Jésus CRIF et la caravane passe, car Dieu donné, Diable
repris.
Les craignent-en-Dieu sont de retour ; la grande nuit de l’obscurantisme va
s’abattre à nouveau sur le monde. Bug, Kafir
Quand on faim on mange, une fois le ventre plein on discute.
Peut-être qu’un jour, je ne vous le souhaite pas, serez vous dans une geôle
immonde et vous vous régalerez d’un supplément de cafard ou de rat bien gras.
Ce jour là il faudra qu’on pense à vous reparler de ce papier, un peu trop à
charge pour être honnête et vous demander si vous êtes toujours aussi
affirmatif.
Comment vous me trouvez excessif ? Et vous-même ?
Dois-je relever toutes les inepties que vous débitez ?
Les intégristes du végétarisme m’emmerdent comme les autres
et vous si vous étiez né « esquimau » le terme est anachronique, vous
boufferiez du phoque toute l’année et il
est inutile de faire cuire le foie il faut le manger cru pour en extraire les
vitamines et ça se digérer très bien.
Encore un article qui enfonce des portes ouvertes au milieu d’un grand courant d’air de communication phatique dans un français médiocre, et vous enseignez ? J
« Crise identitaire » en effet, commencez par parler français correctement. Première phrase : « mon ressenti citoyen » 1- Ressenti n’est pas un nom commun mais un participé passé, c’est un expression piquée au Québéc mais le mot n’est pas dans le dictionnaire, un ressenti n’existe pas, c’est un usage pasé chez nous. 2 -Citoyen est un nom commun et non un adjectif. Tout est citoyen et durable aujourd’hui sauf les gens.
L’extrémisme en France Kézako ?
Humour et politique. Coluche disait : j’arrêrerai de faire de la politique quand les hommes politiques arrêteront de nous faire rire. Les politiques ne nous font plus rire mais ils ne font toujours pas de politique alors les comiques reviennent faire de la politque. Bug
Ce n’est avec ce genre de connerie que vous ferez avancer le schmilblick, ça vole aussi haut que dans le poulailler d’acajou de l’Assemblé nationale où des députés bourrés caquettent et se gourent de bouton au moment du vote pour repousser l’augmentation des pensions de retraite et de nous expliquer a posteriori, que ce n’est pas facile et qu’ils étaient fatigués ... hips, tu m’en diras tant..
Ça ressemble à la façon dont les politiques et les journalistes traitent le FN en criant c’est mal, c’est mal et en sautant comme des cabris sur leur siège de parlementaire mais sans jamais affronter le loup de face en parlant de la forme et non du fond.