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Ratzel

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  • Ratzel 1er mars 2016 16:31

    L’ensemble du contenu de votre ouvrage manque singulièrement d’objectivité et traduit une incompréhension totale des changements progressifs qui s’opèrent dans cette filière. Je trouve dommageable que vous vous contentiez d’un bout à l’autre de prêcher pour votre paroisse sans faire l’effort d’abandonner votre mauvaise foi et d’adopter une véritable optique d’investigation pour honorer un sujet qui mérite d’être traité.


    Vous partez avec une idée préconçue, du reste aisément compréhensible au vue de votre carrière, et tentez maladroitement de faire coller la réalité à votre vision des choses en assemblant pêle-mêle un mélange hétéroclite de pseudos preuves et d’affirmations personnelles. Vous semblez par moment affreusement coupé des réalités du monde l’entreprise et la manière dont vous vous improvisez recruteur/DRH ne fait que mettre en exergue cette faiblesse.


    Ce petit livre tombe dans la facilité de l’antonymie, du blanc et du noir, du bon et du mauvais alors que la réalité prend évidemment la forme d’une palette de gris. Le cursus préparatoire a ses défauts mais aussi ses faiblesses que vous avez un peu trop tendance à passer sous silence et il en va de même pour le cursus BBA. Renseignez-vous, certains BBA possèdent une excellence formation et disposent de professeurs en géopolitique aussi compétent, sinon plus que vous.


    De même qu’il serait hasardeux de loger toutes les classes prépas à la même enseigne il n’est pas probant de fourrer l’ensemble des BBA dans le même sac. Les plus réputés d’entre eux voient le niveau de leurs entrant augmenter d’année en année combiné à l’internationalisation croissante des effectifs qui draine d’excellent élèves étrangers des quatre coins du monde.


    Rassurez-vous, le développement du « virus » des programmes BBA n’a pas pour vocation d’annihiler les classes préparatoires mais de proposer une alternative crédible à celles-ci. J’entrevois dans le future une saine compétition entre les deux qui poussera chaque cursus à se remettre en question pour offrir les meilleurs perspectives aux étudiants qu’ils convoitent. Les bons élèves ne peuvent pas être berné car ils ont un niveau suffisant pour faire le choix, ils sont courtisés autant par les classes prépas que les meilleurs BBA et choisissent en fonction de leurs objectifs futurs et leur sensibilité personnelle. Les élèves médiocres/mauvais ne sont pas dans la même optique car bien souvent ils ne sont ni en mesure d’accéder à une prépas bien classée, ni à un programme BBA de qualité. Ils se rabattent donc sur ceux à quoi ils peuvent prétendre : les post-bac moyennement/males classées qui sont moins regardants sur les modalités d’admission. Il existe évidemment d’autres formations de qualité différentes de celles évoquées plus haut.


    Selon moi, le développement que vous donnez à cette problématique est bien trop à charge pour constituer une aide probante aux futures bacheliers. D’où une question qui me vient à l’esprit : cherchez-vous vraiment à lever le « brouillard » pour aider les lycéens à se repérer dans leur orientation ou n’est-ce pas plutôt un énième discours propagandiste pro-prépas teinté d’une légère pointe d’hystérie ? 


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