"Le documentaire nous apprend que le thème du réchauffement climatique
fut très pratique pour certains usages politiques. Margaret Thatcher, à
la fin des années 80, aurait alors débloqué de gros budgets pour que
les climatologues britanniques prouvent que le charbon était dangereux
(car sa combustion dégage beaucoup de CO2 et de fumées toxiques) —
elle était alors en lutte avec les mineurs pour fermer les mines de
charbon anglaises. Aux Etats-Unis, la NASA a utilisé le thème pour
gonfler ses budgets d’études, des millions de dollars ont été débloqués
pour financer des dizaines de satellites et des centaines de
scientifiques qui bénéficiaient ainsi des recherches sur les
changements climatiques. La peur entretenue par une partie des médias
débloquait des financements publics de plus en plus importants. On
entrait ainsi dans un cercle vicieux qui prend toutes ses dimensions
aujourd’hui. A l’heure actuelle les milliards de dollars coulent à flot
pour financer ceux qui doivent faire face à la nouvelle apocalypse. Or
on doit revenir au bon sens. Vu les sommes qui sont en jeux, vu les
intérêts, ne peut-on pas se demander si la nature des fonds de
recherche n’induisent pas un biais dans les résultats ? Comment peut-on
assurer que les résultats ne surestiment pas les risques ? Les
changements prévus n’auront jamais lieux avant plusieurs générations,
donc sont invérifiables empiriquement, cela autorise toutes les
« libertés » dans l’interprétation des prévisions."
Et si on cotait en bourse les émissions de CO2 ? Beaucoup plus drôle que le casino ! Gros rapports financiers en perspective ! Il suffira que faire aumône à quelques experts et de monter la mayonnaise dans nos médias (c’est pour ça qu’on les a achetés non !) Et hop !
Comment mettre en place une pointeuse (la machine !) à l’Assemblée Nationale et rémunérer les Députés suivant leur temps de présence ? Oui, on pourrait aussi comptabiliser le temps des préparations aux questions commises par les assistants, non ?
L’opposition qui tient son rôle, incroyable n’est-ce pas ? Non, Madame la Ministre, « le Monde Culturel » comme vous le dites si tendancieusement, n’attend pas une« riposte graduée » Les Majors, la SACEM ne sont qu’une toute petite partie du monde culturel et si le niveau de vie des artistes leur importait autant, comment expliquent-ils le déséquilibre de la répartition des gains ?
Et vous twittez (verbe du 1er groupe ?) avec le même humour ? Merci Madame, vous m’avez bien fait sourire... Un peu de légèreté pour un sujet grave, plaisir !