• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

D.VDA

D.VDA

Consultant Indépendant, je suis un professionnel du Web depuis sept ans. J’ai une formation scientifique et artistique ainsi qu’un parcours 100% autodidacte qui font de moi quelqu’un de curieux et passionné, mais aussi critique et sceptique. Heureusement, je suis d’une nature très aimable.
En tenant un blog - dvda.fr -je renoue avec l’écriture du temps de mes jeunes espérances littéraires... plus sérieusement, c’est la nécessité qui s’impose, évidente, de prendre en mains ma présence sur Internet, de franchir le cap de la responsabilisation et de la publication en nom propre (et non plus sous les pseudos d’hier).
La notion d’identité numérique nécessite de chacun qu’il prenne en main son information, au présent et dans le temps. Si je suis la somme de mes actes, alors il manque l’être social, ce qui reste lorsque je me soustrais...

Tableau de bord

  • Premier article le 04/01/2007
  • Modérateur depuis le 02/02/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 9 371
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • D.VDA D.VDA 13 août 2007 11:47

    L’intérêt de faire de la France un leader dans la fibre optique se traduit par une industrie française à la pointe qui se développera et vendra ses services hors du territoire. La dynamique des Télécoms si nous ne sommes pas de simples suiveurs du reste du monde nous profitera.

    C’est la raison du succès des BIG ONES américaines qui se sont imposées dans le Monde, mais l’exemple de Nokia en Suède nous prouve qu’avec 9 millions d’habitants on peut être un numéro 1 mondial.

    C’est réellement de ça qu’il s’agit en France. Ca s’appelle l’innovation. Suivre tout le monde de loin pour voir si Internet n’est pas une mode finalement, c’est la démarche radicalement inverse de l’innovation, qui consiste à investir et à prendre des risques.



  • D.VDA D.VDA 28 février 2007 14:37

    Oula vite avant que le lait déborde smiley, vous avez raison, c’est vrai que j’ai été un peu angélique sur ce coup, donc petite mise au point :

    - Je n’ai aucun lien avec l’agence dixxit.
    - C’est sur Abondance, l’excellent site d’Olivier Andrieu, que j’ai eu l’info. Je ne le connais pas personnellement, c’est une figure du référencement naturel en France, vous pourrez le vérifier.
    - Je ne cite pas mon agence Internet perso, pas même sur mon blog, sur je mettrai prochainement un lien, mais pour le moment je n’ai vraiment rien à vendre... smiley
    - Si j’avais quelque chose à vendre je ne verrai pas le mal, tant que la couleur aura été annoncée.
    - Les enjeux du référencement sur Internet sont colossaux et je ne saurais vous en convaincre qu’au cas par cas.
    - Enfin je suis d’accord en me relisant qu’il y a un peu de charabia : Mea culpa.

    Voilà merci.



  • D.VDA D.VDA 20 janvier 2007 18:44

    Allons,qui vous dit que je n’ai pas d’oeillères ? Et que je ne suis pas un espion, un propagandiste à la solde des (très méchants) Américains ? smiley

    Ne déformez pas mon propos, qui est, je l’ai titré : « La fin de notre système de retraites ». Je ne viens donc pas avec des propositions aussi originales que complètement fantastiques.

    Si ce n’est un titre accrocheur, je ne vends pas de paillettes, rien de sensationnel, la vérité normale et triste, qu’il faut répéter.

    Je le répète donc : « c’est nous qui n’aurons pas de retraite, en espérant que nous remettrons le système debout pour que nos enfants la redécouvrent, peut-être. » car ils auraient alors deux générations à nourrir, sisi, faites vos calculs : naissances en 1950, 1975, 2000, 2025.

    En 2035, dans 28 ans, un salarié de 35 ans aura des parents de 60 ans et des grand-parents de 85 ans. 15 ans plus tard en 2050 il aura 50 ans, ses aïeux de 75 et 100 ans bénéficieront toujours des solutions miracle dont vous allez nous instruire.

    Je suis désolé d’avoir à aller si loin, de faire de l’anticipation. Mais si vous vous proposez courageusement de résoudre ce gigantesque défit « avec les mêmes moyens » alors écoutez j’attends de vous lire.

    Par contre quelques règles pour ce nouveau jeu : pas d’établissement d’un régime communiste, pas d’envahissement de la Chine, pas de vente en viager de la France, et pas d’intervention ni divine, ni extra-terrestre. smiley



  • D.VDA D.VDA 20 janvier 2007 10:33

    C’était le titre du sujet de l’émission Rue des Entrepreneurs de Didier Adès et Dominique Dambert sur France Inter ce matin (9h-10h).

    Il y a un lien pour ré-écouter l’émission :

    http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/ruedesentrepreneurs/

    Cette émission sur les Fonds d’investissement m’amène à quelques réflexions sur le problème des retraites.

    S’il faut favoriser le développement par l’investissement pour que la santé de nos entreprises et notre économie permette nos dépenses, s’il faut réguler afin de donner les (petits) réglages nécessaires pour que la machine ne s’emballe pas, il faudra bien aussi cesser de mettre dos à dos le concept de salarié et d’actionnaire.

    En tant que contribuables nous sommes déjà en quelque sorte actionnaires de notre société, sur un mode solidaire nécessaire.

    Comme salarié on attendra de notre entreprise qu’elle se porte bien pour pouvoir espérer améliorer notre situation. En tant que retraité, on attendra des salariés des entreprises qui cotisent à notre caisse qu’ils cotisent bien, pour avoir la garantie de percevoir les pensions tant espérées durant 20 à 30 ans, voire 40.

    Le problème de la quadrature des données démographiques qu’on connait tous fait que les retraités sont devenus aujourd’hui l’actionnariat (social) de notre économie.

    Nous savons tous que ce ne sera pas possible, cela va mal se passer, le mur arrive.

    Le recours aux Fonds de pension, tant pour nos retraités que pour nos salariés dans des entreprises en manque d’investissement, est-il toujours un mot aussi diabolique ? Je précise que j’ai été un salarié lambda plan socialisé de la bulle Internet en 2001, à ce titre je ne pense vraiment pas être un « capitaliste fou ».

    La question de la participation des salariés à la production de valeur ne se décrètant pas, il faut qu’elle s’organise. C’est normalement la tache principale des syndicats que de défendre ses intérêts. Il faut faire le constat de leur échec.



  • D.VDA D.VDA 19 janvier 2007 13:45

    C’est malheureusement ce qui est en train de se passer. Les 5 à 10 ans de décalage avant d’entrer sur le marché de l’emploi sont un accompte net - hors intérêts. Un échange « jeunesse fauchée et insouciance » contre « maturité à pouvoir d’achat et libération ».


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv