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Carl

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  • Carl 28 mai 2009 23:58

    Je ne saurais que vous inviter à retourner à l’école, et mieux écouter cette fois les cours qui y sont dispensés. Vous faites l’amalgame entre dérive et mutation, et au vu de cette énormité, vous me permettrez de douter d’une quelconque connaissance en biologie, du moins au-delà du niveau de la cinquième. Et même si les choses sont plus complexes que je ne les ai schématisées pour faire court, elles vont dans ce sens.
    Si vous aviez fait montre d’un peu plus de perspicacité, vous auriez vite compris qu’il fût fort improbable que je m’aventurasse sur un sujet que je ne maîtrisasse pas.

    Je conclurai ce fil en vous laissant à votre tour « dériver » avec vos élucubrations « quantitativistes » et cette idéologie raciste que vous incarnez, née des siècles passés et qui a vu au fur et à mesure de l’avancée des connaissances scientifiques ses fondements démontés les uns après les autres jusqu’à n’être plus évoqués aujourd’hui que par quelques vestiges séniles qui doivent assurément faire partis de vos maîtres à penser.

    Carl



  • Carl 28 mai 2009 13:49

    Vous l’aurez compris, le « post » précédant était destiné à nico333 et frédéric lyon.



  • Carl 28 mai 2009 13:31

    Monsieur, Messieurs

    Au regard des difficultés de compréhension que vous rencontrez indéniablement avec la langue française dans son expression la plus simple, et bien quelle vous soit, je suppose, « maternelle », il me semble inutile de poursuivre avec vous une quelconque discussion sur des thèmes qui appellent une réflexion sophistiquée, et qui nécessiterait au préalable une maîtrise et une compréhension autrement supérieures de la langue et de ses concepts que celles dont vous semblez jouir à ce jour.
    Au-delà de vous et de quelques autres, chacun aura en effet compris que l’emploi du verbe pouvoir (« peuvent » dans le texte) exprime une possibilité et non une généralité, et que par conséquent, le texte ne saurait souffrir d’une quelconque contradiction.
    Aussi je ne m’étonne point, des mauvaises interprétations que vous pourriez faire d’une lecture scientifique, n’en maîtrisant incontestablement ni la forme ni le fond, et m’amuse de votre interprétation fantasmatique des travaux de Luigi Luca Cavalli-Sforza.

    Quant à vous, Fréderic, vous semblez souffrir de la même déficience. Vous aussi, parlez de choses que, ni vous ne comprenez, ni vous ne maîtrisez. Et je veux pour preuve votre interprétation de la « dérive génétique ». La dérive génétique touche les groupes qui se trouvent isolés et mène à terme à leur disparition. Le métissage assure au contraire la pérennité de l’espèce. N’en vous déplaise, ce sont des faits scientifiques incontestables et scientifiquement incontestés.

    Bien qu’Agoravox n’offre pas toujours des échanges émanant d’une réflexion de qualité, le niveau y est déjà trop relevé pour que vous puissiez répandre vos fantasmes et inepties sans que quelqu’un prenne la peine de vous mettre face à vos limites.

    Carl



  • Carl 28 mai 2009 00:55

    Comme le note l’historien George L. Mosse, le racisme est à l’origine d’un système symbolique de mythes et de symboles qui, s’emparant de la question des origines, des difficultés et des triomphes de la race, dessine une trajectoire qui tend à se confondre avec le récit national en construction. Le stéréotype national physique, qui s’élabore au XIXe siècle prend, en Allemagne par exemple, une apparence raciale (l’Allemand blond…).
    L’usage du mythe aryen, rapidement récupéré en Allemagne par le nationalisme de droite, illustre bien les effets de cette concurrence nationale. Si pour le français Vacher de Lapouge la race aryenne a une signification strictement zoologique, elle prend avec Houston Chamberlain un tournant nationaliste. La « race germanique » devient, sous la plume de cet essayiste d’origine britannique évoluant dans les milieux wagnériens, la plus pure des branches de la race aryenne. Outre des Juifs, la doctrine aryaniste permet aux Allemands de se distinguer des Latins, et en particulier des Français, considérés comme inférieurs car métissés.
    Pour faire face à ce glissement de l’usage de l’aryanisme, défavorable à la nation française, Renan refuse, comme nombre de ses compatriotes, notamment républicains, le concept de « race pure » et défend la thèse du métissage historique des peuples européens. Le refus de l’aryanisme se présente comme le refus du jeu de l’exacerbation des rivalités nationales. Le sentiment anti-allemand influencera néanmoins en France les études de psychologie des peuples et de leurs caractères nationaux. S’il place la race aryenne au sommet de la hiérarchie des races, Hippolyte Taine distingue en son sein les « races germaniques » des races latine et hellénique. Les premières, « inclinées vers l’ivrognerie et la grosse nourriture » par la fréquentation des forêts humides et froides, s’opposent aux secondes dont l’environnement favorable a permis le développement d’une culture raffinée.

    La revue Science a publié en février 2008 l’étude génomique la plus complète effectuée à ce jour. Les chercheurs ont comparé des fragment d’ADN de 650 000 nucléotides chez 938 individus appartenant à 51 ethnies. La conclusion de ces travaux est qu’il existe sept groupes biologiques parmi les hommes : les Africains subsahariens, les Européens, les habitants du Moyen-Orient, les Asiatiques de l’Est, les Asiatiques de l’Ouest, les Océaniens et les Indiens d’Amérique. Howard Cann, chercheur de la fondation Jean-Dausset, cosignataire, précise : « Tous les hommes descendent d’une même population d’Afrique noire, qui s’est scindée en sept branches au fur et à mesure du départ de petits groupes dits fondateurs. Leurs descendants se sont retrouvés isolés par des barrières géographiques (montagnes, océans…), favorisant ainsi une légère divergence génétique. » En approfondissant encore leur étude, les généticiens ont pu déterminer des sous-groupes : huit en Europe et quatre au Moyen-Orient. Mais avec moins de certitude. Cependant, les convergences génétiques qui rassemblent les hommes au sein de chacun des sept groupes ne concernent qu’un relativement faible nombre de nucléotides. Plus clairement, deux hommes appartenant à un même groupe peuvent être très différents en ce qui concerne les très nombreux nucléotides non pris en compte pour établir la classification. Si différents même que deux membres d’un même groupe peuvent être plus éloignés, globalement, que deux individus appartenant à deux groupes distincts (Européens et Africains, par exemple).
    En outre, la portion du génome humain relative à l’expression des caractères morphologiques, en l’occurrence le gène codant la production de la mélanine, ne représente qu’une infime partie de l’ensemble de ce génome (trois gènes communs aux divers vertébrés sur les 36 000 du génome). Cf. à ce sujet, l’article Couleur de la peau.
    D’autre part, selon de nombreux généticiens dont Luigi Luca Cavalli-Sforza, les descendants d’individus d’origine différente, ou même de « races » profondément différentes, semblent plus robustes et pour assurer une fertilité et une santé normales, il faut éviter les mariages entre parents proches donc favoriser le métissage.

    Chacun se reconnaitra...

    Source :http://fr.wikipedia.org/wiki/Nationalisme_racial

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