Tous ces messages me rappelle mon métier, j’ai commencé par apprenti typo en 1960, puis linotypiste, puis monteur offset, photograveur, arpès la phocompoest arrivée avec des photocomposeuses avec 256 caractères seulement de mémoire, après photo compo de 2e génération avec connexion avec des gros ordi (avec des modems dont le débits étaient de 300 bauds, et les languages tous différents entre eux qu’ils fallaient transcoder, et les écrans qui n’étaient couverts que de codes) puis la pao qui pour moi, a été vraiment de la rigolade comme adapatation, puisque on voyait sur l’écran ce que faisait, polices et corps de caractères illimités. Mais avec cette facilité, il est vrais que les professionnels qui avaient eté formés dans les années 60 étaient trop chers ! et après 42 ans de métier j’ai été licencié, malgré toutes les adaptations. Mais j’aime toujours la typo et le métier d’imprimeur, donc tous les articles qui y en parlent.