la recherche ne règlera rien, puisque l’angoisse de l’homme face à « l’origine du monde » relève de l’irrationnel....laissons agir le mystère, la grâce et l’amour pour amener ceux qui ont des yeux à l’initiation charnelle...
@Ruut « A toutes les époques l’Homme fut le dindon de la farce féminine, »
peut être, je n’en suis pas aussi sûr que vous mais son statut de « génitrice » lui donne un avantage et une supériorité incontestable selon moi en matière de sexualité.
Que je le reconnaisse ou non, l’expérience de la sexualité, c’est faire consciemment ou bien plus souvent inconsciemment, le « retour » au giron maternel, ce quelque part mystérieux et donc angoissant qui nous a engendré mystérieusement et qui est le domaine féminin par excellence. Que je me moque de cette réalité, que je la nie ou la tourne en dérision, ou que je fanfaronne est la marque la plus criante de cette inquiétude masculine, sourde et confuse à l’origine de biens des comportements péjoratifs, cavaliers et puérils mais compréhensibles de bien des hommes.
beau texte je ne sais pas si les femmes doivent « imposer » leur sexualité, il me semble qu’elles doivent en tous cas la faire respecter..
Je ne suis pas sûr qu« il n’existe qu’une sexualité féminine mais mon expérience est loin d’avoir épuisé ce continent qui reste sinon »noir", largement mystérieux, parfois inquiétant mais Dieu merci toujours aussi fascinant et attirant.
J’ai eu la chance de rencontrer assez tôt (22 ans quand m^me) une femme qui m’ a initié rassuré et éduqué.
j ai appris d’elle que l’amour n’était pas forcément une compétition sportive, ni seulement un art martial, mais qu’on pouvait faire l’amour comme on boit lorsque l’on a soif, ou se reposer lorsqu’on est fatigué, c’est à dire simplement sans projet de victoire ou de performance, un grand merci à cette femme qui m’a ouvert au monde de la sexualité simple et naturelle.