« Et puis l’avenir de la Terre », ça ne veut rien dire.
Quelle tartuferie ça aussi, la Terre s’en sortirait très bien sans nous comme elle l’a déjà fait avec 5 extinctions d’espèces... C’est nos fesses qu’il faut sauver, pas la Terre ! C’est pour nous et nos enfants qu’il faut une prise de conscience écologique, pas pour « sauver la Terre ».
Article superficiel qui omet de préciser plusieurs points :
1) Europe écologie est un parti d’éco-tartufes qui roulent en 4x4 tout en mangeant des yaourths bio pour se donner bonne conscience
2) Le film Home a été financé par le groupe PPR entre autres
3) Europe écologie va devoir faire un retour d’ascenceur, c’est d’ailleurs le sens de l’appel du pied de YAB ce matin, pour ceux qui ne l’avaient pas compris.
On peut donc dire que l’écologie de ce parti est sérieusement compromise.
Et vive la tartuferie, après tout c’est elle qui gouverne le pays.
Vous participez là (peut être sans le savoir ?) à une campagne médiatique de déstabilisation de l’Europe par les Etats-Unis (et la City).
Vous n’êtes pas sans savoir que la crise provoque quelques petits grincements entre le monde anglo-saxon et le reste du monde.
Voici donc un petit rappel :
1)
Tensions transatlantiques croissantes à la veille du
G20 : Exemple d’une tentative de déstabilisation du système bancaire de
l’UE et de l’Euro par Wall Street et la City Si ce sujet nous paraît pertinent c’est qu’il représente selon nous une
tentative délibérée de la part de Wall Street et de la City (2) de
faire croire à une fracture de l’UE et d’instiller l’idée d’un risque «
mortel » pesant sur la zone Euro, en relayant sans discontinuer de
fausses informations sur le « risque bancaire venu d’Europe de l’Est »
et en tentant de stigmatiser une zone Euro « frileuse » face aux
mesures « volontaristes » américaines ou britanniques. L’un des
objectifs est également de tenter de détourner l’attention
internationale de l’aggravation des problèmes financiers à New-York et
Londres, tout en affaiblissant la position européenne à la veille du
sommet du G20.
L’idée est brillante : reprendre un
thème déjà bien connu des opinions publiques, assurant ainsi une
adhésion facile au nouveau contenu ; y intégrer une ou deux analogies
frappantes pour assurer une large reprise dans les médias et sur
l’Internet (faites « crise bancaire europe est » sur Google, le
résultat est éloquent) ; puis utiliser le concours de quelques hommes
et organisations liges influentes toujours disponibles pour un mensonge
supplémentaire.
"la nouvelle étape que franchit la Fed montre bien que, sans le
reconnaître, elle commence à se rendre compte qu’elle fait face à un
problème d’insolvabilité généralisée aux Etats-Unis (et dans les pays
connexes comme le Royaume-Uni (1)), affectant l’état fédéral, les états
fédérés, les entreprises, les banques et les ménages."