Diane-Annabelle

« ..à taux usuriers.. »

Généralement, on dit d’un usurier qu’il prête à des taux usuraires..
Paronymie, quand tu nous tiens..

babayaya : « ouais bin moi je dis qu’il aurait du mettre une capote, et hop envolées les preuves »

Cette réflexion me fait penser, puisque nous en sommes aux élucubrations en tous genres, à ceci :
qu’est-ce qui empêche d’imaginer que la femme de chambre n’a pas récupéré, dans la poubelle qu’elle venait vider, l’éventuel préservatif utilisé puis négligemment jeté quelques heures plus tôt lors de la visite nocturne avérée d’une « dame », pour en répandre le contenu sur ses propres vêtements et ainsi constituer une « preuve », qui est pour l’instant l’un des seuls éléments, apparemment irréfutable (ADN oblige), qu’on puisse opposer à la défense de DSK ?
Ca ne serait pas la première fois qu’un tel scénario aurait été élaboré...

PS : non, je n’écris pas (encore) de romans, mais j’y songe.

@ l’auteur
Je vous apprécie habituellement, et cet article est plaisant si l’on sait le lire pour ce qu’il est.
Mais de grâce, ne laissez pas passer des bourdes orthographiques comme -entre autres- celle-ci :
« le mouvement du coup est continue ».
Ce n’est pas de votre niveau.
J’aurais préféré lire « le mouvement du cou est continu », à moins qu’un sens caché refuse de se révéler à mes yeux...

« ..manifester son appartenance à une croyance, fusse en arborant un symbole réactionnaire et sexiste ».

Il faudra dire à Madame Fourest -ou à son transcripteur- qu’on écrit dans ce cas « fût-ce », qui n’est qu’une contraction de « que ce fût », conjugué évidemment à la troisième personne du singulier du subjonctif imparfait ; alors que « fusse » est la forme correspondant à la première personne du singulier de ce même temps, qui n’a rien à faire ici.

PS : vous avez le droit de commenter par OSEF..

« Après avoir remplacé la tête de Juppé par un bouquet de jasmin, je poursuis ma politique éditoriale d’assainissement des images.... »

Merci Ariane !