Christophe

@ricoxy

On retrouve aussi les mêmes approches chez Jean-Paul Marat : Derrière les beaux mots se cachent souvent les plus viles des intentions (Les chaines de l’esclavage, 1792), une approche (déjà) de la vie vie politique britannique.

Pas la peine de vous égosiller avec l’abruti Pemile, il est bête, inculte, sans aucune connaissance mais l’ouvre sans arrêt en agressant ses interlocuteurs. Sa vie doit être pourrie pour passer son temps à cela.

@pemile

Qui vous permet de me tutoyer, je n’ai pas élevé les porcs avec un imbécile que je sache, si ?

Vous avez écrit qu’il y avait 1 million de morts non ? Les seuls à avoir beaucoup perdu en vie humaine sont les ukrainiens d’où la déduction logique ... mais c’est vrai que la logique vous échappe toujours.

Quant aux ukrainiens, c’est la responsabilité de leur chef d’état. Je suis spectateur de ce conflit et les âneries annoncées de part et d’autre me font en effet marrer.

@Maître Yoda

L’interventionnisme est très ancien puisque l’Ukraine est le théâtre de la lutte américaine contre l’URSS dès 1945, raison pour laquelle ils ont sauvé des centaines de milliers de nazis ukrainiens (idem pour les croates), ont travesti l’histoire de ces pays pour correspondre à leurs objectifs, ont financés la réimplantation de cette diaspora ukrainienne de culture nazie en 1991 et comme les russes sont parvenus à contrecarrer cette influence ont finalement financé et armé des groupes néonazis (principalement Pravy Sektor) pour réaliser leur coup d’état et mettre en place un gouvernement néonazi anti russe (pas moins de 9 ministres nommés par Nuland).

A cela s’ajoute la proximité avec la Russie, cela ne pouvait que conduire à un conflit armé, même je considère que c’est une erreur les USA n’ont pas laissé d’autre choix à la Russie, soit vous pliez, soit vous vous battez.

Mais c’est vrai que comme le dit Pemile, après près d’un million de morts ukrainiens il serait temps que ça cesse. 

@Enki

Si vous ne parlez pas l’araméen, ni l’hébreu, ni le grec, comment savez-vous ce que JC a dit ?

Là vous touchez un point sensible. Lorsque j’ai étudié les philosophes grecs de l’antiquité, il m’a fallu lire des ouvrages assez particuliers, la page de gauche était une traduction dans nos langues d’aujourd’hui (français ou anglais), celle de droite le texte original en grec ancien. Ce n’est pas pour se faire plaisir, entendons nous bien mais la traduction du grec est avant tout une question d’interprétation et parfois la traduction communément admise n’est pas la seule même parfois très différente de ce que nous, lecteurs, pouvons comprendre.