Si l’anglicisme : « community manager » vous perturbe, on peut parler alors d’ « animateur de communauté ».
Mais c’est un métier qui a le vent en poupe. Toutes les grandes entreprises, les agences d’e-réputation et les grandes écoles veulent recruter leur spécialiste des réseaux sociaux (Profils les plus fréquents : les bac+5 plutôt littéraires). L’Inseec a mis en place le master Web community management & réseaux sociaux, pour lequel il a déjà reçu une soixantaine de candidatures. Côté universités, Sorbonne Nouvelle lancera en septembre 2011 le master 2 professionnel Expert media, qui préparera notamment au community management. Source : Comment devient-on community manager ? L’étudiant.fr http://www.letudiant.fr/jobsstages/comment-devient-on-community-manager-19841.html
Je prédis que la Twitterification de notre société va conduire à une explosion de maladies d’Alzheimer précoces. Nous augmentons le niveau d’information envoyé à notre cerveau et diminuons le temps consacré à traiter cette information, nos cerveaux vont se révolter. Ceci va nous amener à un nouveau business : les chambres de dé-Twitterification, où vous serez installé seul sans connection, sans rien sinon un aquarium géant.
Et les différences entre des réseaux comme Facebook , Ning et Twitter :
Le côté ouverture sur le web l’emporte clairement Twitter ou Ning, qui présentent des pages principales que tout le monde peut consulter ; tandis que le profil qui offre Facebook, est bien limité, toujours obligés de nous identifier pour accéder au contenu
C’est une sacrée limitation, n’est-ce pas ?
Facebook vs Twitter ? La deuxième raison, et qui est le point principal que je souhaitais abordé, est que ce dispositif prouve la volonté de Facebook de se poser comme un concurrent de Twitter. Twitter, ces derniers mois a en effet été l’outil privilégié des internautes pour relayer à chaud et en direct l’actualité (cf : Un media nommé Twitter). Nul doute que par la même que Facebook confirme une fois de plus qu’il se positionne comme le méta réseau social (cf Comment expliquer le succès de Facebook ?). Comme le présente l’article Facebook competes with Twitter to become the Online Conversation Platform, la force de Facebook est d’avoir aujourd’hui un pool d’utlisateurs largement plus important que celui Twitter (Quelques chiffres sur Facebook - Q4 2008) qui, outre les Etats-Unis reste encore un outil de niche. Pour s’en convaincre, demandez à vos amis combien utilisent Facebook, et combien seulement connaissent Twitter...