golum,Pourtant ils ont continué à prendre ce risque, en conscience.
Deifeil de ton nous livre le dessous des cartes.
Il cite ainsi les paroles de
Wolinski, lui aussi tué le 7 janvier, au moment où le journal avait
été incendié en 2011 : « Je crois que nous sommes des
inconscients et des imbéciles qui avons pris un risque inutile.
C’est tout. On se croit invulnérables. Pendant des années, des
dizaines d’années même, on fait de la provocation et puis un jour
la provocation se retourne contre nous. Il fallait pas le faire. »
Pour une critique percutante des médias électroniques, se souvenir des travaux de jean-jaques Wunenberger ,notamment l’ouvrage « l’homme à l’âge de la télévision » aux PUF.