuis la sinistre cale d’un navire d’embarcation.
    Quand même les rats et les cafards cohabitent en paix,
    Avec les symboles vulgaires de la France d’après guerre,
    Il se pourrait que cette valise, confinée dans un coin
    Hurle au destin qu’elle n’est pas venue en vain...

    http://fr.youtube.com/watch?v=prJcikTIKQM

    La rumeur - le cuir usé d’une valise



  • G ! G ! 23 septembre 2008 11:14

    bouh il finirait "presque" par me faire peur le adolph

    Tu veux ratonner du gitan ?

    Bah viens au campement mon cousin

    On verra qui s’est qui se pissera dessus et courra le plus vite








  • G ! G ! 9 juin 2008 14:27

    Paul, vous avez surement raison, il est tout à fait légitime de remettre en cause le travail d’un journaliste, cela ne doit pas faire l’objet de poursuites judiciaires.

    Neanmoins je vomis sur ceux qui veulent faire croire que le gamin n’est pas mort. Qu’est ce qu’ils croient ? Qu’à la guerre on se jette des fleurs et on se fait des bisous ?

     



  • G ! G ! 5 juin 2008 00:04

    Mesdames, si vous ne voulez pas avoir ce genre de problèmes c’est très simple...

    Ne vous mariez pas avec un con !!


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