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bibopelula

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  • Premier article le 13/03/2013
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Derniers commentaires



  • bibopelula bibopelula 14 mars 2013 15:29

    @ffi


    L’Etat oui = 7 milliards.

    Mais il y a aussi les collectivités locales : elles doivent payer TOUTES les dépenses de fonctionnement (matériel et personnels) en calculant un forfait aligné sur le coût d’un élève du public + 10% (maxi) des dépenses d’investissement.

    C’est d’autant plus inique que le privé reçoit cet argent alors qu’il accueille 2 fois moins d’élèves handicapés, de classes d’enseignement adapté... Bref qu’il assume pas grand-chose de ce qui coûte le plus cher !


  • bibopelula bibopelula 14 mars 2013 15:19

    Dans l’article 26 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (qui n’a pas valeur constitutionnelle), on trouve en effet « les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation donnée à leur enfant ». Et alors ? 


    - Etes-vous aussi pour qu’on paye les billets d’avion, de bateau (passeurs inclus bien sûr !) des migrants par exemple ? Non ? Pourtant l’article 13 de la même Déclaration ne dit-il pas que « toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays » ? Cela ne vous indigne-t-il pas que ce droit n’ait pas son financement ?

    - Si ce droit au choix d’éducation est si fondamental qu’il faut le faire payer par les impôts de tous, pourquoi est-ce que tant de démocraties s’en dispensent ? Pourquoi la France est-elle, avec la Belgique, une exception mondiale depuis la loi Debré ? 

    Bref, en « bon » juriste, ne faites-vous pas une différence de nature entre le texte que vous citez et le Préambule de la Constitution de 1946 qui dit : « l’organisation de l’enseignement public, gratuit et laïc est un devoir de l’Etat ». 
    Organisation = financement de l’Etat. 
    Droit au choix = pas de monopole d’Etat, mais pas de financement non plus.

    Quant au « mépris des pauvres » qui transparaîtrait dans mon analyse... J’y vois un jugement provocateur destiné à trolliser ce forum. Il est si peu fondé qu’il ne mérite pas que j’y réponde. Vous risqueriez d’en profiter pour esquiver les arguments ci-dessus.


  • bibopelula bibopelula 14 mars 2013 00:47

    Quelle « astuce » svp ? Tous les chiffres donnés sont vérifiables. 


    Et où, le « crachat » svp ? C’est l’organisation et le financement collectif d’un système délibérément ségrégatif qui sont ici interrogés, nullement les personnes qui travaillent dedans. Ce sont d’ailleurs les mêmes (mêmes formations, mêmes salaires, mêmes vacances !) des deux côtés de cette « concurrence ».


  • bibopelula bibopelula 31 octobre 2010 00:20

    A peine né, le Traité de Lisbonne qu’on nous avait présenté comme l’huile super-lubrifiante du grand euro-mecano, est affaibli : la BCE a dû s’asseoir dessus pour racheter la dette grecque, la France et l’Allemagne réécrivent déjà ce qui aurait dû s’appeler CONSTITUTION !!!

    1) C’est tellement grotesque qu’il faut commencer par ne pas perdre l’occasion d’en rire.
    2) Surtout, il ne faut pas perdre l’occasion de s’en réjouir et d’en profiter ! Pour demander à nos élus de déroger au diktat, mais EN FAVEUR DES PEUPLES CETTE FOIS : restructuration et monétisation de la dette française.

    C’est ce que j’ai fait à travers cette pétition initiée il y a qqs jours. Ce n’est qu’un outil pour aller mettre la pression populaire sur nos élus incontrôlables : je me propose en effet d’aller bientôt la porter, avec le plus grand nombre de signataires (les mêmes que les mobilisés sur les retraites) et avant la fin du débat sur le budget, à la permanence UMP de ma ville.

    www.lapetition.be/en-ligne/lurgence-une-loi-pour-restructurer-la-dette-plutt-que-rformer-les-retraites—8473.html

     



  • bibopelula bibopelula 25 mars 2008 20:25

    Un éclairage sur la duplicité du CIO : retour sur le vote de 2005 et sur son traitement médiatique.

    Non le comble de l’hypocrisie n’est pas atteint par le CIO. Il en est tellement coutumier, que la pure langue de bois de Rogge ou de Sérandour ne surprend guère. En revanche les journalistes, aux ordres, atteignent des sommets : eux si taiseux en 2005, les voilà qui s’acharnent la duplicité du mouvement olympique. Avec raison bien sûr. Mais comment ne pas repenser au 6 juillet 2005 et aux commentaires sur le choix de Londres au "détriment" de Paris pour 2012 ? A ce moment-là, la dramatisation atteignait son paroxysme et tous bêlaient que la décision du CIO valait condamnation internationale. Pour mémoire, je place ici quelques commentaires (authentiques) : "La France, pays de losers", qui subit "encore un échec international", "contre lequel le sort s’acharne" ; il faut dire "qu’en refusant la nouvelle donne de la mondialisation, elle a pris beaucoup de retard sur l’Angleterre". Pas un journaliste pour relativiser la portée d’un vote dont la fonction n’est que de conférer, par la mise en scène d’un scrutin précédé par une sorte de campagne officielle avec des "grands oraux" des chefs d’Etat, un vernis démocratique à une décision toute oligarchique. Pourtant démonter l’imposture n’était pas difficile : cela se fait en quelques clics sur le site du CIO. Et cela leur aurait permis d’éclairer les enjeux de 2008 d’un autre jour, pas spécifiquement chinois d’ailleurs.

    En 2005, 54 personnes ont voté pour Londres et 50 pour Paris dans le dernier tour du "scrutin". Qui sont ces 104 personnes qui ont, tout à coup, jeté l’opprobre sur la France au nom du monde entier ? Le site du CIO nous apprend - sans rire - qu’elles font partie de la "famille olympique" dont "chaque membre a droit de poser sa candidature à la commission". Puis "le CIO choisit et élit ( ? ? ? ?) ses membres parmi les personnalités qu’il juge qualifiées".

    Qui fait partie de la "famille" me direz-vous ? Comme dans toute famille, ceux qui y sont nés ! C’est ce que laisse penser en tout cas la présence d’innombrables princes et princesses, pour lesquels un passé "d’éclaireuse liechtensteinoise" ou une performance dans un concours de chasse peuvent suffire de "qualification" dans le domaine sportif. Au final, seuls 37 membres sur les 116 du CIO ont participé aux JO. En revanche bien plus ont été ou sont encore membres de Conseils d’administrations de diverses multinationales. Mais pas n’importe lesquelles : le CIO délivre de brevets d’olympisme à certains "partenaires commerciaux essentiels à la réussite des JO" et fait même un classement, ce qu’il appelle le TOP VI. On y trouve Coca-Cola, 2 SSII (dont 1 chinoise), General Electric (dont NBC Universal, "partenaire media exclusif"), Kodak.... Si pour ces firmes on voit bien l’intérêt commercial lié aux jeux, cela paraît moins évident pour Manulife, 6e, qui vend des assurances-vie. Le CIO nous rassure derechef : Manulife "partage l’esprit olympique avec ses intermédiaires de vente, ses consommateurs et ses employés". Nous voilà rassurés !

    Que les journalistes en 2005 croient faire leur travail en participant à la dramatisation outrancière en dit long sur le naufrage de cette profession qui n’est que le relais de la pensée dominante, de la pensée de cette même oligarchie qui tire les ficelles des 116 pantins du CIO. Comment expliquer autrement l’absence dans le "non-débat" d’éléments pourtant parfaitement objectifs comme :

    1) Les derniers JO en France datent de 1992, et avant de 1968. Les derniers en GB datent de 1948. Où est "l’acharnement" ?

    2) Entre une dépense publique (sous-)estimée de 15 milliards à Londres où tout est à construire et une de 4 milliards à Paris, sur quel candidat les voix officieuses (mais bien réelles) des entreprises si "essentielles à la réussite des JO" se portent-elles ?

    Ces éléments d’information valent pour la décision de 2005. Mais comment croire que la logique était différente en 2001 quand Pékin a été désigné ? Ceux qui pilotent les JO sont les entreprises influentes : chercher à les atteindre ne peut pas passer par une action symbolique type "brassard vert pour les participants" comme je l’ai entendu à la radio, car si les jeux ont lieu, les recettes liées à la TV rentreront, Coca aura agrandi son marché, General Electric sera payé pour ses équipements construits... L’objectif financier sera atteint. Les résultats bons ou mauvais, les sportifs cleans ou dopés, les droits de l’homme respectés ou bafoués... Tout cela sera indifférent à l’oligarchie actionnariale et aux membres du CIO car pour eux, ce qui est "essentiel à la réussite des JO", c’est la réussite des entreprises qui les arrosent.


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