Un motard fondu heurte une enfant, provoquant sa mort Et illico il se retrouve dehors C’est ça la justice de nos revizors Comprenne qui pourra en son intérieur for
Le père gd va s’en prendre plein la figure , des tombereaux vont lui tomber dessus et ça n’est que le début. Mais aussi bien, n’aurait il pas fallu fricoter avec des arsouilles comme poutinov et kim machin. S’est il rendu compte une seule seconde que les privilèges exorbitants à lui accordés, étaient au seul bénéfice unilatéral d’iceux. Qu’est il allé faire dans ces galères ? Mystère.
Dans son restaurant habituel, avec son sens aigu de l’observation, Poirot remarque l’attitude bizarre d’un monsieur apparemment âgé.
En fait il s’agit d’une machination avec un déguisement assez savant pour décaler l’heure de la mort de ce même personnage, un peintre célèbre et riche qui ne pouvait pas être présent puisque déjà mort.
Un acteur de théâtre, George Lorrimer, héritier présomptif, a monté l’opération en poussant le vieillard dans l’escalier de son appartement.
Mais Poirot était là, qui a remarqué à la morgue que « le mort avait les dents blanches » alors que, de longue date il prenait un dessert de fruits tachant les dents.
L’épilogue est magnifiquement mis en scène.
L’acteur vient tranquillement au théâtre. Très étonné il découvre sur la scène la bande au complet sauf miss Lemon, Poirot, son inséparable Hastings, l’inspecteur Japp et une équipe de techniciens de l’identité judiciaire.
Poirot fait durer le plaisir avec un suprême raffinement.
Il démontre à Lorrimer, sidéré, que le coupable ne peut être que lui...
Mais les sbires de p. ne s’embarrassent pas de tant de simagrées. Ils n’ont vraiment pas la manière.
Ça prouve que ça doit comploter en long en large et en travers dans les hautes sphères.