• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

PAPILLON BLEU

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 3 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • PAPILLON BLEU 29 novembre 2011 00:22

    Bonsoir,
    Nous avons batit notre société sur un aspect économique qui consiste à créer de la pénurie pour obtenir la richesse. Ainsi, dans une société où tout le monde semble individualiste, l’interet particulier triomphe sur celui de la collectivité. Nous avons créé un système qui fait l’apologie de la pénurie et qui permet à certain de jouir de la richesse dans l’abondance au détriment des pauvres qui vivent dans la pénuire. C’est notre choix de société !
    Il suffit de changer de paradigme... Nous avons accès à l’abondance et popurtant nous optons pour la pénurie. Nous pouvons décider que chacun puisse avoir accès à l’abondance. C’est ce qu’explique les Droits de l’homme, par la bienveillances des uns par rapports aux autres.
    Nous entretenons tous l’illusion que nous réussirons un jour à une répartition juste des richesses. Si nous ouvrons nos yeux, nous ppouvons voir alors la possibilité d’une juste répartition des ressources de productions, financières et humaines. L’abondance se situe dans les ressources, la richessese fonde sur la rareté.
    La rareté créé l’avidité et donc le pouvoir. L’abondance créé le partage et donc la bienveillance. C’est une question de choix, de conscience, de responsabilité !
    Souvent j’entend parler de solidarité. Nous croyons que la solidarité est une belle valeur humaine ! Oui, c’est une valeur que se partage les pauvres, jamais les riches. La solidarité est le partage de la pénurie. Je préfère partager la bienveillance qui donne naissance à l’abondance. Personne ne manque de rien dans l’abondance. Si nous avions tout en abondance et en permanence, nous n’aurions alors plus besoin de tésauriser quoi que se soit, parce que superflu. Et le superflu est le luxe. A quoi cela peut-il me servir d’avoir 100 voitures, alors que tous les jours je peux utiliser celle-ci et demain celle-là ? La collection est un passe temps pour compenser ses propres peurs.

    Et si nous parvenons à comprendre celà, alors les relations humaines deveinnent plus saines et justes, naturellement, sans conflits, sans peurs ! Et quand la peur disparait, nait la liberté. Oui la liberté nait dans l’abondance, jamais dans la pénurie.....

    Alors, que choississons nous réellement dans notre quotidien, ici et maintenant ?

    Papillon Bleu



  • PAPILLON BLEU 26 septembre 2009 11:10

    Comment des univers quantiques peuvent-ils former un univers astronomique ? Comment l’infiniment petit peut-il être la brique de l’infiniment grand ? Comment l’indéterminisme peut il engendré le déterminisme comme semble le dire la loi, celle du hasard et de la nécessité ? A elle seule, peut-elle expliquer comment la matière devient une force, et comment une force peut devenir de la matière ? La théorie du big bang et celle du darwinisme réunit sous la bannière de la sélection naturelle font l’apologie de la loi du plus fort au détriment de l’intelligence. La loi du plus fort gouverne donc notre humanité est la conduit inexorablement au chaos, et cette simple observation me fait dire que ne cela ne peut être la réponse. L’usage de la force ne peut expliquer l’inutilité de la beauté et de l’amour. De ce fait, l’homme fait dire n’importe quoi à la science, mais aussi à la religion. Un des plus vieux symbole du monde, mais aussi des plus mal compris peut nous amener à cheminer sur une autre voie en nous donnant un indice… La voie du milieu, mais de quel milieu parle-t-on ? Dans cette figure qui tente de relier les deux éléments d’une dualité, d’une même réalité, pour nous donner une vision de l’unité…, nous avons oublié la sinusoïde qui signifie le changement, le mouvement, le cycle de la vie, le temps d’un déroulement. A elle seule, elle peut nous expliquer comment la matière se transforme en force, et la force en matière en interagissant entre eux pour donner de l’énergie sous forme de lumière, de chaleur et de puissance. Sous nos yeux, elle nous montre comment l’inerte devient vie et comment la vie devient inerte, comment l’inorganisé devient organisme et comment un organisme vivant devient inerte, par la seule interaction de la compréhension du temps, du cycle, de la transformation. Ici il n’y a pas de place pour le hasard, ni pour un dieu. Comment la science peut-elle faire le lien avec ce que nous sommes, vivant aussi bien dans un milieu organisé (en 5 systèmes autorégulés que sont la lithosphère, l’hydrosphère, l’atmosphère, la calorisphère et la biosphère) que dans un milieu chaotique que semble l’être les infinis, petits et grands. Seul la loi de l’amour et de l’intelligence peut nous l’expliquer. Seule la voix de la conscience peut nous faire entendre raison. Seul l’amour et l’intelligence entre un homme et une femme génère la vie d’un petit d’homme différent de ses parents. Seule la science maîtrisée par la conscience peut reproduire la vie par la méthode du clonage, reproduire la vie à l’identique, faire une copie. Mais seule l’amour de la vie et la maîtrise de la science donnera à l’homme la compréhension de la possibilité de créer la vie à partir de l’assemblage des atomes en organisme, mais aussi comment créer un milieu organisé (en plusieurs systèmes autorégulés) pour y implanter cette vie nouvellement créée. Ici la science ne s’oppose plus à la religion, car la science permet de spiritualiser la matière en l’organisant, et la spiritualité des hommes peut enfin se matérialiser à travers l’amour. La compréhension de la voix nous montre la voie. Les religions humaines nous expliquent que nous sommes issus d’une création. La science nous révélant à nous même, nous explique que nous serons un jour capable de créer la vie sur d’autres planètes, et cela nous permettra de comprendre que nous ne ferons que reproduire le cycle de la vie. Peut-être qu’à ce moment là nos enfants appèleront les hommes des dieux, notre humanité dieu. Et nous comprendrons alors que nous aussi, avons été créé par une autre humanité que nous appelons dieu, par d’autres hommes que nous avons appelé dieux… Nous étions poussières, certes mais d’étoiles, qui peuvent élever leur niveau de conscience pour devenir des dieux, des créateurs de vie, ou qui peuvent aussi retourner à la poussière parce que la lumière de l’étoile s’est éteinte… Entre cet indéterminisme et ce déterminisme, notre libre arbitre, notre conscience, notre capacité de choisir librement notre destinée, va fixé notre avenir. Notre Apocalypse peut alors effectivement aller vers le chaos, mais aussi vers la félicité. Quel sera votre choix, quel sera notre choix ? Alors si vous comprenez ce que vous venez de lire, alors vous comprendrez qu’il n’y a qu’un seul homme qui nous raconte l’histoire de la vie comme cela, le dernier des messagers que nous ont envoyé nos créateurs, les Elohim de la bible. Je vous aime, pardonnez moi de vous le dire, et merci Raël de m’avoir permis d’ouvrir les yeux et de contempler la beauté de la création et de ces créatures que nous sommes, des hommes tout simplement.

    Albert raëlien depuis 28 ans maintenant…



  • PAPILLON BLEU 21 août 2009 20:53

    Débat intéressant n’est-ce pas ? Alors créationnisme ou évolutionnisme ? Pourquoi pas une autre version comme création évolutionnisme ou évolution dans la création ? Mais si je puisse me le permettre, le véritable enjeux, ici et maintenant, c’est notre survie… Nous sommes en train de détruire de plus en plus vite la biosphère de notre planète, les différentes sociétés humaines s’entre-déchirent…

    Eh oh, réveillez-nous, si demain il n’y a plus de vie, quelle importance de savoir si nous sommes le fruit de la théorie de l’évolution ou la théorie de la création … Alors pourquoi vouloir continuer à se battre alors que nous pourrions tous retrousser nos manches, oser se taire, et vouloir le meilleur pour son voisin, pour son lointain ? Parce que si nous assurons uniquement la survie de l’un et non de l’autre, un jour un conflit naîtra et finira immanquablement par une guerre qui risque ici d’être totale mettre un point finale à l’humanité.

    Je vous propose une réflexion qui peut sembler banale, mais si chacun d’entre nous se sentait totalement responsable de sa propre vie et totalement responsable de l’avenir de notre humanité, alors que la paix serait possible. Si je commençais par accepter que mon voisin, que mon lointain puisse être, penser, sentir, vivre de façon totalement différente de la conception que j’ai de la vie, alors peut-être que ma relation à l’autre serait plus saine, plus emprunte de compassion et de sagesse. Oui, si dans mes propos, au lieu de croire que j’ai raison et que l’autre a tord, au lieu de croire que je vais pouvoir lui imposer mon point de vue, quitte à l’injurier, le diffamer, l’humilier, voir l’accuser de tous le maux de la terre pour qu’une tierce personne puisse le faire taire, par la force, la violence, le meurtre individuel ou le meurtre collectif comme une guerre idéologique, un ethnocide ou un génocide….et que sais-je encore !

    Il me semble que s’il y a de la violence en moi, alors je créer de la violence dans le monde. Il me semble que si je créé la moindre discrimination en moi, alors je créé l’exclusion des uns ou des autres, j’en suis responsable parce que j’en suis le créateur ou le facteur… Les créationnistes , fort de leurs certitudes ont été à l’origine et sont encore à l’origine de nombreuses guerres de religions. Combien de gens sont morts au nom d’un dieu ? Des millions et des millions…. La première personne qui en est morte était déjà la personne de trop, car elle excuse elle justifie le meurtre des millions d’autres qui ont suivi… Imaginez un instant un dieu sur son nuage, un dieu d’amour, qui par le seul fait d’invoquer son nom a pu générer autant de morts, pour l’amour de dieu ? Mais il doit avoir honte d’avoir créer une telle folie ! Mais qu’est-ce que cette folie ?

    Si j’était un créationniste, j’aurais honte de croire en ce dieu et de m’y référer parce que me sentirais alors responsable de la mort des ces millions de personnes., car je continuerais à faire la promotion de cette tuerie organisée. Oui parce qu’il n’y a de la place que pour les croyants. Et les autres, les païens, les infidèles, les hérétiques et les autres, tous les autres, vous n’aviez qu’a vous convertir… parce qu’en dehors de dieu , pas de salut…

    Si j’étais évolutionniste, j’aurais honte de vouloir imposer mon hypothèse qui ne peut mener qu’a la mort de l’humanité car si il y a évolution, l’amour entre les hommes n’a pas sa place. Croire en la théorie de l’évolution, c’est croire que c’est la loi du plus fort qui gagne. On en voit les effets chaque jour à la télé, les quatre cinquièmes de l’humanité aux services des puissants. Nous n’avons pas 50 millions de dollars pour lutter contre la faim dans le monde, mais nous avons mis 3 mille milliards de dollars pour sauver notre économie. Je suis responsable à 100% de cet état de fait parce que je suis élément constitutif de la société qui a permis cela. J’ai voté pour un système politique qui a fait cela, pour que je vive ici et maintenant au détriment des autres, les pauvres, les africains, les sans toits, tous les exclus du système. Au festin des riches, les pauvres n’ont même pas les miettes, car se sont eux qui ont payer le repas. Le capitalisme libéral, c’est sûrement la fin de la part de l’humain qui nous restait et qui est en train de mourir au nom de la loi du plus fort… Et dire que certain sont déistes le dimance et évolutionniste le reste de la semaine... ce doit être lourd à supporter, le sentiment de culpabilité doit tourner à plein régime.

    Non vraiment, merci ! Je ne souhaite ni du monde des créationnistes, ni le monde des évolutionnistes. Les uns exclus les non croyants, les autres les pauvres. Je préfêre me tromper et rêver d’un monde ou la relation d’humain à humain soit au cœur de mes préoccupations. Je ne suis qu’un papillon et je rêve de parcourir cette planète et d’en ressentir tous ses parfums et d’admirer toutes ses couleurs, entendre le doux murmure de la nature me bercer les oreilles… Je rêve d’un monde ou avec toutes nos différences, nous n’ayons plus peur de nos différences, mais que celles-ci nous enrichissent mutuellement. Je rêve qu’un jour, nous soyons tous capables de se dire, un par un, les yeux dans les yeux… je t’aime, pardonne-moi, merci……. Oui, mon rêve est bien plus beau que leurs réalités… Alors laisser moi rêver encore un petit peu, s’il vous plait !

     

    Je vous aime, pardonnez-moi, merci…

    Albert, athée ... et... raëlien !


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv