Marc

Le logiciel propriétaire pille il le libre, ou est ce plutôt l’inverse ?

Vous vous avancez beaucoup sans rien démontrer.

"Quant à ceux qui rigolent parce que le logiciel libre ne représente qu’environ 1% de la base installée".

Non, cela ne me fait pas rire, c’est simplement un fait, et j’essaie de m’appuyer sur des sources sûres pour argumenter (en l’occurence, le Monde Informatique me paraît être une source sûre).

Et donc ce fait ne me fait pas rire mais l’a n’est pas l’important. L’important, c’est que ce fait soir vrai. De fait, l’open-source n’a absolument pas gagné la guerre qui l’oppose au logiciel propriétaire. Il n’y a pas à être pour ou contre, juste à constater un fait, qu’il nous fasse rire ou non.

Remarque sur l’aricle :

Sur le fond, l’article me donne l’impression d’un certain enthousiasme aveugle : l’auteur me semble rêver de vouloir démontrer que l’open source a gagné la guerre qui l’oppose au logiciel propriétaire, mais il perd de vue son objectif dès le titre de l’article. En efffet, le titre annonce que la guerre est gagnée, mais pas par qui.

Le dernier paragraphe commence par "Peu importe l’issue de ce combat,", traduisant là l’aveu d’impuissance de l’auteur à achever sa démonstration. J’aurais pu m’attendre aussi à un article s’appuyant sur de solides références, loin du sensationnel qui nous est offert ici.

Autre chose,

si l’APRIL se bat autant pour défendre le logiciel libre, c’est bisn que l’issue de la bataille n’est pas connue ( voir les news ici : http://april.org/ ).

Un petit détail encore : j’utilise Linux depuis déjà 8 ans.

Cdlt

« La guerre de l’Open Source est d’ores et déjà gagnée pour les logiciels » ?! En voilà un scoop ! Pourtant, selon le Monde Informatique, « Les logiciels et services propriétaires représentent encore 98,6% du marché total ». ( http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-libre-vs-proprietaire-le-syntec-tranche-pour-l-interoperabilite-23179.html ) C’est sans doute dommage mais c’est comme ça. J’estime cette raison suffisante pour vôter contre cet article.

Par ailleurs, le fait que bien souvent, des logiciels libres peuvent avantageusement remplacer les logiciels propriétaires ne justifie pas non plus, à lui seul, de crier victoire.