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Gyges

Né le 13/11/83
M'intéresse à tout ce qui est intéressant, c'est à dire à à peu près tout.

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Derniers commentaires



  • Gyges 22 septembre 2011 01:12

    Merci Fergus pour cette réponse polie et argumentée et merci surtout d’accepter ne serait que d’envisager cette hypothèse, et d’y réfléchir.

    Je comprends vos arguments, et je n’ai pas la vérité dans cette histoire, Néanmoins, en ce qui me concerne, l’hypothèse d’un piège pour l’écarter et du Fmi et de la de la présidence française, me paraît la seule apte à rendre compte de l’ensemble de ce qui s’est passé.

    Dans tous les cas cependant, des points restent obscurs pour moi dans cette histoire.



  • Gyges 21 septembre 2011 01:20

    Mais oui, tu as droit à ton plaisir..... ! Mais non, « y a pas qu’eux qui ont le droit »....

    Certes l’envie n’est pas un délit, mais c’est tout de même une faute morale.

    Mais puisque ça ne risque rien...

    envie, nom féminin
    Sens 1 Sentiment de frustration face au bonheur dautrui ou à ses avantages.
    Chagrin et haine qu’on éprouve du bonheur, des avantages, des succès d’autrui.



  • Gyges 21 septembre 2011 01:11

    DSK aurait-il signé son arrêt de mort en voulant s’affranchir du dollar ?
     http://www.facebook.com/note.php?no...

     Le FMi était prêt au remplacement du Dollar

    http://www.agoravox.fr/actualites/i...



    Les DTS m’ont tué

    http://www.lepost.fr/article/2011/0...

    Affaire DSK : Et si le complot venait des USA ?

    http://www.ideo-sphere.eu/index.php...


    Christine Lagarde marque sa différence



  • Gyges 21 septembre 2011 01:08

    Fuite ?

    Dès ses premières déclarations à la presse, le porte-parole du NYPD, Paul Browne, a largement accrédité la thèse de la « fuite » précipitée de DSK, circonstance aggravante qui corrobore le sentiment de culpabilité du fautif. Il a notamment révélé que, dans sa précipitation, le patron du FMI aurait oublié son portable et plusieurs « effets personnels » dans la suite louée pour une nuit.

    Mais DSK a lui-même téléphoné à l’hôtel pour faire récupérer son portable à 15 h 40. Difficile de comprendre un tel geste en cas de fuite. C’est cet appel de l’intéressé qui a d’ailleurs permis à la police de localiser le « fugitif » et de le faire cueillir sur le tarmac de l’aéroport de JFK, par des fonctionnaires du Port Authority, dix minutes seulement avant le décollage.

    Alors que la presse américaine évoquait, au début, une « facilité de vol » permettant au patron du FMI d’emprunter un avion d’Air France à la dernière minute, il semble établi que son billet sur le vol AF23 à destination de Paris ait été réservé bien à l’avance.

    Les policiers ont assuré disposer de vidéos sur les quelles DSK avait « l’air très pressé ». Mais on ne sait pas quelles caméras de sécurité de l’hôtel ont filmé son départ. Certains employés du Sofitel, qui étaient présents lors du check-out de DSK, ont, eux, affirmé « qu’il avait l’air normal et qu’ils n’avaient remarqué rien de particulier ».

    Selon la police new-yorkaise, Dominique Strauss-Kahn aurait quitté précipitamment l’hôtel Sofitel où il était descendu, en abandonnant son téléphone portable et ses effets personnels.

    Mais après avoir retracé l’emploi du temps du président du FMI, la police a annoncé que le billet d’avion Air France New-York-Paris était prévu depuis des semaines. D’autant qu’à peine arrivé à l’aéroport, il se serait rendu compte de l’oubli d’un téléphone portable et aurait donc appelé la réception de l’hôtel pour s’assurer que son téléphone lui soit retourné. C’est apparemment cet appel-là qui aurait permis aux autorités américaines de le localiser et de l’intercepter. Pourquoi aurait-il passé ce coup de fil, a indiqué « Les Échos ». Cette explication irait donc à l’encontre des premières thèses faisant état de « fuite ».

    Les premières informations faisaient aussi état de l’abandon par DSK d’un téléphone portable, fait qui étayait aisément la théorie d’un départ précipité voire d’une fuite. Or, on a appris ce matin que DSK n’avait pas du tout « oublié » son téléphone mais bel et bien perdu dans l’hôtel. Ce serait même lui qui aurait appelé l’hôtel de l’aéroport pour savoir si l’équipe de nettoyage ne l’avait pas retrouvé dans sa chambre. « Dominique Strauss-Kahn aurait été vu quittant son hôtel newyorkais très calmement, et non pas dans la précipitation, comme indiqué précédemment », rapporte un témoin du Sofitel au quotidien 20 minutes.




  • Gyges 21 septembre 2011 01:01

    Une tentative d’enfumage qui serait assez plaisante si elle avait la moindre chance d’exister, ce qui semble bien improbable. DSK n’a d’ailleurs pas avancé le moindre élément susceptible de donner un début de corps à cette hypothèse.
    Cela m’amène à penser qu’il s’agit là d’une pitoyable manipulation de l’opinion visant à « blanchir » Strauss Kahn dans l’esprit de ces naïfs de Français.

    Allons Fergus, ! C’est de la méthode Coué ou quoi ??

    Et le SOFITEL ??

    Un peu de lecture vous sera peut être d’une quelconque utilité :

    Cyrus VANCE Jr 

    Cyrus Vance Jr est le procureur de New-York. Dans le scandale impliquant Dominique Strauss-Kahn, c’est l’homme qui doit prouver la culpabilité de Dominique Strauss Kahn.


    Cyrus Vance Jr a un lien avec la famille Sarkozy ! Selon des informations publiées sur Mediapart, il existerait un lien entre Nicolas Sarkozy et l’affaire DSK.

    Le père de Cyrus Vance Jr fut ministre sous le président Carter de 1977 à 1980. Son collègue de travail n’était autre que Franck Georges Wisner… l’homme qui a épousé Christine de Ganay en 1977, la seconde femme de… Pal Sarkozy  ! Elle fut pendant trois ans la belle-mère de Nicolas Sarkozy. « Celui-ci continue de lui rendre visite aux Etats-Unis. Le couple Wisner-Ganay a eu plusieurs enfants, dont David Wisner, porte-parole et correspondant de la campagne présidentielle de Sarkozy aux Etats-Unis« .

    http://liesidotorg.wordpress.com/20...

    Nicolas Sarkozy très proche du chef du NYPD, cette police soupçonnée de connivence avec les tabloïds américains.
    Des liens très étroits unissent Nicolas Sarkozy et le commissaire qui dirige la police de New-York, Raymond Kelly. Ce dernier très populaire dans cette ville, est à ce poste depuis très longtemps ce qui lui a permis de tisser des liens très solides avec ses homologues français.Selon Le Nouvel Obs, il choisit comme consultant en matière de terrorisme, le criminologue Alain Bauer qui est à l’époque le conseiller en matière de sécurité de Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur. De ce fait, Ray et Nicolas deviennent très proches.
    Mais il faut également se poser la question sur la promiscuité des proches de Nicolas Sarkozy avec le procureur Cyrus Vance. Le site du journal Le Point, nous révèle que Jean-Claude Marin, le procureur de Paris ami du président, s’est entretenu pendant trois quarts d’heure avec le procureur new-yorkais qui dirige l’enquête sur l’affaire de DSK, et cela le 16 mai, soit deux jours après l’arrestation de l’ex-directeur du FMI.

    Que se sont-ils dit ? Selon le haut magistrat français, l’affaire DSK n’aurait pas été évoquée, et nie avoir transmis aux autorités françaises des éléments du dossier. Mais on est dans l’incapacité de vérifier sa version des faits. Et on peut se demander si l’Élysée n’a pas été informé dans ses moindres détails de cette affaire, tout de suite après l’arrestation de DSK, ce qui peut-être très embarrassant pour le chef de l’État.

    Sources : Le Nouvel Obs, Le Nouvel Obs, Le Nouvel Obs, Le Point, Wikipédia,
    http://www.lepost.fr/article/2011/0...

    Leonard LEVITT est journaliste, spécialiste de la police new-yorkaise, le NYPD. Dans un article paru surson blog et sur le Huffington Post, le journaliste américain s’interroge sur les fuites qui ont marqué le début de l’affaire DSK, notamment celles qui voyaient des morceaux du rapport de police atterrir sur un site d’information français marqué à droite, atlantico.fr. Il y voit une explication : les liens entre le commissaire principal de la police de New York, Ray Kelly et le président français, Nicolas Sarkozy. « Kelly et son épouse Veronica sont francophiles », affirme Levitt, qui rappelle que cela est notamment dû aux voyages réguliers que Kelly fait à destination de la France, où siège Interpol. 

    Et ça n’est pas tout.
     Levitt en a encore sous la semelle. Il précise encore que l’été dernier, Nicolas Sarkozy a invité Kelly à Paris pour y assister à la remise de la Légion d’honneur à Alain Bauer, le célèbre criminologue français et expert en sécurité nationale. Pourquoi Bauer ? Parce que selon le NY Post, Bauer a permis à des détectives du NYPD d’être affectés en permanence à Paris dans le cadre de la lutte antiterroriste. Un petit monde que ce petit monde là...


    Enfin, et c’est là sans doute où le papier de Levitt est instructif,
     le journaliste américain formule une remarque relative au comportement de Kelly concernant les fuites à charge contre DSK et qui ont exaspéré ses avocats, fuites qui proviendraient du NYPD et dont certaines ont fini par inonder la France via l’Atlantique.

    Dans les premières vingt-quatre heures suivant l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn, le NYPD avait estimé que les faits s’étaient déroulés « aux environs de 13 heures  ». Ensuite, les enquêteurs ont revu leur version initiale pour assurer que l’agression présumée avait eu lieu « vers midi ». L’heure est déterminante, puisqu’aujourd’hui toutes les parties s’accordent sur l’heure de départ de Dominique Strauss-Kahn du Sofitel. Dans le document remis hier à la justice pour demander sa remise en liberté sous caution, ses avocats précisent en effet que leur client a fait son « check out »à 12h28 samedi, ce qui est également l’heure avancée par les procureurs et confirmée par le Sofitel.

    La victime présumée de DSK s’est présentée samedi devant la suite 2806 du Sofitel de Manhattan et a constaté que "la porte était entrouverte", a expliqué une source policière. 
    La jeune femme "a poussé la porte, un employé était en train de débarrasser le petit-déjeuner dans la suite et il lui a dit qu’elle pouvait nettoyer la chambre", a poursuivi la source proche du Sofitel. 
    L’accusatrice de l’ancien patron du FMI est ensuite « revenue dans la chambre avec son chariot et l’autre employé est parti », a ajouté cette source. 

    Selon le récit des enquêteurs américains, la victime présumée était entrée samedi dans la suite 2806, croyant qu’elle était vide.

    Un « groom » entre dans la chambre, enlève le plateau du petit déjeuner et dit à la jeune femme qu’elle peut entrer dans la chambre et effectuer son travail car il n’y a plus personne ?? Mais, me semble-t-il, on fait tout cela après être assuré par la Direction de l’Hôtel que la chambre est libre et que le nettoyage peut être réalisé pour un autre client ?

    Pourquoi la femme de ménage n’a t’ elle remarqué aucun signe de la présence du client dans la chambre en entrant, non plus ?

    De qui la femme de ménage a-t-elle reçu l’ordre de venir dans la chambre de Dsk ? Y est - elle allée d’elle-même ?

    Ce point de détail interpelle également Katline : « Le jour où vous rendez votre chambre, la femme de ménage qui sait que vous allez la rendre n’est-elle pas censée faire le ménage après que les clefs soient rendues ?

    Le Figaro révèle que la photo de DSK était affichée dans le local où se changent les femmes de chambre afin d’indiquer la présence d’un client VIP.

    Le SOFITEL nous dit qu’ils ne peuvent donner l’heure à laquelle la femme de chambre est entrée dans la chambre de DSK car elle n’a pas utilisé son PASS. L’homme qui se trouvait à l’intérieur pour débarrasser le déjeuner avait laissé la porte de la suite de DSK entrouverte. (ET donc qu’il n’y était plus à l’arrivée de la femme de ménage ??)
    Mais alors pourquoi, le SOFITEL ne nous donne pas l’heure à laquelle cet homme dans la chambre de DSK a utilisé son PASS ? Source Le Figaro

    Il faut noter un détail qui n’en est peut-être pas un. L’hôtel où le fait-divers s’est déroulé est un Sofitel. Or la chaîne Sofitel est une filiale du groupe Accor, dont l’actionnaire de référence est le fonds Colony, dont le représentant en Europe (pour Colony Capital), Sébastien Bazin, est très proche de Nicolas Sarkozy. Bien sûr, il peut s’agir d’une coïncidence, mais la rapidité avec laquelle l’info est parvenue à un militant UMP laisse rêveur.

    Autre « anomalie » pour certains observateurs de la chronique judiciaire : le luxe de détails fournis par les services du NYPD à la presse américaine, plusieurs heures avant le prononcé de l’inculpation de DSK dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 h 15 du matin. De fait, le porte-parole du NYPD a évoqué son inculpation pour « délit sexuel, tentative de viol et séquestration de personne », avant minuit. Il a aussi largement évoqué les circonstances précises de l’agression, en rapportant les propos de l’employée sur DSK, sortant « complètement nu de la salle de bain pour l’agresser par-derrière »...

    Certaines informations, citant un rapport rédigé par le consulat général de France à New York, avaient alors affirmé que des « traces de griffures » avaient été observées sur le torse de l’ancien ministre socialiste. Ce qui n’a pas été confirmé.

    Le Daily News au contraire rapporte que des sources affirment que les examens médicaux n’ont montré ni traces de griffures, ni traces de coups.-
    L’examen des vêtements de Dominique Strauss-Kahn : Interrogée par le Nouvel Observateur, Soizic Le Guiner, experte en empreintes génétiques près la cour d’appel de Rennes, affirme "S’il était nu, comme le dit celle qui l’accuse, je ne vois pas l’intérêt, a priori, d’analyser ses vêtement"

    Glissements horaires.

    Dans les premières vingt-quatre heures suivant l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn, le NYPD avait estimé que les faits s’étaient déroulés « aux environs de 13 heures  ». Ensuite, les enquêteurs ont revu leur version initiale pour assurer que l’agression présumée avait eu lieu « vers midi ». L’heure est déterminante, puisqu’aujourd’hui toutes les parties s’accordent sur l’heure de départ de Dominique Strauss-Kahn du Sofitel. Dans le document remis hier à la justice pour demander sa remise en liberté sous caution, ses avocats précisent en effet que leur client a fait son « check out »à 12h28 samedi, ce qui est également l’heure avancée par les procureurs et confirmée par le Sofitel.

    Selon les premières déclarations du porte-parole du NYPD, Paul Browne, basées sur la plainte de la femme de chambre, l’agression sexuelle aurait eu lieu à 13 heures (heure locale) le samedi, soit trois heures quarante minutes avant son interpellation. Le directeur général de l’hôtel Sofitel, un des premiers à avoir recueilli le témoignage de l’employée, a précisé, pour sa part, aux « Echos », dès samedi soir, que les faits avaient eu lieu à midi. De son côté, l’entourage proche de DSK indiquait, dimanche, à Paris, que celui-ci aurait quitté l’hôtel à 11 h 45 pour rejoindre sa fille Camille vers 12 h 15 et déjeuner avec elle, avant de prendre un taxi directement pour l’aéroport JFK... Selon le « Wall Street Journal », DSK aurait, toutefois, fait son « check out » du Sofitel à 12 h 28.

    Un emploi du temps confus. Dominique Strauss-Kahn a quitté l’hôtel, sans passer par la réception, à 12h29 ou 12h30 samedi, selon les caméras de surveillance de l’hôtel. La femme de chambre, elle, est entrée peu après midi. Mais l’alerte n’a été reçue au 911, le numéro d’urgence de la police, qu’à 13h32, selon une source proche du dossier.
    WASHINGTON, 28 juin (Reuters) - Le directeur général du Fonds monétaire international a dit lundi qu’il faudrait réfléchir à placer le yuan dans le panier de devises qui permet de définir le système des droits de tirage spéciaux (DTS).
    Dominique Strauss-Kahn a dit à des journalistes qu’il pensait qu’il subirait de plus en plus de pressions pour inclure le yuan dans ce panier, tout en précisant que les fluctuations de cette monnaie devaient d’abord être libéralisées.


    Dans l’Expansion du 27 Mai :

    Le patron du FMI était interrogé au cours d’une conférence de presse sur la pertinence de renforcer des instruments monétaires tels que les droits de tirage spéciaux (DTS), créés en 1969 sur la base des quatre principales monnaies (dollar, euro, yen et livre sterling), pour compléter les réserves officielles existantes des pays membres de l’organisme international.
    "Ce serait utile que le DTS ait un plus grand rôle, mais cela ne signifie pas que je voie le rôle du dollar se réduire dans un futur proche« , a dit M. Straus-Kahn. »Comme l’économie américaine est l’économie dominante, le dollar va continuer à jouer un rôle principal« , selon lui. »Mais il se peut que d’autres monnaies prennent, peu à peu, davantage d’importance", qu’elles soient souveraines ou fassent partie d’un panier de devises comme le DTS, a ajouté le directeur général du FMI.
    Le ministre brésilien des Finances, Guido Mantega, a dit pour sa part être favorable à des alternatives pour faciliter les transactions internationales, et a proposé que le DTS soit convertible non seulement en ses quatre monnaies de base, mais également en real et en yuan chinois.
    Le FMI avait appelé début mai les gouvernements de la planète à réduire leur dépendance au dollar, fragilisant le système monétaire international déjà éprouvé par la crise, en introduisant d’autres monnaies comme l’euro ou le yen dans leurs réserves de change, ou en faisant un usage plus répandu des droits de tirages spéciaux (DTS), considérés comme plus stables.

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