Bonjour, étant l’auteure du roman, je tiens à rectifier quelques erreurs. Mon héroïne s’appelle Tina, et non Tania. Je n’ai absolument pas changé de style, bien au contraire : je reste dans le même registre, en pensant l’avoir amélioré et enrichi au niveau du vocabulaire, des expressions et des métaphores. C’est ma trame que j’ai entièrement reprise et remaniée sous forme de scripts, je l’ai du reste écrit sur Facebook (d’où sans doute la confusion), en aucun cas le style ! Ensuite, les personnages sont, dans ce tome III, plus sympathiques et positifs que jamais : seule Ludivine reste à part. Quant aux hommes, ils montent en puissance avec les caractères bien trempés de Jean-Marc, Christophe, et enfin de Paul, le patriarche ! La description est plus que réaliste non pas de la « petite bourgeoisie » mais de la bourgeoisie huppée de La Baule. Quant aux « accélérations à la fin du livre pour donner envie d’acheter le tome IV », je trouve cette affirmation ( qui sous-entend qu’on s’ennuie jusqu’aux prétendues accélérations) parfaitement incongrue et injustifiée : visiblement, le rédacteur est totalement passé à côté de l’intérêt psychologique et émotionnel du roman, à tous les niveaux, suspense y compris. Pour résumer, je trouve cet article bâclé par rapport aux précédents que j’ai eus et bourré de réticences à peine dissimulées car ce troisième tome est, à mon sens, le plus réussi et le plus abouti de la trilogie. Aucune citation, aucune analyse en profondeur... Je suis très déçue.
Merci Danièle, oui, l’article de Jean-François Chalot résume bien le contenu du livre qui rencontre d’ores et déjà un succès non seulement auprès des acteurs de l’Education nationale mais auprès de diverses corporations. Vous pouvez vous le procurer sur sokrys.com Amitiés Sophie Massonnaud-Herbouiller