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Bernie

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Enfant du punk et du heavy, je n'ai que canines contre vous. Saurez vous entrer dans mon cercle, le rayon est faible, attention. Je suis bernie, je mets des coups de pelle aussi bien à droite qu'a gauche. Votre théatre ne m'intéresse pas, no futur...for you, and for me.

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  • Premier article le 02/08/2011
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Derniers commentaires



  • Bernie Bernie 3 octobre 2009 11:02

    Merci pour ce papier, dont le ton m’a fait sourire même si le sujet est grave. Il m’arrive de pester quand je me rend dans mon bureau de poste (principalement à cause du mélange des genres : activités de poste/ banque postale) vu que je suis obligé de poireauter pour retirer mon colis. Mais ce matin, je vais me rendre à mon bureau, pour voter. Mon choix sera une nouvelle fois ignoré, la derniére fois se fut le TCE, pas grave, je les emmer..
     



  • Bernie Bernie 2 octobre 2009 22:51

    « une petite erreur et on le paie cash, » ça et l’incontournable « l’important c’est les trois points » après un misérable 1-0, sont les analyses ô combien pertinentes de nos milliardaires spécialisés en shoot de vessie de porc gonflées.

    Allez communier votre douleur sur les forums de l’Equipe, vous trouverez certainement plein de fins tacticiens plus à même de faire preuve d’empathie pour ces « pauvres » marseillais, soupirant de l’age d’or de Tapie et consorts.



  • Bernie Bernie 4 avril 2009 09:14

    bonjour amis agoravoxiens, je profite de cet article pour m’inscrire (enfin).

    Pour moi, le mot épave me rappelle des vacances de Pâques 1978, un vent pas possible, Bretagne oblige, j’ai 9 ans. Porstall, une étrave dréssée au loin me permet de mettre une image au bout d’un nom, AMOCO CADIZ.
    Voila le coupable de la souillure de ma belle île Callot...

    Comme disait ma grand mère, "Ma doué béniget, triste à voir".

    Depuis je suis repassé à Portsall, exhibition de l’ancre de l’ Amoco, bien piétre compensation. A la maniére du toréro qui exhibe les oreilles et la queue sous les vivats des connes madrilènes (P. Desproges). 30 ans après, l’ injure s’effaçe doucement du granit Carantécois, même si il a la mémoire tenaçe. La nature reprend son dû.

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