Je ne sais pas à quoi tournent demian et l’auteur d’origine, que je ne citerais plus pour ne pas lui faire plus de pub, mais ils ne sont sûrement pas tournés vers la même direction qu’ln pour voir de quel coté le soleil se lève, alors, s’il vous plait, reprenons nos esprits, et continuez à agiter vos neuronnes sur la liste plutôt qu’ici, je regrette fortement d’avoir participé à ce fil (je le savais déjà avant de poster), je crois qu’il faut être dans un état second, ou très fatigué, en sortie de boite... En gros, un soir, si je n’ai rien à dire en plusieurs phrases, vous me retrouverez ici.
Là pas comprit...
Défense ou attaque ?
Me l’imprime et le lirais plus tard...
Il est l’heure de coucher Orphée et de calmer les esprits sous surveillance.
Mais, au fait...
Pourquoi réagir à de telles ignominies, d’un sois-disant diplômé en culture mathématique et psychologique ? Car moi aussi, sur ma carte, j’aurais pu étaler tout un tas de diplômes sans pour autant donner de la valeur à mes écrits. Rayons ouvertement toute lecture d’un Méric de Saint-Cyr sans aucune valeur, il voulait simplement se faire connaître, sans aller jusqu’au boycott, cela lui ferait sans doute trop plaisir d’être le porte-drapeau de sa connerie, oublions son existence et continuons notre parcours libre, individuellement plus intéressant, communautairement plus constructif.
Brezh
La seule utopie remarquable dans votre publication est celle de votre rapprochement à la réalité d’entreprise...
Ne disposant pas de votre verve, mon commentaire sera, lui, concis, mais non sans fondements de réussites d’entreprises sous LL, qu’elles soient prestataires ou clientes.
Ayant la possibilité, de par ma fonction, d’imposer une architecture informatique à plusieurs entreprises, je me suis dessiné deux toiles différentes pour deux entreprises avec exactement le même profil, dans les mêmes locaux, et surtout pour le même investissement de départ.
Ce dernier point est très important, car dans un cas, le coût des licences n’inclut pas l’assistance et le déplacement d’un tech en cas de panne, dans l’autre, c’est « presque » induit.
Le résultat au bout de 8 mois d’exploitation, l’entreprise sous M$ s’est habituée à la présence d’un tech payant dans leurs locaux, l’autre, sous LL, ne connaît même pas le numéro d’assistance de l’entreprise prestataire.
Et là, je ne parle que du système et du réseau...
Salutations.
Brezh
PS : même si cela ne me dérange pas, je ne me ballade pas nu en public et bouffe de la viande de temps en temps, pourtant, c’est le LL que je proposes pour ne pas trahir la confiance des entreprises qui s’ouvrent à la source et ne se ferment pas sur d’anciennes croyances du type « je paye des licences pour la qualité ».