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wangpi

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"Quelque critiques que puissent être la situation et les circonstances où vous vous trouvez, ne désespérez de rien ; c’est dans les occasions où tout est à craindre, qu’il ne faut rien craindre ; c’est lorsque l’on est environné de tous les dangers, qu’il n’en faut redouter aucun ; c’est lorsqu’on est sans aucune ressource, qu’il faut compter sur toutes ; c’est lorsqu’on est surpris, qu’il faut surprendre l’ennemi lui-même."
Sun Tse (L’Art de la guerre)

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2007
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Derniers commentaires



  • wangpi wangpi 22 juin 2007 13:37

    Cet article est intéressant, et les commentaires pour la plupart, pertinents. SR a bien compris qu’à l’époque qui a vu la mort de la dialectique, un vote se satisfait de formules, et encore plus, que l’impact d’un candidat tient aujourd’hui plus du slogan qu’il porte, que de l’analyse de fond qu’il mène, et des solutions qu’il se propose de mettre en oeuvre. Je pense même qu’elle a dû songer que son nom aurait valeur de catharsis pour le peuple français, toujours honteux d’avoir coupé la tête de Louis XVI, et qui regarde envieusement la reine Elisabeth et Lady Di... Car enfin, ne sommes nous pas rentré dans le temps absolu de la pensée unique, que NS critique d’autant plus qu’il en est l’incarnation la plus radicale ? Quand Jaurès et Maurras font bon ménage avec Blum et Pétain, on a l’expression de la pensée unique, c’est la non-pensée... La question n’est plus de savoir si la Federal Reserve, le FMI et la Banque Mondiale contrôlent peu ou prou la totalité du monde dit libre, que celle de savoir comment lui faire allégeance tout en respectant les institutions démocratiques. (Bush a résolu une partie du problème en généralisant les machines à voter électroniques. « Celui qui vote n’est rien. Celui qui compte les votes est tout. J. Staline ») Car c’est bien le dilemne des socialistes français, qui ne sont pas plus incapables que les espagnols ou les britanniques de conquérir le pouvoir, mais qui ont une longue histoire de gouvernement et de progrès sociaux, et qui ont légitimement du mal à écrire un nouveau chapitre de ce glorieux passé, dans le nouvel ordre mondial. Surtout quand on a perdu les fondamentaux, et que l’on n’a pas vraiment eu le choix. Que les leaders socialistes prennent leurs responsabilités. Qu’ils tranchent ! Je propose « Comité de Salut Public » comme appellation de la branche dissidente du PS que je suivrai, c’est un nom et une formule. Il porte un projet, il est en phase avec ces temps pré-révolutionnaires.

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