Ras-le-bol ! Ras-le-bol des interdictions, des malédictions. J’étouffe ! Les sionistes m’empuantent ! Ils me pompent l’air !
Hessel hier, Céline aujourd’hui ? Interdits de séjour ? Interdits de citations ? France pays de liberté ? France pays des droits de l’homme ? Allons donc ! Quelle légende ! France, pays de censure, oui ! Le politiquement correct s’impose. Et il est sioniste.
Circulez, ya rien à voir ! Il est interdit de penser ! Il est interdit de s’exprimer ! Il est interdit de boycotter ! (pauvre Gandhi, pauvre Mandela).
J’ai 67 ans et ai milité toute ma vie contre le racisme, quel qu’il soit. Aujourd’hui, la France voudrait faire de moi un antisémite qu’elle s’y prendrait pas mieux.
« Handicapés ». « Tournant utopique : communisme sexuel ». Votre article a du mérite. Il ose parler d’une chose qui était tabou il n’y a guère. Notre civilisation judéo-chrétienne a formaté nos mentalités avec « le sens du péché », alors que l’Antiquité avait ses prostituées sacrées (il y avait aussi, bien sûr, les autres). La glorification du corps humain -fût-il handicapé- est un bien. Et il n’y a pas de mal à se faire du bien... Charles Fourier, ce « socialiste » utopiste du 19ème siècle, a décrit dans ses ouvrages une certaine forme de communisme sexuel. Son ouvrage « L’ordre subversif » traite de la civilisation répressive et irrationnelle opposée à « l’association régie par l’attraction passionnée ». Il y a aussi l’ouvrage de Wilhelm Reich « La révolution sexuelle », qui traite des névroses dues à notre société patriarcale et monogamique en citant moult exemples.
Ce n’est malheureusement pas avec Sarcome, qui a la prétention de retourner avant mai 68, que les choses et les mentalités vont évoluer...
Baiser n’est pas un luxe ! Aimer non plus. Arrêtons cette hypocrisie bien latine (lapin, je te baptise carpe) concernant les choses du sexe. Il n’y a rien de pire qu’une p... repentie : Marthe Richard ! Pour le tabac aussi : voyez les anciens fumeurs... Sous prétexte d’une idéologie quelconque, on devrait faire un noeud avec et rentrer chez soi avec sa b... sous le bras ? Moi, 67 ans, sclérose en plaques, fauteuil roulant et tout le toutim, j’ose déclarer au monde que les vrais handicapés sont les handicapés du cerveau, qu’on trouve surtout chez ceux qui prétendent vouloir nous « diriger » et régenter nos vies privées. Ya basta des censures et du politiquement correct. Un chat est un chat !