Tout cet engouement pour chercher absolument à faire vacciner de « force » devient très inquiétant.
Pour en savoir davantage sur l’Histoire du vaccin depuis Pasteur (ou Edward Jenner, au XVIIIème siècle) à nos jours, je vous invite à parcourir le document, fruit d’une année d’investigation (2018) au sujet des origines, intérêts et dangers du vaccin, ci-dessous.
Les vaccins ne sont pas des médicaments et sont officiellement
destinés à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une
maladie hypothétique. Aussi, après lecture de l’article 35 du
code de la santé publique, il serait normal que tout candidat aux
vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur
les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur
les risques qu’il court en se faisant vacciner.
@Philippe Huysmans Je ne vais pas tarder à me transformer en elfe avec des flèches magiques, tellement ça grouille de trolls partout. Heureux de voir que vous êtes revenu en piste, on a besoin de monde, même les canards, pour combattre Sauron, sa clique et toutes leurs bestioles. Il y a du pain sur la planche
@velosolex Et voilà ! Trop de bubulles et ça dérape d’entrée en écorchant le prénom d’une fille. Amoureux de Christelle ?... Rhoooo mon cochon ! Ah ces jeunes d’aujourd’hui, des p’tites natures qui ne savent pas se tenir...
La racine du conflit armé en Syrie,
provient en grande partie du refus du président syrien Bachar al-Assad
du passage d’un pipeline de gaz du Qatar vers l’Europe.
La décision américaine. d’organiser
une campagne contre Bachar al-Assad n’a pas commencé avec les
manifestations pacifiques du printemps arabe en 2011, mais en 2009,
lorsque le Qatar a offert de construire un pipeline pour 10 milliards
de dollars qui traverserait l’Arabie Saoudite, la Jordanie, la Syrie et
la Turquie.
Ce projet aurait veillé à ce que les
pays arabes du Golfe aient un avantage décisif sur les marchés mondiaux
de gaz et aurait renforcé le Qatar, un proche allié de Washington dans
la région.
Le président syrien Bachar al-Assad, a
rejeté le projet au motif que cela nuirait aux intérêts de son allié
russe, le plus grand fournisseur de gaz naturel vers l’Europe. Un an
plus tard, Al-Assad a commencé à négocier avec l’Iran pour construire un
autre gazoduc qui transporterait le gaz de l’Iran vers le Liban et le
pays perse serait devenu un des plus grands fournisseurs de gaz vers
l’Europe.
Immédiatement après le refus du projet
initial, les agences de renseignement américaines, le Qatar, l’Arabie
Saoudite et le régime israélien ont commencé à financer la soi-disant
opposition syrienne et à préparer une révolte pour renverser le
gouvernement syrien. La France, vassalisée notamment depuis l’arrivée au pouvoir de Sarkozy, s’est également vouée à la tache. Il faut dire que les accords de Sikes-Picot en 1916 ont laissé des traces (la famille Giscard d’Estaing en savent quelque chose)...
Dans cet objectif, la CIA a transféré
six millions de dollars à la télévision britannique Barada dans le but
de préparer des reportages en faveur du renversement du président
syrien.
Donc Barack Obama, qui n’est plus ni moins qu’une sorte de marionnette noire élue suite au bon vouloir d’une majorité des membres du puissant Deep State US à cette période, n’a rien à voir avec tout ça.
Par contre John MCCain, fervent partisan de l’AIPAC, a fait du très bon boulot avec les dirigeants de Daesh avec qui il était en contact permanent...
Vous avez désormais une partie de la réponse à cette question.