Le problème c’est que l’économisme en tant que variations de commentaires sur une courbe c’est assomant et on a tendance à tout leur abandonner jusqu’à un certain point pourqu’ils arrêtent de nous enquiquiner.
J’aime bien Asselineau mais sa place est à la tête de l’UMP, en rapport avec son étoffe et pour le plus grand bien à tout deux. Il semble honnête, LUI, puisque dans sa carrière de haut fonctionnaire il ne s’est pas enrichi démesurement ce qui suffit à le rendre sympathique à beaucoup. En même temps comme l’UMP et l’Union Européenne ne font qu’un, je reste perplexe sur la portée de son engagement, enfin l’analyse de Podemos n’est pas d’Asselineau mais d’un militant. Cela ne l’empêche pas de souffler de l’air frais dans le landernau politique.
Bien sur que Pablo Iglesias l’a dit, et même sinon, il le pense tout les soirs avant de se coucher comme tout gauchiste espagnol qui se respecte et pour qui le temps s’est arrété un jour de 1939. C’est sûr que je n’ai jamais vu la droite espagnole aussi inquiète mais moins de la vigueur de Podemos que de la faiblesse de Rajoy. On l’accuse courament dans les journaux affidés d’être le pire président de la démocratie.
Il y a plus de rejetons de fascistes au PSOE qu’au PP, comme Manuel Chavez président de la junte andalouse, et ce Wyoming s’est bien gardé de le critiquer quand l’affaire des ERE a éclaté sous Zapatero.
Il y a plus de rejetons de fascistes au PSOE qu’au PP, comme Manuel Chavez président de la junte andalouse, et ce Wyoming s’est bien gardé de le critiquer quand l’affaire des ERE a éclaté sous Zapatero.