Florian LeBaroudeur

Un naufrage...

à l’image des soldats Austro-Russes qui se noient dans une reconstitution bâclée de la bataille d’Austerlitz.

Une Joséphine rabaissée en grosse putain.

Une liberté très exagéré par rapport aux références historiques.

Bien sûr on connait la difficulté de faire un film sur 20 ans de la vie de Napoléon en 2h37, ce que personne n’a réussi à faire.

Mais si c’est pour faire n’importe quoi avec un tel budget, autant ne pas le faire.

Même le film français à petit budget de 1960 nommé Austerlitz est d’un calibre au dessus.

Un « pays » qui va devenir un des plus dangereux du monde

C’est pour ça que certains sionistes ont en tète de délocaliser la terre promise au sud de l’Ukraine (la seconde Judée) une fois que la guerre aura vidé démographiquement cette région.

Pourtant, qui a défini la normalité ?

Voilà une question qui a du sens.

La normalité n’existe pas, l’être humain considère comme normal tout ce qu’il lui a été inculqué par la société sans comprendre que cette dite « normalité » n’est que le produit d’un besoin de repères et de certitudes dans un monde ou il est nécessaire pour l’homme de s’imprégner d’un cadre rassurant et protecteur faute de référence suprême non humaine aisément définissable au dessus de lui. 

Encore une fois les progressistes vont crier au loup sans s’attarder sur les causes de leurs échecs.

C’est pourtant eux qui étaient en position de gouverner, qui ont eu leur chance et qui l’ont perdu.

Et ils vont encore dire qu’il est hors de question de revoir leur copie malgré les désaveux successifs dont ils font l’objet.

ça commence à devenir lassant ces postures de grands gamins névrosés.

On n’a pas affaire à du personnel incompétent, on a affaire à des exécutants trés compétents mais compétents pour vendre leurs services aux intérets de donneurs d’ordres et de leurs dessins personnels schizophrènes contre un peu de pouvoir et une somme d’argent.

La plupart des personnes occupant les postes clés dans les gouvernements, dans l’administration, dans les entreprises, dans les médias, dans l’armée, dans les associations etc...ne sont même pas au fait des véritables intentions de leurs mentors car ils se satisfont d’une promotion qui leur permet de se considérer comme important et comme les défenseurs du bien sur terre en recevant des tappes sur l’épaule en retour de leur servitude volontaire.

Le bordel politique, économique et géopolitique qui s’étale depuis au moins 15 ans n’est pas le résultat d’un plan malchavelique bien conçue mais la manifestation de l’ivresse échapatoire des élites, prisent au piège du hors sol et coincée entre l’enclume d’une continuité compromise par les conséquences de son propre déréglement et le marteau d’un atterrisage en douceur impossible.