Je tiens à préciser
que je ne cherche aucune explication ou instigation pseudo religieuse dans mes
spéculations théoriques, qu’il n’y ait pas d’ambiguïté sur ce sujet.
Comment tenter de
concevoir (ou de trouver une explication) l’énigme de comportements quantiques
que sont la dualité des ondes-particules (l’expérience des Fentes de Young, vidéo
démonstration ), ou l’intrication des particules (le paradoxe ERP ou du chat de
Schrödinger, Paradoxe_EPR,
pour faire simple, deux microparticules ayant la même origine peuvent être
séparées par l’univers entier, lorsqu’elle se déplace, l’autre se déplace de la
même façon).
Supposons que nous
soyons la résultante d’une sorte de projection d’un « dispositif
programmatique », ou d’un système monodimensionnel, la
« visualisation » d’un processus originel. Si bien que lorsqu’on
tente d’observer ou de mesurer un comportement d’ondes ou de particules, notre
observation atteindrait probablement les limites ce que ce
« programme » ou cette projection, est en mesure de nous renvoyer
comme résultat observable.
(Le bouddhisme, ne
dit-il pas que toutes les choses et tous les événements ne sont que les
manifestations d’une seule réalité unique sous différents masques, que nous
avons l’illusion de voir différentes choses. Je pense aussi au physicien
néerlandais Erik Verlinde, qui propose de voir la gravitation comme un
phénomène, une illusion holographique, et non une force fondamentale).
Afin de clarifier
l’idée que je tente d’émettre, je tente de proposer une comparaison plus imagée
à notre échelle.
Imaginons que nous
(êtres humains) concevions un programme informatique (appelons le « Prg1 ») dont la fonction est de
dessiner la trajectoire d’un point traversant l’écran d’un ordinateur.
Précisons maintenant que cet ordinateur est en fait équipé de deux écrans en
mode clonage (affichages identiques sur les 2 écrans) mais nous décidons de
n’utiliser qu’un seul écran pour l’instant.
L’algorithme de
notre programme est conçu en sorte qu’à chaque fois qu’il s’exécute, la
trajectoire du point qui est aléatoire, est très probablement différente que la
précédente.
Imaginons
maintenant que notre ordinateur soit conçu avec un tel niveau d’intelligence
artificiel et d’autonomie, qu’il conçoive seul un autre programme (appelons le
« Prg2 ») capable
d’entreprendre indépendamment la mise en service du second écran (cloné), et
d’observer les trajectoires des points issu du Prg1 sur les 2 écrans simultanément.
Les seuls éléments
dont dispose le programme « Prg2 »
comme concept d’expérimentation sont :
1.Que le programme « Prg 1 » doit générer et afficher la trajectoire d’un
point à chaque fois différente sur un écran,
2.Qu’il dispose de deux écrans, donc 2
possibilités distinctes permettant d’observer (mesurer) le résultat de ce
programme.
Intégrant le
principe que le « Prg1 » ne
devrait produire toujours qu’une trajectoire du point aléatoire et différente à
chaque résultat obtenu, le programme « Prg2 »
s’attend donc à observer (mesurer) que sur chacun des 2 écrans, les
trajectoires soient donc différentes.
Or lorsque nous
concepteurs, avons initialisé le programme « Prg1 », nous ne l’avions pas conçu pour que son algorithme
puisse produire deux scénarios différents. Nous l’avions limité à ne produire
qu’un seul résultat observable, n’anticipant pas que notre ordinateur
acquerrait suffisamment d’autonomie et d’intelligence pour être capable un jour
de pousser les investigations jusqu’à aller observer ce qui se passe au-delà du
périmètre dans lequel il a été envisagé.
Vous saisirez
certainement le parallèle que j’essaye d’établir entre quelqu’un effectuant des
mesures telles que celle de Fentes de Young, et l’ordinateur et ses programmes
« Prg1 » et « Prg2 ». :
§L’ordinateur correspond à notre univers
§Le programme « Prg1 » correspond au comportement des particules dans
l’expérience des Fentes de Young par exemple
§Et notre démarche initiative et autonome
d’observer (mesurer) la trajectoire de ces particules, c’est le programme
« Prg2 ».
Nous serions le
résultat d’un processus créateur de notre univers (certain l’appelleront
« Dieu » s’ils le souhaitent) dont les lois physiques sont autres que
celles dont nous disposons et connaissons, et reposeraient sur des fondements
plus « persistants ».
Supposons qu’il
pourrait exister une (mono) dimension où l’espace (3D) et le temps n’existe
pas, constituée d’un seul élément fondamental à l’origine des ondes-particules,
qui se ‘téléporterait’ simultanément (le temps n’existant pas dans sa
dimension) dans chacun des éléments (particules) élémentaires qui constituent
notre univers (particules que nous n’avons peut-être pas encore identifiées).
Cette unique particule jouerait une sorte de yin et yang, positif et négatif, matière anti
matière, etc. en fonction d’autres dimensions parcourues entre la sienne et la
notre.
L’expérience de la
gomme quantique à choix retardé, ou la possibilité de conditionner le
comportement dans le passé d’onde-particules, trouverait une réponse avec ce
postulat, de même que « Démon de Laplace » qui disait qu’ « Une
intelligence qui, à un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la
nature est animée et la situation respective des êtres qui la compose
embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de
l’univers et ceux du plus léger atome ; rien ne serait incertain pour
elle, et l’avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. »
Je tiens aussi à
préciser que je ne cherche aucune explication ou instigation pseudo religieuse
dans mes spéculations théoriques, qu’il n’y ait pas d’ambiguïté sur ce sujet.
Comment tenter de concevoir
(ou de trouver une explication) l’énigme de comportements quantiques que sont la
dualité des ondes-particules (l’expérience des Fentes de Young ou l’intrication
des particules (le paradoxe ERP ou du chat de Schrödinger).
Supposons que nous
soyons la résultante d’une sorte de projection d’un « dispositif programmatique »,
la « visualisation » d’un processus originel. Si bien que lorsqu’on
tente d’observer ou de mesurer un comportement d’ondes ou de particules, notre
observation atteindrait probablement les limites ce que ce « programme »
ou cette projection, est en mesure de nous renvoyer comme résultat observable.
(Le bouddhisme, ne
dit-il pas que toutes les choses et tous les événements ne sont que les
manifestations d’une seule réalité unique sous différents masques, que nous
avons l’illusion de voir différentes choses. Je pense aussi au physicien
néerlandais Erik Verlinde, qui propose de voir la gravitation comme un
phénomène, une illusion holographique, et non une force fondamentale).
Afin de clarifier
l’idée que je tente d’émettre, je tente de proposer une comparaison plus imagée
à notre échelle.
Imaginons que nous (êtres
humains) concevions un programme informatique (appelons le « Prg1 ») dont la fonction est de dessiner
la trajectoire d’un point traversant l’écran d’un ordinateur. Précisons maintenant
que cet ordinateur est en fait équipé de deux écrans en mode clonage (affichages
identiques sur les 2 écrans) mais nous décidons de n’utiliser qu’un seul écran
pour l’instant.
L’algorithme de
notre programme est conçu en sorte qu’à chaque fois qu’il s’exécute, la
trajectoire du point qui est aléatoire, est très probablement différente que la
précédente.
Imaginons maintenant
que notre ordinateur soit conçu avec un tel niveau d’intelligence artificiel et
d’autonomie, qu’il conçoive seul un autre programme (appelons le « Prg2 ») capable d’entreprendre indépendamment
la mise en service du second écran (cloné), et d’observer les trajectoires des
points issu du Prg1 sur les 2 écrans
simultanément.
Les seuls éléments dont
dispose le programme « Prg2 »
comme concept d’expérimentation sont :
1.Que
le programme « Prg 1 »
doit générer et afficher la trajectoire d’un point à chaque fois différente sur
un écran,
2.Qu’il
dispose de deux écrans, donc 2 possibilités distinctes permettant d’observer
(mesurer) le résultat de ce programme.
Intégrant le
principe que le « Prg1 » ne
devrait produire toujours qu’une trajectoire du point aléatoire et différente à
chaque résultat obtenu, le programme « Prg2 »
s’attend donc à observer (mesurer) que sur chacun des 2 écrans, les trajectoires
soient donc différentes.
Or lorsque nous concepteurs,
avons initialisé le programme « Prg1 »,
nous ne l’avions pas conçu pour que son algorithme puisse produire deux
scénarios différents. Nous l’avions limité à ne produire qu’un seul résultat
observable, n’anticipant pas que notre ordinateur acquerrait suffisamment
d’autonomie et d’intelligence pour être capable un jour de pousser les
investigations jusqu’à aller observer ce qui se passe au-delà du périmètre dans
lequel il a été envisagé.
Vous saisirez
certainement le parallèle que j’essaye d’établir entre quelqu’un effectuant des
mesures telles que celle de Fentes de Young, et l’ordinateur et ses programmes
« Prg1 » et « Prg2 ». :
§L’ordinateur correspond à notre univers
§Le programme « Prg1 » correspond au comportement des particules dans l’expérience
des Fentes de Young par exemple
§Et notre démarche initiative et autonome d’observer
(mesurer) la trajectoire de ces particules, c’est le programme « Prg2 ».
Il pourrait donc y
avoir une chose créatrice de notre univers (certain l’appelleront
« Dieu » s’ils le souhaitent) dont les lois physiques sont autres que
celles dont nous disposons, et reposeraient sur des fondements plus « persistants ».
2)L’interférence
de deux mondes
Peut-ont admettre qu’il pourrait exister une (mono)
dimension où l’espace (3D) et le temps n’existe pas, constitué d’un seul
élément fondamental à l’origine des ondes-particules, qui se ‘téléporterait’
simultanément (le temps n’existant pas dans sa dimension) dans chacun des
éléments (particules) élémentaires qui constituent notre univers (particules
que nous n’avons peut-être pas encore identifiées). Cette unique particule
jouerait une sorte de ying et yang, positif et négatif, matière anti matière,
etc. en fonction d’autres dimensions parcourues entre la sienne et la notre.