Dans son restaurant habituel, avec son sens aigu de l’observation, Poirot remarque l’attitude bizarre d’un monsieur apparemment âgé.
En fait il s’agit d’une machination avec un déguisement assez savant pour décaler l’heure de la mort de ce même personnage, un peintre célèbre et riche qui ne pouvait pas être présent puisque déjà mort.
Un acteur de théâtre, George Lorrimer, héritier présomptif, a monté l’opération en poussant le vieillard dans l’escalier de son appartement.
Mais Poirot était là, qui a remarqué à la morgue que « le mort avait les dents blanches » alors que, de longue date il prenait un dessert de fruits tachant les dents.
L’épilogue est magnifiquement mis en scène.
L’acteur vient tranquillement au théâtre. Très étonné il découvre sur la scène la bande au complet sauf miss Lemon, Poirot, son inséparable Hastings, l’inspecteur Japp et une équipe de techniciens de l’identité judiciaire.
Poirot fait durer le plaisir avec un suprême raffinement.
Il démontre à Lorrimer, sidéré, que le coupable ne peut être que lui...
Mais les sbires de p. ne s’embarrassent pas de tant de simagrées. Ils n’ont vraiment pas la manière.
Ça prouve que ça doit comploter en long en large et en travers dans les hautes sphères.
On peut considérer que le pic de la crise Russo Ukrainienne est passé. Commence alors une longue période de tractations, de discussions de marchands de tapis, de palabres interminables, sur fond d’atrocités sur des victimes civiles commises sous le commandement de « the butcher of Butcha », de sanctions répercussions économiques réciproques, et propices à nourrir grassement entre autre les spéculateurs de tout poil et les lamentables médias parasitaires du p.a.f.* C’est l’histoire d’un mec, sans aucune culture historique, ni dans d’autres domaines, égaré par 22 ans d’isolement. Menteur pathologique, baratineur de foire, bricoleur de l’histoire, intoxiqué par la culture du kgb fsb ça ne pouvait donner rien de bon. En restant au pouvoir aussi longtemps sans opposition, un type devient mécaniquement détraqué. « le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument » disait lord Acton. Comment réécrit-on l’histoire Déplorable imitation d’un Anschluss qui aurait dû être bientôt suivi par une visite et l’accueil triomphal sous les acclamations de la minorité locale. Mais dès le début, « son » affaire était mal emmanchée. En plus d’une organisation logistique défaillante, la lenteur de l’avancée, sur Kiev en particulier témoigne d’une mauvaise volonté manifeste, c’est le moins qu’on puisse dire, de la troupe. Avec des officiers supérieurs obligés de se déplacer personnellement en première ligne, d’où la perte de 6 généraux russes et d’un nervi chèchène. Comble de malchance l’un des généraux (son neveu) portait le même nom que le commandant en chef, d’où une confusion supplémentaire.A la différence d’adolph qui avait à sa botte une jeunesse militarisée dès l’enfance, fanatisée avec une motivation de revanche sans nuance, les troufions russes ne savaient pas ce qu’ils foutaient là, après avoir mariné dans le froid et le COVID, pendant des mois sous tentes, sous l’oeil goguenard des satellites de l’OTAN.
Et dans la situation effroyable de la guerre civile, à devoir combattre des jeunes qui portaient le même nom qu’eux et aussi des parents. Il y a eu le faux suspense des médias au sujet des colonnes soi disant enserrant Kiev, 2 ème 3 ème 4ème 5ème colonne comme à Madrid ou Teruel. ¡Teruel también existe ! https://lycee.clionautes.org/la-bataille-de-teruel-un-moment-cle-de-la-guerre-despagne-decembre-1937-fevrier-1938.html En espérant que, de même qu’icelle, certaines cités d’Ukraine subsistent.
* A cet égard les propositions de supprimer la redevance ou de privatiser le service public sont des trompe l’oeil, le système est vicié à la base par une muraille de Chine électronique. Si il s’avère que s’instaure la cohabitation, il pourrait bien y avoir un grand coup de balai. pcc Marina Sciencepotskaïa in memoriam Anna Politkovskaïa
Bonjour A l’attention des dessinateurs Sujet le bombardement de la maternité de Marioupol. Dans Cuirassé Potemkine possible de prendre une image fixe de la scène connue des escaliers d’Odessa. Une rangée de soldats avec tous le visage de putin et le landau en roues libres.