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Amexour

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  • Amexour 1er mars 2010 16:30

    Salut Laurent,

    tu as raison, cette crise n’en est pas davantage une parce qu’elle est proclamée je crois, et dans cette proclamation, ne se trouve pas davantage de causalité. Personne n’a raison et personne n’a tord en définitif, et tout le monde se trompe de considérer une fin, ou une issue quelconque à cette « crise ». Ce n’est qu’une fiction de plus à mettre au profit de la conscience collective.
    Je m’explique.

    Crier au loup, et le loup alors existe et hante les consciences, surgissant nul autre part que dans les esprits, il n’en a pas moins d’effets ici, car mondialisés. Plus qu’aucune autre confession avant elle, aucune guerre, l’opinion mondiale est touchée de plein fouet. Pour la combattre, être libre suffit, aucun autre moyen que celui d’être aveugle, sourd et muet, diraient Confucius, Lie-Tseu et tous les sages Antiques avec-eux.

    Si la pauvreté existait bien avant cette déclaration, et quand toutes les richesses ne parviennent pas à rendre heureux ceux qui en sont exclus, la crise, elle, est un déséquilibre pour mieux creuser la tombe des précaires.

    La crise n’est en fait qu’une justification de l’impuissance globale d’une humanité désabusée. Qui, cherchant à justifier ces mauvais choix, ses impuissances renouvelées tente désespérément de se sortir de l’impasse où elle s’est engouffrée. Espérant lutter contre les guerres, contre ses vieux démons, celui de ne savoir comment lutter contre une fin inexorablement programmée. La crise tient au fait d’une mondialisation inachevée, d’une globalisation destructrice car acculturée. De l’erreur suprême de vouloir tout régenter.


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