> Otage de la misère économique et sociale...
par sacados (IP:xxx.x26.121.227) le 14 août 2007 à 00H21
(Ce n’est pas évident d’utiliser cet éditeur de forum !...)
En biologie il y a ce qu’on appel « arrivé à maturité ». Par exemple une pomme : Juste avant d’être mûre, c’est pas encore ça. Si elle est en fleur c’est trop tôt. Un tout petit peu après, elle se détache de son arbre et va se fracasser en bas dans les cailloux et pourrir en peu de temps. La pomme est mûre le court instant éphémère juste avant de se détacher de son arbre. Pour l’homme, ce juste instant éphémère c’est à 35-40 ans. La civilisation nous permet de faire une descente moins brutale... L’animal sauvage arrive à maturité à grande peine balafré de partout et brusquement la vermine prends le dessus : c’est fini. Tous ça pour dire qu’à 60 ans on ne fait plus des projets en arrière. On se résigne à vivre comme on peut avec ce qu’on a. Bon, le vieillissement est injuste mais, avec les médicaments modernes, surtout avec les anti-dépresseurs, la qualité de vie c’est très nettement améliorée. Et en plus, c’est exceptionnel dans l’Histoire de l’humanité, nous avons des médicaments efficaces !...
C’est ce qu’ils appellent du « numéraire ». Comme il n’y a pas assez d’or pour assurer les échanges, ils font du numéraire. C’est pratique : ça se multiplie au grès de la demande solvable par toutes sortes de services. Exemple : commissions, plombier, garage... et « produits dérivés ». C’est très subtile « produits dérivés » : c’est presque un détournement de fond mais, c’est pas encore ça. C’est juste à la limite en dessous. Ça sert de « levier » à « garantir l’amplification » du numéraire... Mais bon, il faut s’entendre : un banquier nous prête volontiers un parapluie quand il fait beau temps. Mais nous le retire quand il pleut !
En biologie il y a ce qu’on appel « arrivé à maturité ». Par exemple une pomme : Juste avant d’être mûre, c’est pas encore ça. Si elle est en fleur c’est trop tôt. Un tout petit peu après, elle se détache de son arbre et va se fracasser en bas dans les cailloux et pourrir en peu de temps. La pomme est mûre le court instant éphémère juste avant de se détacher de son arbre. Pour l’homme, ce juste instant éphémère c’est à 35-40 ans. La civilisation nous permet de faire une descente moins brutale... L’animal sauvage arrive à maturité à grande peine balafré de partout et brusquement la vermine prends le dessus : c’est fini. Tous ça pour dire qu’à 60 ans on ne fait plus des projets en arrière. On se résigne à vivre comme on peut avec ce qu’on a. Bon, le vieillissement est injuste mais, avec les médicaments modernes, surtout avec les anti-dépresseurs, la qualité de vie c’est très nettement améliorée. Et en plus, c’est exceptionnel dans l’Histoire de l’humanité, nous avons des médicaments efficaces !...
Ben, quand on ne peut plus descendre plus bas, on fini par remonter... Après des années de chômage, réinsertion, humiliation (J’étais mécanicien dans l’aviation 5 ans : tout ceux qui ont ma signature sur leur document de vol, ne sont jamais tombés !)... Que ma femme soit parie... que j’ai élever mes enfants seul (j’ai été 20 ans papa-poule), que j’ai habité en camping, avec les enfants, parce que je n’avais plus d’appartement... J’ai pensé qu’en allant à droite, ou à gauche, ça ne changeait en rien à mon espérance de vie et j’ai envoyer tout balader (sauf les enfants).
Bon ! Je n’ai pas tout réussi dans ma vie mais, les enfants, j’ai pas raté ! Mon fils a un métier dans l’imprimerie, ma fille une licence en biologie, ils n’ont jamais chômé et ils ont des payes dont je n’ai jamais seulement rêve. J’ai de nouveau un appartement et une voiture d’occas. Je n’ai jamais voulu que mes enfants m’aident parce que ce n’est pas leur affaire.
A 62 ans, mon avenir est derrière moi ! Mon seul désir, par goût de sport intellectuel, c’est de garnir mes héritiers et d’avoir une femme pas trop loin. Le reste, bon...