Il n’y a pas de prochain, il n’y a qu’une situation sociale voulue par le premier peuple de la bible pour abattre les fils des évangiles, avec l’aide des idiots utiles du Coran.
Mais quand ces derniers prendront la parole, les premiers fileront vers Tel Aviv.
Voilà bien un discours de mémère, qui a peur pour on ne sait quoi.
Le climat est tellement métaphysique que c’en est pratique pour oblitérer certaines exigences plus concrètes : pourquoi ma génération de copines n’a pas fait d’enfants mais accueille des myriades de bantous et peuls par milliers ?
Pour lui torcher les fesses et lui tâter le fion tant qu’on peut ?