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jrev

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N’y a-t-il pas un mystère sur notre origine et la façon dont nous prenons conscience d’être dans ce monde ?
Qui m’a porté, qui a pris soin de moi dans mes premiers pas ?

Je suis né en 1931 et il m’a fallu un certain temps pour comprendre que le chemin de l’exclusion était aussi celui de la liberté.
D’autres n’ont pas eu la liberté de choisir et ont disparu dans le secret du pouvoir.
Combien de personnes disparues dans ce beau pays qui est le nôtre ?
et qui s’intéresse à leur histoire ?

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Derniers commentaires



  • jrev jrev 2 août 2008 17:50

    Bonjour à tous,
    Voilà 5 ans que j’ai mis la télé dans un placard, en attendant que l’envie de la regarder me revienne.
    Elle n’est pas revenue.
    Finalement je l’ai donnée.
    Mais ne devons-nous pas donner le meilleur de nous-mêmes et de ce que l’on possède ?
    Une explication à ce geste ?
    la télé nous cache la vérité, comme la pub qu’elle véhicule. Elle nous parle de ce qui ne nous intéresse pas et après l’avoir regardée nous ne pouvons plus agir  sur notre environnement



  • jrev jrev 14 mai 2008 20:50

    L’un des droits qui est souvent refusé aux personnes les plus pauvres est le droit de participer à la vie de la société, d’exprimer leur expérience et leur pensée de façon orale ou écrite.
    Or, être privé de participation, c’est être dans l’impossibilité d’exercer ses droits de citoyens. Pour la plupart des personnes qui doivent se battre contre la pauvreté, toute leur énergie est prise par la lutte quotidienne pour se nourrir, se loger, réussir à maintenir la vie de famille, se soigner, chercher du travail, etc. Quand on est confronté à toutes ces difficultés et que l’on a pas eu la chance de faire des études, il est difficile d’investir du temps et de l’énergie dans les lieux de concertation où l’on n’est souvent ni attendu, ni accueilli. Il n’est pas non plus facile de s’inscrire sur les listes électorales et d’exercer son droit de vote.
    Les personnes en grande pauvreté ne sont pas non plus consultées sur les questions qui les concernent directement. Elles sont bien souvent dépendantes des professionnels et de la bonne volonté des organisations caritatives.
    La participation des personnes en situation de pauvreté est une nécessité pour l’accès de tous aux droits de fondamentaux. Si la non participation des très pauvres est un déni de leurs droits fondamentaux, d’une façon encore plus grave, elle empêche nos sociétés d’aller vers un respect des droits fondamentaux de tous.
    Les très pauvres sont les premiers à lutter contre la pauvreté qu’ils subissent et les premiers acteurs des droits de l’homme au sein de leur communauté. Ils attendent donc que leurs efforts soient soutenus, que les actions de lutte contre la pauvreté se greffent sur ces efforts et soient bâties à partir de leurs expériences.
    Fondamentalement, la participation des personnes les plus pauvres est la condition pour que nos sociétés puissent aller au bout des idéaux qu’elles proclament : le respect de la dignité de tous, la démocratie, la justice,
    la paix.... Quels que soient leurs efforts et les progrès réalisés, nos sociétés peinent à vivre ces idéaux si importants pour tous.
    Si on se donne les moyens de rencontrer les personnes en grande pauvreté, de leur permettre d’exprimer leur compréhension du monde, de les écouter et d’entrer avec elles dans un réel dialogue, alors on a des chances de comprendre, avec elles, ce que nous devons faire ensemble pour que nos institutions soient vraiment au service de tous. Car les personnes très pauvres ne défendent pas une catégorie de citoyens, elles interrogent nos sociétés et chacun d’entre nous sur la manière dont nous traitons l’être humain. 

    ATD
     



  • jrev jrev 13 mai 2008 21:16

    Savez-vous combien coûte la fabrication d’un handicapé en 20 ou 30 ans d’hébergement aux frais de la sécurité sociale ?

    Prenez le prix d’une journée en Hopital Psy et multipliez par le temps passé...



  • jrev jrev 13 mai 2008 21:09

    Oui,

    Je dénonce en toute franchise, la fabrication d’handicapés et de zombies par des séjours à vie dans nos Hopitaux Psychiatriques sous le contrôle de médecins qui sont à la fois juges et parties.

    Les journalistes ne sont pas payés pour avoir une conscience personnelle et font donc silence sur ces aberrations qui nous coûtent très cher.

    Pascal Colombani et Philippe Bernardet ont écrit en vain sur le sujet car pratiquement personne ne les lit.

    Nous préférons ignorer les menaces qui pèsent sur toutes personnes fragilisés par la famille ou par la société



  • jrev jrev 30 avril 2008 08:51

    Les commentaires déplacés non plus

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