@Eric F Vous avez raison de souligner le fait que le nombre de tâches solaires qui est un indicateur de l’activité solaire (mais un indicateur seulement) ne suit pas parfaitement les augmentations de tempéraures observées depuis plus de 50ans ; cela laisse entendre que d’autres paramètres doivent aussi intervenir. Dans le théorie de Svenmark, la formation des nuages serait favoriser à la fois par un vent solaire faible et une forte densité du rayonnement cosmique. La diminution de l’albédo terrestre semble avoir débuter il y a un bonne trentaine d’années : il serait donc intéressant de combiner les paramètres — intensité du vent solaire — densité du rayonnement cosmique sur cette période. Je ne sais pas si ce travail à été fait ! Par ailleurs, je ne connais pas le nombre de tâches solaires relevé en 2023 et 2024 ou l’activité solaire a été très forte (observation des aurores boréales à des latitudes anormalement basses). Cette information serait pertinente pour évaluer plus précisément le lien entre nombre de tâches solaires et intensité du vent solalre. Il y aurait sans doute pas mal d’études à engager dans ce sens. Il peut aussi y avoir intervention de paramètres encore non identifiés. Ainsi dans le cas des nuages de Neptune par exemple si le cycle de leur apparition suit bien les cycles solaires, il semble que les maximums des deux phénomènes soient décalés, ce qui laisse supposer un mécanisme plus complexe sous-jacent. A suivre donc !
@Pierrot Vous avez bien résumé la situation. Par contre au delà des problèmes divers et variés liés à la conception de l’EPR et à sa construction chaotique dans la continuité du sabotage organisé depuis plus de 30 ans, le fait de faire semblant de construire un programme nucléaire en oubliant d’y inclure la quatrième génération rend hélas ce programme incohérent dès le départ. Cela avait bien été prévu dans le premier programme français avec des personnes scientifiques et politiques qui à l’époque avait du talent et une vision. Hélas, c’était avant !
@Phil Oui, le réchauffement des autres planètes du systèmes solaire fait partie des autres évènements convergents que j’évoque. Sans entrer dans les détails qui nous entrainerait un peu loin dans la discussion, je peux citer : — La diminution de l’albédo terrestre observée depuis plus de 40 ans et principalement attribuée à un diminution constante de la couverture nuageuse terrestre avec comme conséquence immédiate une augmentation globale de l’énergie solaire qui atteint la surface planètaire — Le réchauffement en profondeur des températures océaniques qui ne peut être du qu’à l’augmentation de l’intensité solaire reçue dans les courtes longueurs d’ondes (bleu et UV) et qui découle directement de la diminution de la couverture nuageuse. La confirmation du lien entre activité solaire et formation nuageuse, liée principalement à l’action des vents solaires qui protégent partiellement la terre du rayonnement cosmique, via l’observation des nuages de Neptune. Cette observation est fortement corrélée à l’activité solaire et donc probablement au vent solaire. Ces derniers points, en accord avec les théories du danois Henrik Svenmark, sont complètement ignorés par le GIEC qui considèrent l’action du soleil comme négligeable en ne prenant en compte que les variations de l’intensité lumineuse du soleil, effectivement faibles, et en écartant les autres effets associés à l’activité solaire (vent solaire, modification du spectre solaire en privilégiant les ondes UV...) D’autres publications récentes confirment la corrélation entre activité solaire et évolution des températures terrestres, bien meilleure que celle obtenue avec l’augmentation de la concentration atmosphétrique de gaz carbonique. Bref, il semble bien que le CO2 soit effectivement victime d’une grave erreur judiciaire. Mais la question reste ouverte : à qui profite le crime ? probablement à de nombreux acteurs dont les intérêts convergent à travers cet honteux montage qui, il faut le dire, marche plutôt bien. mais qui risque de nous coûter très cher !
@olivier cabanel Vous n’avez pas du rencontrer le meilleur des membres essentiels d’EDF car en France cela fait bientôt plus de 50 ans que le nucléaire assure plus de 70% de la production d’électricité malgré le sabotage en règle dont il a été l’objet et malgré l’arrêt du développement de la quatrième génération qui constitue une faute grave commencée par l’arrêt de Superphénix pour des raisons purement électorales à la fin des années 90 et plus récemment par l’arrêt du programme ASTRID. Donc je peux comprendre de ne pas avoir envie de parier 60% de son patrimoine sur cette technologie parce que les saboteurs ont largement infiltré une partie des organismes concernés, mais pas parce qu’on ignore si elle fonctionne ; l’histoire récente le démontre assez clairement en France. Ceci dit, votre remarque, hélas, ne me rassure pas sur l’avenir d’EDF si elle dépend de membre essentiel de cet accabit.