Ingénieur Informatique des arts & métiers.
35 ans, dont 15 sur Oracle.
Support National - DBA Production informatique.
Habitant de la région parisienne.
Allergique aux apparitions du petit Nicolas.
Les tenant de la rectitude politique nous diront peut-être, à
l’instar du premier ministre Turc, que les nuances quand on parle
d’islam ne sont pas admises.
Lors de l’émission ARENA de Kanal D TV, le premier ministre de la
Turquie Erdogan a fait part de ses observations sur l’expression « islam modéré ».
Une expression souvent employée en Occident pour décrire AKP. Il ajoute
: « Ces descriptions sont très laides, elles sont blessantes et sont une
insulte à notre religion. Il n’y a pas d’islam modéré ou immodéré.
L’islam est l’islam et voilà tout ».
Une question demeure : Qu’est ce qui n’insulte pas l’« islam » ?
Il ne fait que du Buzz pour ne pas qu’on l’oublie C’est juste une diversion, pendant ce temps on ne parle pas de l’arabie saoudite, du Qatar ou d’israel.... CQFD
Aucun autre moyen que le renseignement ne peut empêcher un passage à l’acte de cette ampleur.
Comment se débarrasser de 1 000 tarés de la MAFIA au milieu d’une population de 66 millions ? Certainement pas en distribuant 66 millions d’armes à feu .....
Par contre, si ceux qui ont des armes (autorités) avaient le droit de s’en servir ; il en serait autrement. Je me rappelle d’un ministre de l’intérieur Français qui se proposait de terroriser les terroristes ... un certain Charles P.
Ou lala .... vous dites du mal d’une femme, vous devez être sexiste et macho .... Ou lala .... vous dites du mal d’une personne pro-sioniste ... vous êtes anti sémites .... Ca c’est fait (la routine) !!!
En théorie c’est le plus intelligent qui gagne, mais entre les moyen-ageux et les abrutis de ricains... L’issue est vraiment très incertaine.
L’avocat François Danglehant, connu notamment pour avoir défendu le polémiste
controversé Dieudonné, a été radié mardi 17/12 du barreau de
Seine-Saint-Denis.
Me Danglehant était convoqué mardi matin devant le conseil régional de
discipline pour des faits qui s’étaient produits le 7 mai lors d’une
audience de ce même conseil. Alors convoqué dans le cadre d’une autre
procédure, l’avocat avait contesté la légitimité du conseil, l’estimant
formé irrégulièrement, et dénoncé une procédure qu’il estimait
uniquement à charge. Il s’était saisi du dossier d’instruction et avait
refusé de le restituer, malgré les demandes du président d’audience,
François Detton.