Gül, je me fous de la compassion quand elle vient d’êtres qui ne sont pas libres.
Je me fous de la compassion car je ne la cherche plus, j’ai eu ici sur ce site le plus bel exemple que vous n’étiez pas en mesure de l’offrir.
Alors vos singeries, vos simagrés, vos postures humanistes à la Olga qui ne prend jamais fait et cause, qui pond une phrase bien établie, mais sans rien choisir me font rire.
Vivre, être libre, c’est choisir et combattre, c’est refuser et lutter, c’est avoir le courage d’être.
Le reste ne sera inscrit que dans les back-up d’Internet.