Bonjour, Je résume nécessairement, vous l’avez compris, j’ai conscience que c’est très incomplet, mais les grandes lignes y sont. Le repli qu’on appelle religionisme, se déroule au sein du système capitaliste mondialisé, ne pas voir cette évidence, rend tout à fait obsolète toute autre analyse marginale, pour faire simple ça serait voir le réel après s’être bourré de stupéfiant. Les peuples n’ont pas d’idées, les peuples n’ont que des besoins. L’islamisme est un rejeton du capitalisme, une fois proclamé, on se hâte de pomper le pétrole à bon compte et d’exploiter une masse d’esclaves ! Quand aux baratineurs de l’histoire, des Gaulois où autres fadaises, ne sont que les médiums chargés de répandre l’histoire officielle écrite par les dominants, sans pour autant, mettre sous cloche, l’exploitation des peuples qui a toujours suivie les guerres coloniales de rapines, du style compagnie des indes orientale, et autres conflits de l’opium, et entre le levant et le couchant ( clin d’oeil à notre historien en herbe).
De Robert Trenkle ...Ce
n’est pas un hasard si la parution de l’écrit incendiaire
paradigmatique de Samuel Huntington portant le titre programmatique du
« Choc des civilisations » se situa dans les premières années qui
suivirent l’effondrement dudit socialisme réel, qui constituait lui-même
un maillon central dans le procès de faillite de la modernisation de
rattrapage capitaliste (on peut d’ailleurs constater que sur le
territoire de l’ancienne Union Soviétique les religionnismes, tant
islamiste que russe-orthodoxe, se sont vivement épanouis)...
La suite passionnante Pourquoi l’islamisme ne peut pas être expliqué à partir de la religion, à lire sans tarder sur le lien suivant :
N’oublions jamais, que tout cela se déroule sous un fond de crise du capitalisme, qui exclu une masse sans cesse grandissante d’individus, que ce soit en occident ou en orient. Tous ces cataclysmes ont eu pour point de départ, une revendication des peuples qui subissent la crise du capitalisme de plein fouet, de vouloir une améliorations de leurs conditions de vie, on s’est appuyé sur ces revendications légitimes et on les a subverties, POUR LE PROFIT, quitte a instaurer un cataclysme général, pour ces populations qui paient un prix exorbitant, l’intérêt de quelques uns, le capitalisme qui manipule en arrière plan, pour chercher sans cesse une valorisation, quitte à exploser des pays entiers. On les a enfumés et on continue d’enfumer les peuples sur la terre entière. Alors il faut trouver un sens à son existence ici bas, chacun cherchera le repli identitaire, et expliquera la nature humaine à partir de ce qui se déroule sous son nez, Etre gouverné quel que soit le type de hiérarchie, spirituelle ou temporelle, c’est être c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré,
réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié,
censuré, commandé,. C’est, à chaque opération, à chaque transaction, à
chaque mouvement, être noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé,
coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, apostillé, admonesté,
empêché, réformé, redressé, corrigé. C’est, sous prétexte d’utilité
publique et au nom de l’intérêt général, être mis à contribution,
exercé, rançonné, pressuré, monopolisé, concussionné, mystifié, volé. » P J Proudhon. Toute domination est une infâmie, à bas l’Etat à bas l’argent. Quand on sera arrivé à ce point de conclusion, on aura fait un pas de géant pour l’humanité toute entière
@Robert Bibeau Nous avons le même point de vue sur le sujet. Ce qui nous amène à essayer d’entrevoir, qu’une des solutions c’est produire selon les besoins, « logement, nourriture, santé etc », ou sous forme redistributive, pour dépasser la structure marchande, qui nous aliène, cela ne peut advenir sans le passage obligé de la lutte. L’abolition de l’économie, dans sa forme la plus dégradante l’exploitation du travail vivant, point critique car seul producteur de valeur, par rapport au travail mort (la robotisation), même si ici où là il y a encore des cooptations de richesse, la masse globale de valeur elle, baisse drastiquement. Par contre le système est en cours d’effondrement, cela se remarque notamment dans le chaos des rapports sociaux totalement dégradés et un chômage endémique, que le système ne peut plus faire baisser, impuissant qu’il est car totalement has been.
Bonjour, "Ici précisément, le contrôle que les banquiers exercent sur l’argent (le
capital monétarisé, le capital financier) leur permet de s’emparer
d’une partie de la valeur créée dans la sphère de la production
industrielle"... C’est dans ce paragraphe, que toute l’implication du crédit est complètement oubliée, en effet, le crédit permet au système capitaliste, de de faire un saut qualitatif, ce n’est pas la richesse de la production cooptée par les marchés, prise dans le circuit spéculatif qui permet la survie du système, mais bien plutôt le crédit, richesse fictive, qui permet de tenir tout le système.
Suite... Sauf à mettre derrière chaque travailleur un agent du NKVD,
vouloir planifier une production, par travail social, c’est également
très sujet à caution, sans contrainte point de production. Cela renvoie à mon premier propos, produire selon les besoins FONDAMENTAUX, le reste sera donné en surcroît.