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G.BORDES

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  • G.BORDES 1er décembre 2010 09:28

    Cher Paul,

    Vous avancez l’hypothèse selon laquelle ces « fuites » seraient orchestrées pour nuire au président Obama et son administration.
    Mais ont ils vraimment besoin de ça pour être discridités ?

    Depuis le 11 septembre 2001, les failles des services secrets américains ne sont plus un secret. Ce jour là, le monde a découvert qu’ils n’étaient pas si omniscients et qu’alors même que de lourds indices (ou avertissements) leur étaient adressés, ils n’ont pas été en mesure d’arréter les attaques. (je n’entre volontairement pas dans le débat attaque ou conspiration, c’est un autre sujet.)

    Pour justifier en 2003 leur intervention en Irak, ces mêmes services secrets ont « crus » voir des armes de destruction massive. On sait aujourd’hui ce qu’il en est.

    Bref, je ne pense pas que la véritable motivation soit forcément de discriditer la nouvelle administration américaine, celle ci montrant d’elle même ses limites depuis l’arrivée au pouvoir d’Obama (Gestion de la crise discutée, difficultés à controler les ardeurs d’Israel, « aplaventrisme » face à la Corée du Nord. (Je doute même de la sincérité des « manoeuvres militaires » opérées conjointement par la Corée du sud et les américains) etc.)

    Mon hypothèse serait plutôt celle dans laquelle les Etats unis, s’ils ne sont pas forcément la source directe de ces « fuites » les contrôlent. Elles permettraient ainsi d’évacuer un peu de pression de la « cocotte minute » afin d’estomper l’impacte d’une fuite réelle et non maitrisée conduisant à des révélations cette fois bien plus « inédites » et aux conséquences plus dommageables pour les Etats Unis.

    Dans cette hypothèse, n’étons pas, cher Paul, en présence du leurre de l’information donnée déguisée en information extorquée ?



  • G.BORDES 23 novembre 2010 17:26

    Cher Paul,

    J’ai mon avis sur la question mais les meilleurs arguments ne saurraient faire le poids face à l’emprunte douloureuse d’une facheuse expérience.



  • G.BORDES 23 novembre 2010 15:52

    Cher Paul,

    Vous critiquez/constatez le fait que le Droit ne gouverne pas réellement les relations aujourd’hui, pourtant vous y voyez une application de l’adage « Trop de droit, trop d’injustice » (pardonnez si la traduction est approximative mais n’étant pas latiniste vous avez appuyé là où ça fait mal).

    Moi j’y vois là une contradiction. Et même si cet avis m’est personnel, je pense que nous sommes plutot dans une société qui manque de droit stricte. On perd du temps et de l’energie dans une « diahrée législative » mais au final trop de personnes se prévalant d’une liberté qu’ils pensent sans limites s’en vont abuser de cette liberté et porter atteinte à des personnes, morales comme dans le cas de ces salariés qui ont manqué à leur obligation de loyauté et se sont fait licencier sur ce fondement, ou physiques comme dans le cas de certains commentateurs s’en prenant gratuitement à l’auteur d’un article ou à d’autre commentateur sur un forum. Et les deux exemples cités ne sont évidemment pas exhaustifs.

    Quant à la société dont je rêve, elle relève d’une conception personnelle de l’utopie et est donc de fait irréalisable. Je vous rejoins sur le fait qu’une société ne peut reposer sur la délation à fortiori lorsqu’elle est anonyme.

    La question de droit n’était pas tant de savoir si les propos étaient diffamatoires mais s’ils portaient atteinte à l’obligation de loyauté des salariés. On peut en effet penser que par les critiques non mesurées dans un espace public, les salariés n’éxécutaient pas leur contrat de bonne foi, ces propos pouvant nuire à l’entreprise sans pour autant être directement contraires à la loi.
    Quant au fait que la diffamation n’ait pas été soulevé, ce peut être expliqué par le fait qu’elle conduit à des poursuites pénales et que dans le cadre des relations de travail, il est rare que le salarié se voit pénalement poursuivi sauf les cas ou le comportement infractionnel du salarié peut atténuer voire éxonérer la responsabilité de l’employeur.

    Quant à Facebook, je persiste et revendique la mauvaise foi dont je fais preuve lorsqu’on parle de « réseaux sociaux » qui détruisent plus les relations sociales que ce qu’ils les créent.



  • G.BORDES 23 novembre 2010 13:12

    Cher Paul,

    N’ayant pas vu le film, je ne m’attarderai que sur le dernier paragraphe de votre article et plus précisément sur ce licenciement qui a tant fait parler de lui.

    Je ne partage pas votre vision des choses à ce sujet : Les salariés n’ont pas été « épiés » puisqu’ils se sont exprimés sur un espace public. (Sur le fondement qu’à la différence d’un message privé, le mur été accessible à une pluralité de récepteur et ne rentrait donc pas dans le cadre de la sphère privée)

    La solution de droit aurrait été la même si les salariés avaient tenu ces propos au bistrot du coin et qu’ils avaient été enregistrés, la preuve en droit du travail étant libre (c’est à l’appréciation souveraine du juge qu’elle sera ou non retenue).

    Quant à la délation de leur « ami », il n’y a là rien d’illégale puisque la délation n’est pas interdite et même largement utilisée par les pouvoirs publics (je pense d’ailleurs que vous en savez plus que moi sur ce sujet).

    Si je me laissai aller à de la mauvaise foi, je pourrais même aller jusqu’à dire que je me réjoui de la décision du conseil de prud’hommes (petite correction à votre article : on ne dit pas « tribunal » de prud’hommes) de confirmer la cause réelle et sérieuse du licenciement, en espérant qu’elle fasse prendre conscience aux gens que le fait d’être derriere son écran ne signifie pas être dispensé de certaines obligations, de loyauté, de non atteinte à la dignité, de non expression de propos diffamatoires, etc.
    Ce cas d’espèce en est une illustration et certains commentateurs de cet espace seraient bien inspirés d’en prendre note.



  • G.BORDES 13 novembre 2010 20:41

    Il y a, cher Paul, dans votre manière de voir les choses une certaine noblesse.

    Néanmoins, les interventions d’une médiocrité gratuite dont on peut être les témoins me font parfois me demander si on ne se trouve pas sur le forum « actus » de la page d’accueil SFR (les commentaires suivant chaque article valent leur pesant de cacahuètes). C’est une des raisons qui ont fait que pendant un temps je me suis détourné de cet espace, ne souhaitant pas subir les commentaires de certains hurluberlus qui n’ont que la violence de leur propos pour compenser leurs carences.

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